Corpus Sur La Tragedie Classique

la façon dont le conflit est traité dans certains registres du théâtre nous pourrons peut-être y trouver des similitudes. Nous nous aiderons avec des textes extraits d’un corpus, de pièces de théâtre lues dans le manuel ainsi qu’une pièce dans laquelle nous avons tenu un rôle personnellement. Avec l’aide des textes du corpus, qui nous sont « fournis » sur le sujet, nous avons pu étudier quatre textes dont trois sont issus du manuel. Ce sont tous des pièces de théâtre issues d’auteurs différents

Français : Réaliser un corpus sur l'esthétique classique Note : Observation : Pour réaliser ce corpus, trois textes caractéristiques de l'esthétique classique nous ont été fournis : le « Chant I » d'Art Poétique (1674) de Nicolas Boileau (1636-1711), un extrait du « Pâtre et le Lion » des Fables (1668-1678) de Jean de la Fontaine (1621-1995), la préface de Phèdre (1677) de Jean Racine (1639-1699) ; ainsi que des photographies en illustrant l'application

TRAGEDIE & COMEDIE AU XVII° Objet d’étude : Le théâtre au XVII° PRESENTATION DU COURS PLAN DU COURS I. Contexte historique en bref II. Petite histoire du théâtre : Contexte/ Classicisme III. Mouvements litéraires et artistiques : Baroqure et classicisme IV. L’art d’analyser un texte théâtral V. La question de la mise en scène VI. Le vocabulaire du théâtre VII. Corpus : VIII. Œuvre cursive : Corneille, La Place royale IX. Documents complémentaires : X. Petit quiz sur le

Cid » (Paris, PUF, coll. « Études littéraires », 1989) sont également très éclairantes. Pour éviter de proposer aux élèves un exposé purement magistral, voici quelques propositions de mise en activité pour cette introduction contextuelle. Étude d’un corpus de textes – Molière, Dom Juan (livre de l'élève, p. 176). – La Rochefoucauld, Maximes, maxime 215 (livre de l'élève, p. 177). – Paul Bénichou, Morales du grand siècle (livre de l'élève, p. 177-178). – Marie-Odile Sweetser, La Dramaturgie de Corneille

Question de corpus : Le corpus comporte quatre textes. Le premier est un poème de Nicolas Boileau, et tiré de l'art poétique oublié en 1674 .Le deuxième est la scène d'exposition de la pièce « les caprices de Marianne », écrit en 1833 par Alfred de Musset , le 3ème est la scène d'exposition de « la cantatrice chauve » écrit en 1950 par Eugène IONESCO et enfin le dernier est la scène d'exposition de « deux femmes pour un fantôme » rédigé en 1971 par René de OBALDIA. Nous montrerons dans quelle

genres de la comédie et la tragi-comédie introduction Suite à la présentation orale relevant de l’utilisation de l’inventio et du dispositio dans les trois œuvres du corpus cité en bibliographie, ce travail propose d’aborder dans un premier temps une définition du genre de la comédie, en relation avec la définition de la tragédie, telle qu’elle se présentait au début du 17e siècle. Nous aborderons notamment les notions permettant d’identifier ces genres, en orientant notre recherche sur les inspirations

que seule la tragédie permet d’exprimer de grandes idées. D’autres affirment que seule la comédie peut toucher le plus grand nombre. Vous expliquerez, dans un premier temps, en quoi la tragédie et la comédie permettent d’exprimer de grandes idées à un large public. Vous développerez ensuite votre point de vue pour dire le genre qui vous semble le plus efficace dans la mise en scène de la parole. Votre développement argumenté d’une quarantaine de lignes s’appuiera sur les textes du corpus, vos lectures

 séance Durée Activité support Compétences visées 1 1h Travaux encadrés : présentation du genre+ le schème d’une pièce classique. Les recherches des élèves sur le genre et le schéma d’une pièce classique. - Connaître le genre. - Connaître le schéma d’une pièce de théâtre 2 1h Travaux encadrés : la biographie de l’auteur + le mythe d’Œdipe. Les recherches des élèves sur : la biographie de l’auteur + le mythe d’Œdipe. Connaître

l'imitation directe des actions. Récits envahissants à l'intérieur de la tragédie classique, car pas représenter pour cause vraisemblance et bienséances. Ex : mort de Théramène, long récit. Combat aussi des Horaces et des Curiaces. Action violente pas représentée non plus. Récits riches en hypotyposes à la place de la monstration. Mettre sous les yeux de l'esprit, de l'imagination. Pas montrée concrètement. Interdiction dans tragédie classique de représenter des actions violente. Caractérise aussi le théâtre

Objectifs : après avoir lu et expliqué les règles d’une tragédie classique, il est intéressant de confronter les règles instaurées par les théoriciens et la pratique de la scène proposée par les deux plus grands auteurs tragiques du XVIIe siècle. Il s’agit de comprendre ce qui les différencie, et d’analyser l’évolution du genre (et du goût du public) entre le milieu du siècle et la fin. 1 et 2. Le tragique, pour Corneille, repose sur des scènes violentes, des conflits puissants, des passions