Cyrano Lyrisme

« Une charogne » Le texte que nous allons étudier est « Une charogne », extrait du recueil Les Fleurs du Mal (paru en 1861) de Charles Baudelaire (1821-1867), qui est un auteur du 19ème siècle. Très influencé par le romantisme, il se trouve entre le Parnasse et le symbolisme. Il considère le romantisme comme « l’expression la plus récente, la plus actuelle du beau ». Un matin d’été, le poète se promène avec une femme. Ils empruntent un petit sentier, et découvrent une charogne. A la fin

Séance n° 2 : «  Et la mer et l’amour » de Pierre de Marboeuf Petit point sur le sonnet : Sonnet : 2 quatrains et 2 tercets Il existe 3 types de sonnet : • Le sonnet progressif : il avance petit à petit sur un sujet • Le sonnet circulaire : il tourne en rond • Le sonnet dialectique : il y a un problème posé dans les 2 premiers quatrains et il est résolu à la fin du poème. Dans les deux quatrains, les rimes sont embrassées (ABBA).Il y a un distique : deux vers(CC) puis il

montrerons en quoi ce poème diffuse un message d’amour, nous analyserons dans un premier temps l’amour imaginaire évoqué dans le poème et ensuite nous interpréterons les souffrances du poète. Les sentiments du poète sont forts envers cette femme. Le lyrisme de ce poème nous confirme réellement les sentiments émis par le poète. On note une anaphore « Pour elle seule » (V.6-7) qui met en valeur l’amour du poète envers cette personne, ce dernier utilise également un vocabulaire mélioratif pour mettre en

Commentaire littéraire I - Une évocation réaliste et baroque de la mortA - Une description réaliste de l'altération du corpsEvocation insistante de son corps → champs lexical : "os", "bras", "oeil", "corps", "face", "yeux". Ronsard nous propose une analyse clinique de la dégradation de son organismeRonsard souffre en esthète → le quatrième vers évoque sa réticence à se regarder.B- Le constat douloureux de la dépossession de soiL’ouverture du sonnet sur l'hémistiche "je n'ai plus que les os" marque

ainsi un attachement des poètes à une structure strophique classique. Même si celle-ci est bousculée, elle demeure ici une base d'écriture. Les quatre poèmes du présent corpus s'inscrivent dans un registre lyrique. Les textes 1, 3 et 4 mettent ce lyrisme au service d'une expression personnelle des sentiments : dans l'extrait des Contemplations, le poète exprime l'intensité de sa souffrance au moyen d'exclamations et d'interjections qui ressemblent à des cris de souffrance (« Non ! » ; « oh ! ») et

d'Henri Michaux au sujet de la poésie, qui disait : « tout ce qui on fait de grandes choses les ont fait pour sortir d'une difficulté, d'un cul de sac... » Dans l’esprit de la plupart de ses admirateurs, la poésie s’identifie principalement au lyrisme, et plus particulièrement à la célébration de l’amour. Pourtant ce n’est pas d’abord cette exaltation que devrait rechercher la poésie selon Henri Michaux, écrivain, poète et peintre d'origine belge d'expression française. Il est né a Namur, le 24

poésie, en sa définition propre, est un art littéraire. Elle combine les sonorités, les rythmes, les mots de langue pour évoquer des images ; elle suggère des sensations et des émotions. En sa création, dans l’antiquité, la poésie avait pour nature le lyrisme, elle était destinée à être chanter. Au fur et à mesure des époques, cette fonction a évolué. Ainsi, la définition même de la poésie varie selon les auteurs, les époques, les cultures etc. La poésie est-elle seulement l’expression des sentiments personnels

actualise ce qui dans le premier paragraphe n'était question que de secouer. - Le passage de «  secouer » à «  manger » marque une intériorisation du monde et du temps. Le voyage n'est pas une vaine occupation mais une quête spirituelle. B) Le lyrisme amoureux est la condition nécessaire du voyage discours amoureux à l’origine du voyage : omniprésence des déictiques montrent qu'il ne s'agit pas d'un monologue mais d'une confidence, comme le montre le tutoiement et les impératifs «  laisse-moi »

A une passante Baudelaire La poésie accorde souvent à la femme le statut de muse. Objet de l’amour ou de l’admiration du poète, elle se fait alors source d’inspiration : de sa vue ou de sa pensée, naît le poème. Ainsi, le sonnet intitulé « A une passante », publié dans le recueil des Fleurs du Mal en 1861 par Charles Baudelaire, naît-il d’une rencontre aussi inattendue que violente avec une inconnue mystérieuse, une rencontre idéale qui plonge cependant rapidement le poète dans un nouvel état

Hymne : poème religieux en l'honneur des dieux ou des héros. Au XVIe siècle, poème à rime plate, en alexandrins, épique ou didactique (jamais lyrique) sur des sujets très divers. Ensuite, toute œuvre qui chante un grand sentiment sur le mode du lyrisme enthousiaste. Idylle : (grec : « petit tableau ») dans la poésie grecque, petit poème, presque toujours érotique, évoquant des scènes de la vie pastorale. Genre repris par la Pléiade. Impromptu : petit poème improvisé, très à la mode chez les Précieux