De La Dignité Humaine Dans Les Soins

Etudiante de 1ère année en Ecole de Soins Infirmiers, j’ai effectué mon premier stage dans un URSSG (Unité de Soins de Suite et Réadaptation Gériatrique). Ce service est constitué de 17 lits répartis en 13 chambres. L’équipe soignante se compose de différents professionnels de santé : un médecin, une cadre de santé, neuf infirmières, neuf aides soignantes, trois agents de Services Hospitaliers auxquels s’ajoutent psychologues, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, assistantes sociales et diététiciennes

« patient » lui-même qui déclenche sa mort et non un tiers. L'aide au suicide demande une manifestation claire et libre de la volonté de mourir, ce qui la distingue de l'incitation au suicide. Un autre usage abusif du mot est son application aux soins palliatifs, qui ne visent jamais à hâter le décès ou éviter le prolongement de l'agonie des patients même si, pour soulager la douleur, il arrive aux soignants d'user de doses d'analgésiques ou d'antalgiques risquant de rapprocher le moment du décès

racontent leurs pensées pendant un moment de la journée dans un institut de soins. Ils parlent de leurs ressentit et de leurs émotions qui sont caché par la vieillesse ou la maladie. Ils explicitent leurs révoltes face aux soins et aux soignants, on aperçoit même une certaine colère. L’accompagnement des soignants est difficile face à des personnes n’ayant presque plus de moyen de communication avec le monde extérieur. La dignité de ces personnes est touchée. Ils se sentent totalement dépendant et n’ont

Synthèse individuelle écrite sur la pudeur La pudeur est une notion importante dans la vie de chaque être humain. Que la personne soit âgée, jeune, démente, handicapée, blanche, noire, elle a le droit au respect de sa dignité ainsi que de sa pudeur. Elle n’existe pas dès la naissance mais s'acquiert au fil de la vie ; elle dépend de notre éducation, de notre culture et nos croyances. C’est pourquoi, lors d’une hospitalisation, le soignant doit connaître chacune des attentes du patient en fonction

entourage, soignants….) - Fanny 1an = la patiente, hospitalisée depuis sa naissance, douleurs atroces, montre des signes de vie. - Père = en souffrance, en retrait (fuite ?) - Mère = espoir - Soignants = équipe clivée entre soins palliatifs et poursuite du traitement - Médecin dans l’impasse mais poursuit le traitement => aucune amélioration - Comité éthique a décidé de plus faire de grosse réanimation  • Qui cherche ou veut quoi ? – Que veut fanny 

écrit au Président de la République d’alors ; JacquesChirac : « je vous demande le droit de mourir dans la dignité ». Le 24 septembre 2003, la mère deEn 2002, alors qu’il a été victime d’un accident de la route, trois ans lus tôt, le rendantTétraplégique, aveugle et muet, Vincent Humbert écrit au Président de la République d’alors ; JacquesChirac : « je vous demande le droit de mourir dans la dignité ». Le 24 septembre 2003, la mère deEn 2002, alors qu’il a été victime d’un accident de la route, trois

Introduction Soigner : soins technique et surtout relationnel ! Important pour que les soins se passent bien avec le soignant, avis du patient et droit. Respect de l’humilité Les lois Législation= prend de nb mesure pour protéger le patient. Loi du 4 mars 2002 : Relative aux droits des patients et à la qualité du système de sante Loi de 22avril 2005 : Relative aux droits des patients et fin de vie (Léonetti) Loi du 5juillet 2011 : Protection des personnes faisant l’objet de soins psy et modalité

substance létale dans le but de provoquer la mort immédiatement. Elle renforce la priorité aux soins palliatifs qui sont des soins actifs dans une approche globale de la personne atteinte d‟une maladie grave évolutive ou terminale. Leur objectif est de soulager les douleurs physiques ainsi que les autres symptômes et de prendre en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle. Les soins palliatifs et l‟accompagnement sont interdisciplinaires. Ils s‟adressent au malade en tant

perturbé d’une personne pour ensuite pouvoir se questionner sur ces éléments afin d’identifier les problèmes potentiels. Je vais donc analyser deux témoignages autour des concepts de confort, bien-être, dignité, respect, intimité, pudeur, autonomie et dépendance acquis durant les cours de l’UE 4.1 « Soins de confort et de bien-être » et selon la déontologie et les règles infirmière acquis durant les cours de l’UE 1.3 « Législation, éthique et déontologie ». Ce sont deux témoignages de patients

8 Définir l’euthanasie : un enjeu en soi 12 9 Les progrès de la médecine 14 10 Droit de mourir et droit à la vérité 15 11 L’exclusion de la mort 17 12 Arguments contre et pour l’euthanasie. 17 13 L’ambiguïté et l’enjeu de la notion de dignité 19 1 Première partie La proposition de loi concernant l’euthanasie Par Laurence Sabatié La question de l’euthanasie, qui vient s’insérer dans une réflexion plus large sur la fin de vie, est devenue un problème politique majeur dans notre société