De La Cour La Bruyère Les Caractères

Les grands auteurs de l’époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s’inspirent des grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Esope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s’inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce qui concerne les mœurs

Explication linéaireParcours 1 :LPDC, Madame de LaFayette - Axe : L’arrivée à la cour de Melle de Chartes UN personnage remarquable.Mvt1 : Il parut (…) lui rendre aimable. Melle de Chartes nu personnage remarquable.Mvt2 : La plus part (…) d’en être aimée. Une éducation particulière. - Axe : Le portrait dérobé, une scène entre voir et ne pas voirMvt1 : Mme la dauphine (…) venait de faire. Vol et jeu de regard Mvt2 : Mme de Clève

La fiction illustre une morale déjà annoncée au lecteur. La satire de la Cour est un des thèmes favoris de La Fontaine. La satire se définit par le mélange des genres et des formes. La critique est rarement directe d’où l’utilisation des animaux. Il ne verse cependant pas dans un pessimisme désespéré, il invite le lecteur à profiter des joies simples de l’existence. 2-      L’art du portrait : Les Caractères de La Bruyère L’art devient au XVIIe siècle un genre autonome. Il correspond bien aux

Pauline se voit offrir par Louis XIV la charge de demoiselle d'honneur de la Reine. C'est ainsi que Cécile accompagne son amie au château de Versailles, en qualité de servante. Malgré l'animosité immédiate de Mme de Montespan et les intrigues de la cour, Pauline s'adapte vite à sa nouvelle vie tandis que Cécile pénètre dans l'univers des domestiques et exerce ses talents de guérisseuse. Les jeunes filles découvrent un jour le complot ourdi par Mme de Montespan pour faire mourir l’enfant nouveau-né

naît en 1621 et mort en 1695 - Ses fables st publiées pour la 1ère fois en 1668 puis en 1678 et enfin en 1694 - La Fontaine publie ce recueil au Dauphin, Louis XV, car il aspire à devenir précepteur du futur roi et donc de ce fait avoir accès à la cour et à une pension. - Esope et Phèdre = 1ers fabulistes. La fable => origine de la prose. - La Fontaine s’inscrit dans l’héritage ésopique. Selon lui, la perfection de la littérature se trouve dans l’Antiquité. Elle est inégalable, on ne peut que l’imiter

qui se fondent sur le bel usage, c'est-à-dire celui de la cour et de la ville. Boileau, l’art poétique, chant I Avant donc d’écrire, apprenez à penser. Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. Expression de l’idéal de l’honnête homme », respect de la morale. Ainsi, La fontaine et La Bruyère utilisent la fiction, la satire et le rire pour faire passer

travers une histoire courte avec la mise en scène de personnage un peu imaginaire et aussi de délivrer une morale. EX 1 : La Fontaine est l’un des principaux poètes à avoir employer des fables, dans ces Fables de La Fontaine qui mettent en scène la Cour du roi, représenter par des animaux lui permettant de se moquer du roi et des courtisans sans se faire arrêter. ARG 2 : Beaucoup d’auteurs apprécient d’illustrer leurs pensées dans des pays imaginaires qui déjoue la censure et transmettre leurs idées

Pauline se voit offrir par Louis XIV la charge de demoiselle d'honneur de la Reine. C'est ainsi que Cécile accompagne son amie au château de Versailles, en qualité de servante. Malgré l'animosité immédiate de Mme de Montespan et les intrigues de la cour, Pauline s'adapte vite à sa nouvelle vie tandis que Cécile pénètre dans l'univers des domestiques et exerce ses talents de guérisseuse. Les jeunes filles découvrent un jour le complot ourdi par Mme de Montespan pour faire mourir l’enfant nouveau-né

prend de nouvelles voies en particulier celle de la pensée moraliste, c’est-à-dire: avant de penser l’homme dans le cosmos ou l’homme face a Dieu il faut penser l’homme face à lui-même. Ainsi comme La Rochefoucauld dans se maximes ou La Bruyère dans ses caractères La Fontaine moraliste du siècle classique analyse d’une plume critique les comportements humains. Ces fables font écho aux actualités ou à la politique du siècle de l’auteur. Elles sont lieu d’une satyre sociale par le biais d’animalisation:

Morale : Le XVIIème siècle, l’Age classique, est le Grand Siècle des moralistes. On appelle « moralistes » les écrivains qui, comme Pascal, La Fontaine, La Rochefoucauld, ou La Bruyère, décrivent les caractères et mœurs d’une société. Leurs essais, portraits, maximes, fables et « caractères », livrent moins une morale, au sens d’une simple instruction au bien, qu’une anthropologie, c'est-à-dire une connaissance, fine, complexe et souvent pessimiste, de l’homme. Mme de La Fayette est