De La Cours La Bruyère

politiques capitaux, or l’ironie est au centre de ce propos. C’est donc bien un pamphlet d’un jeune homme talentueux contre ses contemporains dont il s’agit là. Les bourgeois y sont décrits comme des gens vides, qui ne savent que se montrer au cours de manifestations grotesques. Ainsi, l’œil du poète est tranchant. Il se sert du langage à des fins argumentatives. La caricature est virulente, elle fait ressortir ce que R pensait de sa ville natale : « La plus idiote de toutes les villes de

Il cherche à traiter de façon « enjouée » les « grands sujets » (sujets graves). Il s'amuse t à reprendre les classiques pour mieux les détourner, comme c'est le cas en 1716 avec L'Iliade Travestie. On considère alors Marivaux comme le nouveau La Bruyère, car c'est un très bon moraliste. Il connaît un premier succès théâtral avec Arlequin poli par l'amour, en 1720. Impressionné par les Comédiens italiens, et il travaille donc avec eux sur plusieurs pièces. En 1717 il épouse Colombe Boulogne, dont

Charles Baudelaire aussi en appelle à des penseurs. Deux grands moralistes, la Bruyère et Pascal. On y retrouve d'ailleurs une citation venue du corpus. Et ce, bien que leurs thèses ne soient pas vraiment les mêmes. On retrouve également dans les trois textes une même implication du narrateur et du lecteur. Pascal utilise ainsi le « je ». On suit ainsi le moraliste dans sa pensée, comme si on l'accompagnait au cours de ses recherches sur le divertissement. On assiste ainsi à une précision de ses

résistance des écrivains indépendants. Même si bcp se soumettent aux règles qu’on leur impose certain défende le droit a la liberté et plus spécifiquement la liberté à l’inspiration. Notamment a travers des auteurs tel que Régnier ou Théophile. Au cours de la génération suivante la tyrannie des précieux et de ces rigoureux théoriciens combattent ce comique burlesque, grossier notamment Scarron qui veulent justement rendre le contre pied du raffinement et de la préciosité. Tristan L’Hermite ou Saint-Amant

Cours n°5 : Le mythe de Narcisse Ovide, Les métamorphoses La mère de Narcisse demande au devin Tirésias si son fils vivra longtemps. Celui si répond oui, s’il ne se connait pas. Or, Narcisse s’adore et se contemple dans la source. Il est très beau et séduit les nymphes. Parmi elles, il séduit la nymphe Écho mais il les méprise même si elles sont amoureuses de lui. Il a alors la malédiction, c’est d’aimer un jour sans être aimé de retour. C’est la déesse Némésis qui châtie tous les hommes victimes

devenues si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair était tendre à leurs chiens policiers On me dit à présent que ces mots n’ont plus cours Qu’il vaut mieux ne chanter que des chansons d’amour Que le sang sèche vite en entrant dans l’histoire Et qu’il ne sert à rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille à pouvoir m’arrêter? L’ombre s’est faite humaine, aujourd’hui c’est

de l’efficacité à la fable. Dans le V.52 « Amusez les rois ». b) La digression Jean de la Fontaine s’en prend au roi, il va critiquer la cours et les courtisans. « caméléon, singe… » : il fait la critique des courtisans prêts à tout pour renter à la cour. Il dénonce l’hypocrisie des courtisans. Il joue sur les rimes, il va procéder comme La Bruyère « Voyage au pays de sa cour ». Cette digression prépare le dénouement. Dernière partie. b) Le dénouement et la moralité Jean de la Fontaine

vos propres exemples et l’analyse qui va avec. Relisez vos cours à la lumière de ces réflexions (et d’autres sujets de dissertaion et d’invention que vous pouvez trouver) 1. La rébellion contre l'héritage des poètes précédents est-elle indispensable à la création poétique ? Introduction (Généralité)  : réalité de cette réflexion : Ce sujet reflète la Querelle des Anciens et des Modernes : Dans laquelle Boileau, La Bruyère étaient pour le respect de l’Antiquité. A l’inverse de La Fontaine

fables d'Esope, La Bruyère avec les « caractères » théophrastiens Même Molière s'y essaya avec son Amphitryon, largement inspiré par Plaute. Cependant, même s'il faut copier les Anciens, avoir la même rigueur qu'eux, comme le montre Boileau dans l'Art Poétique, imiter « ne signifie recopier mot à mot » ; l'auteur doit adapter l'oeuvre antique, peut l'a rattacher à son époque. 2) l'oeuvre comme singularité La transgression des régles génériques est perpétuelle au cours des siècles. Le romantisme

du roi sur ses sujets. Il montre sa puissance : référence à la lettre 11. Il finit le texte en montrant que tout se passe d’une façon pyramidale. Le roi dirige la cour (espace restreint), la cour les Parisiens, et les Parisiens les provinces. La Bruyère montre la même chose dans Les Caractères. Dernière phrase : vérité générale. Image du moule. Les Parisiens prennent exemple sur le roi. Définition du despotisme (= monarchie absolue). Derrière ce comportement, il y a celui du monarque. L'impulsion