D Orphée

Selon le mythe grec antique, Orphée, allégorie de la poésie, a effectivement pour grand-mère Mnémosyne, déesse de la mémoire du peuple et de chaque individu. De même, Hugo rappelle dans son poème « Fonction du poète » contenu dans son recueil Les Rayons et les Ombres de 1840 que le poète occupe une fonction de sauvegarde des « traditions ». En outre, l’origine de l’émotion poétique revêt un caractère divin, enchanteur et véridique. Toujours selon le mythe grec, Orphée a pour mère la muse de la poésie

Selon le mythe grec antique, Orphée, allégorie de la poésie, a effectivement pour grand-mère Mnémosyne, déesse de la mémoire du peuple et de chaque individu. De même, Hugo rappelle dans son poème « Fonction du poète » contenu dans son recueil Les Rayons et les Ombres de 1840 que le poète occupe une fonction de sauvegarde des « traditions ».    En outre, l’origine de l’émotion poétique revêt un caractère divin, enchanteur et véridique. Toujours selon le mythe grec, Orphée a pour mère la muse de la poésie

étant aède qu’il a le plus de pouvoir, et non en tant que roi. Que ferait une société sans aède, poète ? La statut d’aède lui offre une stature tellement extraordinaire, qu’il obtient la catabase è obtient l’accès au monde des morts, ce que seul Orphée à pu faire, qui est lui-même un poète lui aussi. è Statut d’intermédiaire entre les hommes. è Seuls les aèdes peuvent savoir ce qu’il se passe au moment de la mort. C’est l’homme qui sait l’essence même de la vie. Ulysse est l’homme qui SAIT è

« La poésie ne sert-elle qu'à l'expression des sentiments? » °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° [Introduction générale : amorce + présentation du sujet + plan] La figure tutélaire[1] de la poésie ne serait-elle pas Orphée, le Prince de Thrace qui, par sa plainte, a ému Hadès et Perséphone puis qui enchanta arbres et animaux par ses chants clamant la douleur liée à la perte de sa femme Eurydice ? Ce mythe, ou du moins la partie la plus connue de ce mythe, tend à faire

pleurant -en la clamant -il tente aussi de percer le secret des choses, de lui-même, de son langage poétique. Les Muses ont deux domiciles : -en Thrace, liées au mythe d'Orphée ou Dyonisos. fixées sur le mont Parnasse et liées au culte d'Apollon. Orphée : inconsolable. le lyrisme. Expression personnelle et les larmes. Fondement le souvenir, toujours qui passe, étrangeté au monde, incompatibilité au monde. Dyonisos : fondateur des mystères; L'initié entrait en communication directe avec les Dieux

celui-ci est représenté de différentes formes. Les « Géorgiques IV » [485-503] de Virgile, est un poème antique, racontant la descente aux Enfers d'Orphée, afin de chercher son aimée Eurydice, morte. En effet, après la mort de celle-ci, le poète Orphée avait obtenu la permission d'aller la chercher dans le royaume des morts, à la seule condition qu'il ne se retourne pas et ne regarde jamais en arrière. Les « Géorgiques IV, est un poème de la Pléiade du XVIème siècle, extrait du recueil Premier

aujourd'hui s'intitule Orphée, il s'agit de la première oeuvre de cette section de La légende des siècles qui est celle des Idylles. Dans ce texte, Victor Hugo traite un thème majeur de la littérature occidentale qui est le mythe d'Orphée. Ce mythe porte sur un aède mythique de la Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, qui savait par les accents de sa lyre charmer les animaux et émouvoir jusqu'aux êtres inanimés. Mais c'est à la partie du mythe qui concerne Orphée et la femme qu'il aime

fit enchaîner sur le mont caucase pour y avoir chaque jour le foie dévoré par un aigle. ORPHÉE ı---> Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suivrait et qu'il ne se retournerait ni ne lui parlerait tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Mais au moment de sortir des Enfers, Orphée, inquiet de son silence, ne put s'empêcher de se retourner vers Eurydice et celle-ci lui fut

inventé en 1912, par le poète Apollinaire, théoricien du mouvement. C'est au Salon de la Séction d'Or qu'il utilise le terme "orphisme" pour qualifier certaines oeuvres de Delaunay relatives à Orphée, symbole de l'art de la chanson et de la lyre dans la mythologie grecque. Ce terme fait référence à son poème Orphée de 1908 traitant de poesie pure en tant que "langage lumineux" mais pourrait pourrait aussi bien faire référence au mélange de musique et d'art du début du XXème sciècle, la musique parfaitement

DESCRIPTION : Barbe, peau de lion, massue, visage angoissé puisque préoccupé par les travaux. ORPHEE ET EURYDICE : Orphée tient une lyre, tous tombent sous le charme de ses chansons. Il tombe amoureux d’Eurydice, qui se fait piquer par un serpent et meurt. Orphée, en jouant sa musique attendrit les Dieux pour ramener Eurydice des enfers à une seule condition : pendant la remontée, ils ne doivent pas se regarder mais Orphée se retourne ŒDIPE : Fils du roi de Thèbes. Suite à une prédiction, il serait détrôné