Céramique Néolithique

Introduction : L’acte de modifier son corps est une pratique qui existe depuis la naissance de l’humanité et qui se perpétue jusqu’à nos jours. En effet, les premières marques de ces décors corporels ont été retrouvées sur des momies datant de la période néolithique. Ils ont aussi été utilisés lors de la seconde guerre mondiale comme signe d’exclusion. Mais depuis peu, ces marquages corporels sont devenus des actes banals et participent même à un phénomène de société et de mode. L’exclusion, la marginalisation

sociétés de la préhistoire auraient connu des formes de pouvoir matriarcal, fondés sur le culte de la « Grande Déesse ». Ce sont les femmes qui auraient ainsi soi-disant inventé l'agriculture. Pourtant, elles auraient pâti de la seconde révolution néolithique, à l'origine de la sédentarisation, mais aussi de la guerre livrée à la nature et aux autres peuples. Surtout, les envahisseurs indo-européens auraient porté un coup fatal au matriarcat. Claudine Cohen remarque cependant que le culte de la mère

l’adhésion au mode de vie occidentale s’est souvent passer avec force et sous la contrainte, rarement par choix, donc le consentement n’est pas le fondement de la supériorité occidentale. De plus, il soutien que les découvertes faites à la révolution néolithique (agriculture, élevage, poterie, tissage,…) sont à la base des civilisations et que nous n’avons fait que les améliorer, même si certains accordent au hasard les découvertes faites par l’Homme à cette période, réservant le génie, la fatigue aux découvreurs

LA RELIGION CRETOISE. Introduction :  Suite à l’introduction de l’agriculture céréalière et de l’élevage, durant la période néolithique, les rapports de l’homme et la nature sont bouleversées, Ces nouvelles conditions économiques ont alors des incidences sur le domaine religieux. En effet le paysan doit à présent enfouir un grain dans la terre en espérant qu’il lèvera, le privant de nourriture immédiate. Ainsi de ces phénomènes naturels dépendent la nourriture et la survie, engendrant une crainte

périodes : vers -27 000 et de -19 000 à -17 000, comme l'atteste la datation des peintures pariétales1. Pour la période plus récente, et quant au site proprement dit de Marseille, des fouilles ont mis au jour des vestiges d'une implantation néolithique qui remonte à -6 000, près de la gare SaintCharles2, ainsi que d'autres vestiges retrouvées dans les grottes de L'Estaque ou dans celle du quartier Les Riaux furent retrouvés un foyer, des poteries mésolithiques en terre noire3 Au denier millénaire

La tribu des Préhistos Françoise Demars La chasse au mammouth - Episode 1 Je lis seule Ce matin, la tribu des Préhistos part à la chasse. Rohar grimpe à la cime d’un grand arbre. Là-bas, au milieu de la plaine, en direction du lac, il y a un troupeau de mammouths ! C’est le signal, la tribu se met en marche, armée de flèches. Un mammouth plus vieux que les autres s’est écarté du troupeau. Opa prend la direction des opérations. Il faut diriger le mammouth vers le

que l'histoire générale évolue souvent très lentement -par exemple entre 3 000 avant J.-C. et notre XVDie siècle. En revanche, dans la deuxième expression l'auteur soutient que parfois, l'histoire s' accélère. Et ce fut le cas précisément à l'âge néolithique qui fit passer la société humaine de la préhistoire à 1'histoire ( âge de la pierre polie puis taillée) ( circa 10 000 -3 000 av. n. è. ). Par ailleurs, chez LévyStrauss il est question d'histoire cumulative dans les sociétés contemporaines depuis

rupture comme pour les révolutions politiques où l’on retient une date en particulier. Ainsi c’est une rupture qui entraîne des changements très profonds dans un laps de temps relativement court par rapport à la phase antérieure. La révolution néolithique est considérée comme la 1e grande rupture multidimensionnelle passant par : L’invention de l’agriculture : Production d’un stock alimentaire permettant de ne plus subir les aléas de la nature, le début de la sédentarisation et l’accroissement

sociétés de la préhistoire auraient connu des formes de pouvoir matriarcal, fondés sur le culte de la « Grande Déesse ». Ce sont les femmes qui auraient ainsi soit-disant inventé l'agriculture. Pourtant, elles auraient pâti de la seconde révolution néolithique, à l'origine de la sédentarisation, mais aussi de la guerre livrée à la nature et aux autres peuples. Surtout, les envahisseurs indo-européens auraient porté un coup fatal au matriarcat. Claudine Cohen remarque cependant que le culte de la mère

deux types de société : les sociétés primitives et les sociétés à État. L’État départage les «Sauvages»des «Civilisés». Deux grandes acceleratons dans le rythme de l’histoire mondiale : révolution néolithique et révolution in- dustrielle. Y-a-t-il une différence entre avant la révolution néolithique et après du point de vue des systemes sociaux ? Non abscence d’agriculture n’est pas forcément égal à sédentarité donc même si écologiquement pos- sible, pas forcément agriculture car non besoin (exemple