Culture Barbare

eu des traductions historiques dramatiques : Pour l’antiquité grecque, tout ce qui n’est pas grec est barbare Des siècles plus tard, tout ce qui n’était pas européen est sauvage et donc, dans la mesure du possible, à civiliser…Lévi-Strauss revient sur ces termes de « barbare » et « sauvage » et rappelle comme ils sont lourds de connotations péjoratives. Dans l’oreille d’un Grec « barbare » évoquait le chant inarticulé des oiseaux (caquetage et croassement). En latin, le radical « silva »

L’idée générale de ce texte est que la culture peut-être nuisible à la nature. Montaigne remet en cause la « supériorité » de la culture de sa société (l’ensemble de valeurs, coutumes croyances et savoirs) et des répercutions de cette dîtes culture sur toutes les autres (dans ce texte il s’agit de la culture Brésilienne) Dans la première partie de ce texte, Montaigne énonce sa thèse en utilisant les termes « barbare » et « sauvage » pour désigner des personnes différentes de soie et des peuples

1ère Séquence : Le Sujet, La Culture La Culture • Introduction : Etude d’un extrait du Protagoras de Platon, le mythe d’Epiméthée et de Prométhée. • Ce que nous apprend la bio-anthropologie sur le processus d’hominisation. CF De la biologie à la culture de Jacques Ruffié : la station debout permanente, la libération de la main, le développement du cerveau. • Que doivent les comportements humains à la nature ? Etude d’un texte de Emile Durkheim : le comportement de deuil. • 1) La diversité culturelle

notion de culture, en particulier la culture telle qu'elle se définit pour un Occidental. Qu'est-ce qu'un homme cultivé ? s'oppose-t-il à celui que l'on appelle barbare ? Et sur quoi repose la prétention à qualifier l'autre de « barbare » ? ne manque-t-on pas soi-même d'humanité en la refusant à autrui ? Lorsqu'en 1952 l'UNESCO publia des brochures sur le racisme, Claude Lévi-Strauss écrivit un essai qui devint Race et histoire, ouvrage qui permit d'apporter une réflexion nouvelle sur la culture occidentale

peuples germaniques ont été christianisés sous ce dogme. d. Les conséquences culturelles Avec la centralité de la religion chrétienne, ce sont les intellectuels chrétiens qui vont faire la transition vers la nouvelles culture chrétienne sans perdre les apportes des anciennes cultures grecques et romaines. C’est la création d’une nouvelle élite. 2) Politiques et administration a. Les reformes politiques Sous Constantin se développe un changement dans les structures de l’empire lui-même. Avec

ne date pas d’hier, l’ethnocentrisme. Nous étudierons comment, au travers du texte ainsi que d’autres exemples, il dépeint cette attitude, qui selon lui est “profondément ancrée chez la plupart des hommes” à travers l’histoire de la diversité des cultures. Nous nous intéresserons également à la notion d’humanité, qui n’est rien d’autre que l’issue du comportement ethnocentriste. L’etnocentrisme se définit comme “une tendance à répudier toutes les manifestations culturelles et les comportements éloignés

différence « Tous des sauvages ! » est une exposition autour du thème de la différence entre les cultures et de l'ethnocentrisme. L'exposition prend appui sur le livre Race et histoire (1952) de Claude Lévi-Strauss, qui nous montre que nous pensons être la seule culture civilisée ayant le bon et sain mode de penser, et vivre. Le comportement de l'étranger est incompréhensible et même dit de barbare (barbare voulant d'ailleurs dire à la base « étranger »). Notre peur de l'étranger nous fait inventer

1re approche 1) La culture peut sentendre en plusieurs sens - cest, dans le sens courant, les connaissances, notamment littraires et artistiques, dun individu - ce sont aussi, dans un sens plus large, les productions intellectuelles dune civilisation qui lui donnent sa marque particulire. - Mais la culture, en tant que ce qui procde de lhomme, dsigne tout ce qui est acquis et produit par lhomme (techniques, art, institutions, coutumes) cest ce qui soppose la nature, qui existe thoriquement avant

personnelle qui touche à tous les domaines. Ainsi, dans le premier livre des Essais paru en 1580 (première édition), l'auteur s'interroge sur le regard que l'Europe porte sur les indigènes du Nouveau Monde, souvent qualifiés de "sauvages" ou de "barbares". Sans avoir voyagé mais instruit par son secrétaire qui, lui, avait participé à une expédition vers ces nouvelles terres, et par ses lectures, Montaigne remet en cause cette vision européenne de l'Autre. Nous montrerons ainsi ce que met en jeu l'interrogation

multitude de chose est agencée, faite, construite par le pur et simple hasard ou par la nature. Une vraie réflexion philosophique se construit autour de ce sujet. Il oppose le monde des « barbares » face au monde des européens qui est civilisé. Montaigne argumente donc l’opposition entre nature (barbare) et culture (monde européen, occidental dans lequel il vit). Il défend le fait que la barbarie n’est pas ce que l’on pense. Les Européens ne pensent pas être sauvages mais en réalité, ils se réfugient