Corpus Libertin

spectateurs, pour le reste grâce à la lecture de lettres à voix haute par leurs destinataires. Ce mélange est extrêmement habile car il ne rend pas la forme fastidieuse et il permet une grande fidélité au roman. B. Le genre libertin dans le film. L'appartenance au genre libertin se retrouve dans le film, par quelques scènes érotiques où le personnage de Valmont est au lit avec Emilie, avec Cécile ou encore avec la présidente de Tourvel, mais ces scènes d'alcôve sont peu nombreuses et assez furtives

est-il un libertin. Pour cela, dans une première partie nous allons nous intéresser au libertinage au XVIIe siècle puis dans une deuxième partie nous observerons le libertinage dans la pièce Dom Juan. I) Le Libertinage au XVIIe siècle : Nous allons tout d’abord voir ce qu’est le libertinage au XVIIe siècle. a) Définition Libertinage des mœurs et des pensées : • Tout d’abord, je vais vous définir le mot « libertin ». Au XVIIe siècle, il existe deux acceptions au mot libertin •

représentent-ils le système des libertins ? Les Liaisons dangereuses est un roman épistolaire qui a été écrit au XVIIIème siècle par Choderlos de Laclos. Cette œuvre a été reprise au cinéma par le cinéaste Stephen Frears Le terme « libertin » (en latin libertinus) signifie esclave affranchi et prend le sens de libre. Il apparaît pour la première fois au XVIème siècle. L’étymologie de ce terme convient parfaitement aux personnages libertins de Laclos. Nous pouvons constater que les libertins sont avides de liberté

d’en faire le double “proleptique” du Vicomte. Néanmoins, on peut apercevoir le supposé Belleroche au détour d’un angle. - La théâtralité comique vient aussi du jeu des acteurs. Malkovitch, très cabot, s’en donne à coeur joie dans le rôle du libertin athée qui observe la Présidente à la messe, ou qui jauge les femmes comme on regarderait un cheval. Quant à Glenn Close, dans un jeu plus subtil, elle dose et mesure ses regards et ses paroles. Ces aspects comiques s’insèrent néanmoins dans une

relations épistolaires de deux libertins du XVIIIème siècle, racontant leurs diverses conquêtes. Néanmoins, le troisième personnage écrivant le plus de lettres est Madame de Tourvel, une femme vertueuse. Pourquoi donc conférer une si grande importance à cette figure de la vertu quand le roman et son adaptation cinématographique semblent, à première vue, faire état du libertinage ?Sommaire:IntroductionI) Une figure morale au service de la démonstration du vice libertin : le contraste avec Madame de

hyperbole : « je me sens un cœur à aimer tte la terre » : mégalomanie amoureuse. II/ LA FIGURE DE DOM JUAN : UN LIBERTIN A/ ORGUEIL EY ABSENCE DE SCRUPULE *Personnage pétri d’orgeuil : « lorsqu’on en est maître » : aime dominer. *Abscence de scrupule : hyperbole « réduire par cent hommage le cœur d’une jeune beauté » : prend du plaisir à déshonorer les femmes. *Hypocrisie du libertin : oxymore : « douce violence » : rien ne l’arrête. Aucune morale. B/ HYPOCRISIE ET RENVERSEMENT DE VALEUR

Le roman de Laclos est souvent rattaché à la littérature libertine qui s’est développée au 18ème siècle. Les Liaisons dangereuses forment-elles une œuvre libertine ? ANALYSE DU SUJET  Le sujet inscrit l'œuvre de Laclos dans son temps et propose une étiquette précise en suggérant que le roman est un roman libertin. Le 18ème siècle propose en effet toute une production littéraire dont le libertinage amoureux est le motif majeur : sont mis en scène des personnages, des nobles, dont l'unique préoccupation

Sicile.  Dom Juan vient de quitter sa femme pour tenter d'enlever à son futur époux une jeune fiancée (Done Elvire) une fois celle-ci séduite, il jette son dévolu sur de jeunes paysannes qu'il promet d'épouser. Sganarelle essaye de ramener son maître libertin dans le chemin de la vertu et de la religion mais Dom Juan préfère s’abandonner au plaisir. Done Elvire envoie ses deux frères en Sicile pour trouver Dom Juan et le punir de l'affront commis à son égard : en effet, Dom Juan l’a enlevée d'un couvent

Les Liaisons Dangereuses, roman écrit par Choderlos de Laclos au XVIIIème siècle. Il met en scène l’histoire de deux libertins entourés de diverses intrigues, et se veut roman moralisateur. La question que nous pourrions nous poser à la lecture de ce roman est la suivante : Dans quelle mesure ce roman illustre-t-il ou remet-il en question l’idéal du siècle des Lumières ? Pour y répondre, nous étudierons d’abord le contexte historique de l’époque ainsi que les principaux idéaux des Lumières, puis

Tirso de Molina, est une comédie qui raconte la vie d’un libertin. C’est ainsi que nous pouvons nous demander en quoi Molière dénonce-t-il exemplairement le libertinage dans cet extrait ? Et en quoi ce tableau du libertinage d’esprit de Dom Juan est elle aussi une amorce de la critique de l’hypocrisie religieuse ? C’est ce que nous tenterons de démontrer dans ce commentaire. Plan : I) Un moment exemplaire de la dénonciation du libertin par Molière 1) Dom Juan, un homme avare et impie