Cours Finances Publiques Maroc

Université Hassan II Ain Chock Ecole Supérieure de Technologie de Casablanca Département Technique de Management Finance et Comptabilité Rapport de Projet de Fin d’Etudes Sous le thème : Réalisé par : ESMAINI Hakima OUAKIL Soukaina Les instruments de financement des PME au Maroc Encadré par : M. MRABET Youssef Année universitaire : 2010 - 2011 Avant propos Dans le cadre

genre est-il une variable discriminante ? Institut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique, N° 0802, Belgique, 2008, P 8. 35 Liste des abréviations et des acronymes AFEM Association des femmes chefs d'entreprise du Maroc ARDI Fondation Crédit Agricole BIT Bureau international du travail CEDEF Convention sur l’élimination des discriminations à l’égard Des femmes CEI Communauté des Etats Indépendants Dhs

..................................................................  3) La concurrence.......................................................................  4) L’investissement direct étranger (IDE)............................. 5) Les aides publiques ……………………………………………………………  CONCLUSION. INTRODUCTION : La Turquie contient 76 millions d’habitants et un taux de croissance de la population de 1,2% par an, la Turquie est le 17ème pays le plus peuplé au monde. Istanbul, la

17-12-08 Le plan comptable de l'Etat, un outil de bonne gouvernance en matière des finances publiques Le plan comptable de l'Etat constitue un "outil de bonne gouvernance" en matière des finances publiques, a affirmé, mardi à Rabat, le ministre de l'Economie et des Finances, M. Salaheddine Mezouar. Ce plan comptable s'inscrit dans le cadre des réformes globales que connaît le Maroc, particulièrement en ce qui concerne le suivi et le contrôle des opérations réalisées par l'Etat

SOMMAIRE DEDICACE………………………………………………………………………………………2 REMERCIEMENT…………………………………………………………………………….3 INTRODUCTION GENERALE ……………………………………………………………4 Chapitre I : Flux et tendance des IDE au Maroc ……………………………..7 Chapitre II : Recette des investissements étrangers au Maroc ………20 Conclusion générale ………………………………………………………………………28 INTRODUCTION GENERALE L’investissement direct étranger est largement reconnu comme un

Sources ATTIJARIWAFA BANK I. ANALYSE DE L’ENTREPRISE Attijariwafa Bank est un groupe bancaire et financier marocain qui a vu le jour en 2004 suite à la fusion entre deux grands groupes bancaires marocains : la Banque Commercial du Maroc (BCM) et Wafabank. Aujourd’hui, le groupe s’impose comme le 1er groupe bancaire et financier du Maghreb, tel était l’objectif affiché lors de sa création. Histoire de Wafabank : La Wafabank a été créée en 1904 à Tanger, sous le nom de Compagnie

Royaume du Maroc Ministère de l’Economie et des Finances CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS Institué par l’Article 5 de la loi de finances n° 43-06 pour l’année budgétaire 2007 promulguée par le Dahir n° 1-06-232 du 10 Hija 1427 ( 31 Décembre 2006) Cinquième édition 2011 CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS 2 PREAMBULE L’élaboration du Code Général des Impôts en 2007 s’inscrit dans le prolongement des reformes menées par les pouvoirs publics suite aux Hautes Instructions de Sa Majesté Le Roi Mohammed

| |Rabat | | | Filière sciences économiques et gestion Option : Monnaie Finance Banque Mémoire de licence [pic] Mémoire réalisé par : Encadré par  Mlle Nisrine AIT SGHAIR ; Mr Driss FREj Mlle Salma BEL-AFIA; Encadrante Mr Oussama LAAROUSSI

ACCORD DE LIBRE ECHANGE ENTRE LE MAROC ET LES ETATS- UNIS D’AMERIQUE M. EL AZIZI ABDOU Chef du Service Amériques Direction du Trésor et des Finances Extérieures MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES (Maroc) Paris le 28 octobre 2008 ACCORD DE LIBRE ECHANGE ENTRE LE MAROC ET LES ETATS- UNIS D’AMERIQUE Plan: * * * * * Spécificités de l’ALE Préparation et organisations des négociations Déroulement des négociations Signature de l’ALE et son entrée en vigueur Synthèse des engagements pris

témoigne et celui qui en établit le contrat." Les savants musulmans ont déduit que le croyant musulman ne devait donc pas prêter son argent à intérêt, ni même avoir recours au prêt à intérêt. Devant l'apparition des nouvelles pratiques bancaires, au cours du XXe siècle, les savants musulmans se sont interrogés. En 1965, une commission de juristes musulmans venus de 36 pays s'est réunie en Egypte, à al-Azhar, afin de statuer sur la question de l'intérêt. Ils confirmèrent unanimement cette prohibition