Dangerosité Criminologie

confits de compétences entre les loi et juridictions de différents Etats. Les sciences auxiliaires : ⬛ La criminalistique permet de savoir comment l'infraction a été commise (police scientifique, identification judiciaire, génétique, …). ⬛ La criminologie, c'est l'étude du phénomène criminel, savoir quelles sont les causes de la criminalité, et comment traiter cette criminalité. (sociologie, anthropologie, médecine, droit). ⬛ Médecine légale c'est l'identification des causes de la mort ou le constat

obtenir des outils de prévention. PRINS va doubler la loi pénale de politique d’hygiénisme social. On aura donc une science de la loi et des incriminations, une science des peines, une science des causes bio-psycho-sociologiques du crime (la criminologie) et un hygiénisme social. Chez les abolitionnistes, l’extension du champ de la politique criminelle devient très vaste au point qu’il se confond avec les limites du champ des politiques sociales chez certains auteurs. Il y a donc une déspécification

en série ................................................................................................ 4 3. Les facteurs de risque des tueurs en série ....................................................................... 5 4. Concept de dangerosité ................................................................................................... 6 Problématique et hypothèses ...................................................................................................... 8 Méthodologie

Cette école croyait plus en la fatalité qu'en l'égalité (contrairement à Bécaria). À cette époque nait la criminologie, la science du crime, des comportements criminels. Cette époque est aussi marquée par l'éclosion du courant naturaliste (Balzac, Zola, Flaubert et ???). Ces auteurs (dont Lombroso) mettent le doigt sur l'environnement des criminels, ils incluent la part morale dans la criminologie, ainsi, la sanction n'a plus lieu d'être, il faut soigner. On parle plus du droit de sûreté que de droit

université fELIX HOUPHOUET BOIGNY COCODY Par Casimir ZADY Docteur en criminologie, Psycho-criminologue, UFR Criminologie Université Abidjan Cocody E-mail : zadycasimir@yahoo.fr RESUME Cette étude dont l’objectif est de montrer comment les prisons ivoiriennes formatent un marginal en délinquant en transformant un mineur délinquant primaire en récidiviste, permet connaître les réalités du milieu carcéral. En effet, il faut noter que le séjour en prison de nombreux

Européen. Gravite autour de droit pénal d’autres sciences : Droit pénal comparé : il s’agit de confronté deux droits de différents pays, suffisamment proche et suffisamment différent afin d’enrichir la réflexion. Aussi, l’histoire du droit pénal, la criminologie qui étudie le passage à l’acte à la fois les raisons du passage à l’acte, pourquoi un jour une personne passe à l’acte, et elle étudie les moyens d’empêcher de passer à l’acte. 2) L’objet du droit pénal S’intéresse-t-il aux faits (crimes) ou

psychique Le secret médical Les manifestations extérieures de l'enfermement La maladie comme identité IV – Débat actuel sur la dangerosité psychiatrique en milieu pénitentiaire « Exercer la psychiatrie en détention, c'est prendre en compte la coexistence de deux logiques, celle du soin, et celle de l'enfermement. » (Lhuilier, 1998) Les soins psychiatriques en milieu pénitentiaire

L’EMPRISONNEMENT AVEC SURSIS EST UNE MESURE COHERENTE 5.3.1) L’alternative à l’incarcération et l’individualisation 5.3.2) L’importance de la proportionnalité entre l’infraction et la sentence 5.3.3) Une confusion concernant les notions de gravité et de Dangerosité 5.3.4) L’opinion publique 5.3.5) L’expérience empirique 5.4) L’EMPRISONNEMENT AVEC SURSIS EST UNE MESURE PREVENTIVE 4 4 4 5 5 6 6 7 7 8 6) EN CONCLUSION 7) RECOMMANDATIONS 9 9 Annexe LES CORPORATIONS MEMBRES DE L’A SSOCIATION DES SERVICES

(privation de liberté,…). Loi du 25 février 2008, loi qui ne sera jamais appliquée car contraire aux principes européens : instaure la rétention de sureté : pour les condamnés à au moins 15 ans de réclusion criminelle et s’ils présentent une dangerosité particulière, des troubles graves de la personnalité et/ou une forte probabilité de récidive, à l’expiration de leur peine, un comité peut dire qu’on le garde plus longtemps. 15 ans peuvent alors se transformer en 20 ans, 30 ans jusqu’à ce que mort

été condamnés à la peine privative de liberté sans sursis. (Moret, 2009, p. 188) Durée moyenne maximale de détention: 1.91 mois Durée moyenne minimale de détention: 0.62 mois Pour les mineurs, il n’est pas pertinent d’appliquer le même ratio de dangerosité que pour les adultes. 11LES FONCTIONS SOCIALES DE LA PRISON Situation en Suisse Infractions les plus fréquentes: • Les délits contre le patrimoine (vols et dommages à la propriété (Fragnière et Girod, 2002; Guéniat, 2007; Estrada, 1999). o Vols: