Cueillez Cueillez Votre Jeunesse

louanges immortelle. Je serais sous la terre, et, fantôme sans os, Par les ombres myrteux je prendrai mon repos; Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain: Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie. Choix et Analyse du poème:: P. de Ronsard a écrit ce poème en 1578, c'est-à-dire au paroxysme de son art, ceci en fait donc un extrait idéal. De plus, ce poème respect parfaitement les règle de la pléiade étant

dans une quête de la volupté, voire de la débauche et de la luxure. C'est l'attitude du sybarite, un homme qui mène une vie molle et voluptueuse, selon Littré. On pensera bien sûr au poème de Ronsard : Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. (Ronsard (1524-1585) - Sonnet pour Hélène) Et, plus proche de nous, au poème de Raymond Queneau (1903-1976), Si tu t'imagines : allons cueille cueille les roses les roses roses de la vie et que leurs pétales

l'importance d'une personne « marâtre »:une vielle femme méchante et jalouse « nature »:une personne « puisque »:explique pourquoi la nature est méchante « si vous me croyez »:cherche à convaincre « âge fleuronne »:dans la fleur de l'âge « cueillez votre jeunesse »:profiter de l'instant présent Louise Labé honnête:noble science:connaissance théorique discipline:pratique Œuvres poétiques Sonnet 2 « beaux yeux bruns »:bruns de l'homme « regarde détourné »:éviter le regard « larmes

Surgères à la cour, il s'agit d'une déclaration d'amour où Ronsard évoque le dédain de la dame, tout en parlant du temps qui passe, la jeunesse qui disparaît alors que la poésie reste immortelle. Dans le premier quatrain, il fait une projection dans le futur et décrit la vie monotone de cette vieille femme, il marque bien le contraste entre la beauté, assimilée à la jeunesse et son immobilité à la vieillesse. Il choisi d'opposer la mort du poéte à la vieillesse de la dame, d'Hélène pour marquer le fait

impression est presque unique dans l’art présent. C’est que jamais peut-être la dualité de l’être humain ne s’est attestée comme dans le manque d’équilibre de notre époque. Les Grecs, dans cette antiquité qui était la jeunesse du monde et qui était belle de toutes les grâces de la jeunesse, étaient proches encore de la simple nature de l’homme primitif ; en une parfaite harmonie, l’homme développait alors son esprit qui se plaisait à l’étude de la pensée, et son corps qui recherchait les joies de la

évidence l’ennuyeux quotidien d’Hélène. En plus, avec le temps s’enfuit également la beauté (belle rime avec chandelle). Ronsard utilise l’impératif (vivez, n’attendez, cueillez) qui encourage Hélène à vivre le moment présent (carpe diem). “cueillez les roses de la vie” métaphore de la brièveté de la vie, car elle se fane très vite. Ronsard utilise la morale épicurienne, l’impératif comme une provocation pour faire réagir Hélène. En effet ce sonnet pourrait

Et pour faire plaisir à Diderot ! VOLTAIRE : Et dans le moment où cette Encyclopédie est menacée, interdite, brûlée !Quand les bourreaux fanatiques torturent à mort ce pauvre Calas ! Quand partout se lèvent la barbarie et l'inquisition !Vous cueillez des pissenlits en crachant sur la culture et sur les philosophes ! ROUSSEAU : Monsieur, il y a de la dignité dans les pissenlits ! ...On dit qu'un Allemand à fait un livre sur un zeste de citron. Je pourrais en faire un sur la moindre mousse

Doucement tinte.Un oiseau sur l'arbre qu'on voitChante sa plainte.Mon Dieu, mon Dieu, la vie est làSimple et tranquille.Cette paisible rumeur-làVient de la ville.Qu'as-tu fait, ô toi que voilàPleurant sans cesse,Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,De ta jeunesse ? Texte 5 : Jean Tardieu, Est-ce une bête ?, Le Fleuve caché (1968). Est-ce une bête ou un homme ? Il court, Epouvanté, hagard, entre les ronces, les souliers lourds, Le visage et les mains Ensanglantés. Des cloches sonnent dans sa tête

(participes présents à un rythme lent). · évocation de la fin de journée (« au soir ») = fin de la vie. oppositon futur / passé (« serez », « direz » / « célébrait » (la femme était la muse du poète), « j'étais ») àdifférence entre beauté (propre à la jeunesse) et vieillesse. · tercet 1 et vers 1 du tercet 2 opposent la mort du poète (champ lexical de la mort : « sous la terre », « fantôme », « sans os » et « repos ») et la vieillesse d'Hélène qui regrettera de ne pas l'avoir aimé (« regrettant [...]

j’accepterais » (l.  1), « à mon sens » (l.  14) qui s’efface au profit du pronom « on » à valeur plus générale : « on lit » (l. 4), « on n’en tire » (l. 7), « on aurait » (l. 8), « on s’efforçait » (l. 11). Il s’adresse à un destinataire identifié  : « la jeunesse chrétienne, l’élite de notre peuple » (l. 13) et vise audelà toute la chrétienté allemande. Il s’agit de libérer l’Eglise de l’autorité papale. Cette position aboutit au schisme religieux catholiques/protestants. La dernière phrase oppose deux visions