Couvent

comportement de la Mère Supérieure. L’imparfait réapparaît ensuite, afin de marquer à nouveau, le dépit de Suzanne face à cette nouvelle Mère supérieure :« (…)aussi l’ordre et le désordre se succédaient-ils dans la maison( …); Le deuxième événement du couvent relaté par Suzanne, narrateur-personnage révèle alors un nouveau disfonctionnement. De fait, nous découvrons alors un excès de violence puis un excès de tendresse traduit par de véritables attouchements. « Une religieuse alors manque-t-elle à la moindre

faits réels, la vie d’Emma Bovary, femme du médecin Charles Bovary, qui fascinée par ses lectures de jeunesses, se laisse aller à l’adultère et mène une vie dépensière. Cet extrait traite des lectures d’Emma lorsqu’elle était encore pensionnaire au couvent Comment les lectures d’Emma sont-elles présentées ? Nous traiterons en premier de la description des lectures d’Emma et de l’importance de ses lectures dans sa vie, puis de Nous verrons dans un premier temps comment est montré l’importance de

par Toinette, et renforcé par la forme négative (« elle ne le fera pas », « vous ne la mettrez point dans un couvent », « vous n’aurez pas ce cœur-là ») : Toinette affirme avec assurance ce que ne fera pas Argan, comme si elle savait mieux que son maître lui-même ce qu’il souhaitait faire != Donc encore comique de situation (la servante tient tête à son maître) et de mots.Ligne 31 : « couvent » X4 : répétition du topos (= lieu commun, type d’argument banal, usé, un peu cliché) : car Argan est à court

pour une affaire personnelle : à la recherche depuis cinq ans d’une femme qui est devenue religieuse, il a fait fouiller tous les couvents, en vain, excepté le couvent des carmélites déchaussées qui se trouve sur l’ile. Alors qu’il assiste à la messe avec ses soldats, à la beauté de la musique, il reconnait la sœur qui joue de l’orgue. Malgré le strict règlement du couvent, il réussit à obtenir un entretien avec la religieuse, qui se nomme sœur Thérèse. Au cours de leur entrevue en présence d’une mère

Paris dans la masure Gorbeau. Javert le retrouve et le poursuit la nuit à travers les rues de Paris. Jean Valjean ne trouve son salut que dans le couvent du petit Picpus sous la protection de M. Fauchelevent, un charretier dont il avait sauvé la vie à Montreuil sur Mer. Après un épisode dramatique de fausse inhumation, Jean Valjean s'installe au couvent avec Cosette sous le nom d'Ultime Fauchelevent. Victor Hugo présente un Jean Valjean sublime : la chute ne lui a pas fait perdre les qualités morales

ne pas envenimer la situation, l'abbé de St-Yves décida, sur conseil du bailli, d'envoyer sa sœur au couvent. Le lendemain, lorsque « l'Ingénu » voulut voir sa future femme, on l'informa de son absence. Il décida d'aller la voir au couvent. L'abbé lui expliqua que cela était impossible, « l'Ingénu » fut encore plus furieux. Chapitre 7 - La bataille anglaise Attristé par la mise au couvent de Mlle de St-Yves, « l'Ingénu » se promenait sur la plage. A cet instant, il observa un mouvement de

alors un mur et atterrissent dans le jardin d’un couvent. Ils sont momentanément hors de danger. Dans ce jardin, Valjean se retrouve nez à nez avec M. Fauchelevent, un homme à qui il avait sauvé la vie quand il vivait sous le nom de M. Madeleine. En reconnaissance de ce fait glorieux, Fauchelevent, qui est jardinier du couvent, le cache dans sa masure et plus tard, pas un habile tour de main, le ferra passer pour son frère et entrer dans le couvent comme jardiner. Ce qui lui permettra de rester dans

peut le classer d'opposant puisque c'est cet amour qui va tuer Monsieur de Clèves et qui va créer tous les regrets de Madame de Clèves et lui faire adopter cette conduite stricte jusqu'à son entrée au couvent. A la fin de l'œuvre, Madame de Clèves alors veuve partage sa vie solitaire entre le couvent et une vie recluse à la campagne, la passion de Monsieur de Némours est morte. On peut dire que l'héroïne a triomphé puisqu'elle a résisté à l'appel de l'amour et est resté fidèle à son mari jusqu'à

d’injustice en cohérence avec son amour intoléré par cette époque. L’ingénu est encore plus rageux quand il apprend que sa marraine, mademoiselle de Saint-Yves, est envoyé dans un couvent. Sa tante, Mademoiselle de Kerkabon pense même qu’il est possédé par le diable. Il sort des menaces en disant qu’il va foutre le feu au couvent pour l’enlever et s’il ne réussit pas, il va se brûler avec elle dans le couvent.Pour se calmer, il marche un peu et il croise la milice française qui est sur le point d’affronter

de passer maintenant à un résumé de cet ouvrage pour en dévoiler l’articulation. II- Les infortunes de la vertu : une porte sur l’univers sadien. Justine, 12 ans et Juliette 15 ans sont deux sœurs dont l’éducation a été confiée au couvent et sont donc chaste à sa sortie. Leur caractère, leur physique et leur mode de pensée sont opposés en tout point. Justine est décrite par Sade comme étant extrêmement sensible voire mélancolique, candide et tendre ; elle symbolise la vertu et ce sont