Cosmopolitisme

vante l’enseignement fr en orient et le voit tourné contre (le souffle ennemi des anglo-saxons). Impt référence antique : Maurras est très attaché au midi de la France, pour lui, la France prolonge le géni gréco – latin. Il va à l’encontre du cosmopolitisme méd qu’il déteste. Il oppose la Marseille antique pure à la Marseille moderne (« repère de levantins, nègres et juifs »). Louis Bertrand (écrivain) cumule la xénophobie (L’invasion en 1907 dénonce immigration it à Marseille), hiérarchisation raciale

même si la nature n'a pas de droits propres. L'écologie ne doit pas alors agir au niveau politique, mais à celui de la société civile (chapitre 4 : l'écologie démocratique et la question des droits de la nature). Dans l'épilogue (Nationalisme et cosmopolitisme : les trois cultures), Luc Ferry revient sur les trois moments de la culture : l'arrachement, l'enracinement et la consommation. La culture n'est pas un prolongement de la nature : revenir à la nature, ce serait alors revenir à la barbarie. Le

réformes mais des réformes qui ne recourent pas à des violences (rejet de la violence) ; - Ce sont des Hommes qui sont originaires de plusieurs pays. Les humanistes ont donc entre eux une langue commune : le latin. De plus, ils ont entre eux un cosmopolitisme : ils se sentent les citoyens d’une République des lettres avec une langue, un projet politique… Les humanistes touchent un petit nombre d’individus. La redécouverte de l’Antiquité  Il y a un véritable souci de retourner aux sources Antiques

prétention à contrôler les opinions et les comportements des membres de la communauté contraints à une obligation d'appartenance. Souvent par réaction de défense, le communautarisme s'oppose au libéralisme, à l'individualisme, au rationalisme, au cosmopolitisme et à l'universalisme. Dans les formes les plus exacerbées du communautarisme, le monde est manichéen, il y a les bons (ceux qui font partie de la communauté) et les mauvais (les autres). Il s'apparente alors à une forme de racisme. Pour ses

définitive que les participants internationalisés étaient les obligés de ces seules organisations, et ne représentaient personne du fait même de leur internationalisation. Notre propos diffère de celui-ci. D’une part car l’on voit mal en quoi le cosmopolitisme devrait constituer l’apanage des élites militantes du Nord. Ensuite parce que l’internationalisation ne conduit pas mécaniquement les L’INTERNATIONALISATION DU MILITANTISME EN AFRIQUE / 233 activistes africains internationalisés à ne « représenter

toute l'Europe, parmi lesquels on peut citer Johannes Itten, Vassily Kandinsky, Paul Klee, László Moholy-Nagy ou Marcel Breuer.) La plupart de ces mouvements d’avant-gardes furent donc inspirés par ses préscurseurs et grâce notamment au grand cosmopolitisme que l’Europe connaît à cette période permettant aux artistes de différentes nationalités de travailler ensemble à l’émergence de nouveaux courants. Mais la plupart de ces mouvement connaitrons leur rupture suite à la première guerre mondiale et

S’il y a des quartiers à dominante ethnique comme Kumkapi pour les Juifs, le Fener pour les Grecs, Balat pour les Arméniens, Péra pour les Levantins, ils ne constituent pas des ghettos fermés et on y observe un certain mélange des populations. Le cosmopolitisme d’Istanbul s’affirme tout au long du 19ème siècle : si en 1800 on y dénombre 400 000 habitants, la population a plus que doublé en 1886. On compte alors 44% de musulmans, 17,5 % de Grecs, 17% d’Arméniens, 5% de Juifs et 15% d’étrangers. Cette

a d’universel dans la nature humaine sur ce qui est propre à chaque temps, à chaque lieu, à chaque classe, à chaque nationalité » selon Cournot. L’idée d’un universel transcendant singularités et particularismes se retrouve d’ailleurs dans le cosmopolitisme, aspect juridique de la philanthropie stoïcienne. La bienfaisance quant à elle , consiste non pas à secourir individuellement les malheureux mais à améliorer le sort des hommes par des moyens d’une portée générale, notamment par des institutions

identiques et que la langue nationale garantit l’identité nationale collective, dans un processus d’identification dialectique. Il convient donc de préserver celle-ci de toute altération. Le plurilinguisme est, dès lors, tenu pour une forme du cosmopolitisme, signe d’altération de l’identité nationale. On sait comment l’exaltation exacerbée de ces entités nationales, irréductibles l’une à l’autre mais constituées de la même manière, ont conduit à l’implosion de l’Europe. L’idéologie linguistique

· Total : 50M personnes quittent Europe, 2/3 vers E-U, autres vers pays neufs = Arg + Brésil + colo UK. -Cosmopolitisme, valeurs héritée lumières ne résiste pas à essor États-nations qui se heurtent au nationalisme. -Côté gauche, idée d’une orga mondiale aboutit à création une internationale mais division emporte, ouvrier se sent d’ab français avant international