De Gaulle Monarque

notamment par le fait d'une double contestation à l'extrême gauche et à l'extrême droite. Le 05 avril 1947 le PCF est exclu de la majorité qui gouverne, le tripartisme a explosé, il y a donc 150 députés sur lesquels on ne peut compter. Le général de Gaulle, qui a démissionné depuis le 10 janvier 1946, crée son parti politique : le RPF (Rassemblement du Peuple Français), ce parti est immédiatement placé comme d'extrême droite, comme anti-système. Le système gauche-droite, dans le système politique français

pouvoirs législatifs et exécutifs sur un pied d'égalité. La raison en est l'indépendance stricte des pouvoirs. A partir du moment où émane un pouvoir ministériel, le régime parlementaire peut apparaître (il permet de résoudre le conflit entre le monarque et les chambres). On peut contrôler l'action du pouvoir gouvernemental aux moyens de certains outils : pétitions, doléances, l'adresse au discours du Trône, les questions et la mise en accusation (seulement pénale). Sous la monarchie de Juillet

révoltent contre celle-ci. Ils soupçonnent le gvt (Coty et Pfimlin) de vouloir donner l'indépendance de l'Algérie, Coty remplace Pfimlin par De Gaulle pour calmer l'armée. Cette constitution reprend les idées gaulliennes (discours de Bayou), pouvoir exécutif renforcé → président soit l'arbitre, régime + efficace → importance du président de la Rép au centre. De Gaulle installe un nouv style présidentiel. Cmt a évolué la place du président sous la Vème Rép ? LA Vème REP DE 1958 A 1981 : L'AFFIRMATION

judiciaire : sanctionne le non-respect des lois et règle les différents entre les citoyens((Haute Cour de Justice, Cour de justice de la République et Conseil Constitutionnel). Doc 1 p. 28 L’association des pouvoirs législatif et exécutif peut faire du monarque (gouvernement) et du Sénat (Assemblée) des tyrans. Pouvoir judiciaire + pouvoir législatif = pouvoir arbitraire Pouvoir législatif + pouvoir exécutif fait du juge un oppresseur. Ex. de régimes qui ne respecte pas la séparation des pouvoirs : dictature

moment de la cohabitation. La constitution est plus ou moins respectée mais même si on retranche le texte, la double lecture n’est estimée inconstitutionnelle. On sait aussi qu’on a pu utiliser l’art 11 de la constitution au lieu de l’art 89. De Gaulle a estime qu’il devait démissionner lorsque le référendum a reçu un accord défavorable du peuple. On distingue néanmoins les constitutions souples et les constitutions rigides. La constitution souple est celle qui peut être révisée facilement au contraire

constitutionnelle de la France en partie du à l’échec de la IIIème République et de la IV ème République. En effet, la IV ème République laisse le souvenir d’une période marquée par les divisions et une instabilité ministérielle chronique. Le général de Gaulle n'entend pas lui-même assumer l'héritage de la IIIe République, coupable à ses yeux d'avoir provoqué la défaite, mais pour les parlementaires d'Alger, il n'en est pas de même, ceux-ci mettant comme priorité le retour de la démocratie fondée sur l'activité

Dans l’ensemble la procédure suivie en 1958 ressemble à celle de 1940 ce qui est paradoxal puisqu’elle se fait sous le Général De Gaulle. Sous la 4ème république, la procédure de révision apparaissait à l’art. 90 de la Constitution, elle donnait le pouvoir constituant dérivé au parlementaire. Face à un soulèvement intervenu en Algérie, le 13 Mai 1958, le général De Gaulle devient président du conseil, chef du gouvernement (premier ministre) le 1 juin 1958 mais en posant ses conditions. Le 3 juin 1958

1958 mis en place sous le régime du générale de Gaulle, en temps de guerre, a acquit une place importante en France (A). De même, plus particulièrement le président de la république qui a lui aussi a acquit une place centrale dans le pays, et dépasse le simple rôle de chef d’état au sens stricte (B). A- Une place de l’exécutif bien particulière en France grâce à la constitution de 1958. La constitution de 1958, fut instauré par le générale de Gaulle lors d’un référendum, cette constitution est un

de la souveraineté. Notion de souveraineté Au départ la notion de souveraineté à une origine divine, c'est la personne désigné par dieux qui dispose du pouvoir politique. Progressivement on passe à une matérialisation dans la personne du monarque. Progressivement le roi devient le seul détenteur de la souveraineté et on voit apparaître dans la doctrine au 16ème par l'intermédiaire de Jean Bodin, la notion de souveraineté de l'état. Bodin va ériger la souveraineté de l'état comme une condition

points communs. Il faut donc bien comprendre les deux systemes, connaître un systeme coherent à un autre. La naissance de l'etat moderne. Veme s. a la revolution française. Les invasions germaniques ont fait s'effondrer l'empire romain et la gaulle se detache de son colonisateur et prend son independance. Les gaullois ont leurs independances culturelle et politique. C'est la construction des germes de la France tout au long de la periode de moyen age ( Veme s. au Xveme s.) et ensuite la periode