Corpus Sur La Mélancolie

alors du style de cette civilisation ; la forme politique qui permet aux peuples concernés de vivre en paix intérieure et extérieure ; la religion qui unit les individus dans une vision commune de leur destinée et, enfin, la science qui englobe le corpus de connaissances de cette civilisation. Les civilisations meurent lorsqu’elles perdent leurs valeurs et que les individus qui la composent oublient ce qui forgeait leur unité. La recherche de la préservation des richesses, le repli individualiste

jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien autre chose que la mélancolie. Tressignies, qui croyait qu’elle allait prendre la rue de la Chaussée-d’Antin, étincelante de ses mille becs ½¼ de lumière, vit avec surprise tout ce luxe piaffant de courtisane, toute cette fierté impudente de fille enivrée d’elle-même et des soies

Mabanckou par la productivité (c’est-à-dire par un étirement textuel) et la signifiance (gage d’une structuration des signes pour aboutir à une signification), a pu mettre à nu les différentes images de l’exil dans son œuvre qui par ailleurs fait écho de corpus à ce travail. Ceci étant, pour satisfaire à la logique scientifique du travail, nous scinderons notre étude en trois chapitres de longueurs inégales. En faisant d’abord la représentation de l’exil par le biais de la translation des figures lexématiques

jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien autre chose que la mélancolie. Tressignies, qui croyait qu’elle allait prendre la rue de la Chaussée-d’Antin, étincelante de ses mille becs ½¼ de lumière, vit avec surprise tout ce luxe piaffant de courtisane, toute cette fierté impudente de fille enivrée d’elle-même et des

crédulité » (p.14). En effet, il conclut son anecdote en levant toute incertitude sur une quelconque superstition ou croyance surnaturelle en expliquant qu’ « après avoir été traité par un bon médecin, il se trouva que son mal n’était qu’un peu de mélancolie, et beaucoup de peine » (p.14). Par l’intermédiaire de cette anecdote, le personnage-narrateur amène le lecteur à la réflexion et le pousse à avoir un regard « rationaliste » par rapport aux croyances superstitieuse et dans ce cas, sur l’ensorcellement

des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit. Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe, Tout bas, loin du jour, La mauvaise bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! Juillet 1842. Victor Hugo, les

de séquences, croiser les textes et images d’une même séquence avec d’autres documents, former un corpus de type bac à partir de quelques textes étudiés en lecture analytique, etc. Dans la partie I, une série de prolongements met chaque séquence en réseau avec l’intitulé général de l’objet d’étude (pistes bibliographiques, liens avec le DVD-Rom de la collection Terres littéraires, propositions de corpus et d’activités complémentaires de type bac). En fin de correction de chaque fiche de la partie II

« La boue et l’or »Corpus extrait des Fleurs du Mal « Au lecteur » La sottise, l’erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste

elle se languit de son absence et on peut dire que cette langueur annonce la future mélancolie dont elle mourra. L’auteur semble de fait défendre la tradition contre l’ouverture vers d’autres cultures qui pervertissent la stabilité morale que représente toute tradition.Extrait 2 (suite) : Supports : œuvre intégrale, fiches 42 à 44 pour la lecture de l’image et son interprétation d’une part, et, pour la lecture de corpus d’autre part : texte et image 2. Le harem comme petite société

Parme………………………………………………….53 III.1 Le personnage de Clélia Conti…………….…………55 III. 2 Le personnage de Gina Sanseverina……………...….69 Chapitre IV Conclusion......................................................................74 Corpus d’étude .....................................................................................75 Bibliographie.........................................................................................75 Bibliographie Électronique.....