Corpus La Fontaine Rousseau

sens tactique, votre art de la communication et du dialogue. Ce peut être la source d’un ou deux points de bonification. Autre cas de figure : l’auteur est tellement connu que vous pouvez vous dispenser de le citer. Ce peut être le cas de Jean de La Fontaine, ou de Victor Hugo. Ou encore du Général de Gaulle. Il est permis de considérer que leurs phrases les plus célèbres font partie du « patrimoine national ». Et il est des cas où ne pas donner de nom équivaut à établir entre vous et le jury une bonne

débats sur l’éducation au Canada ont vu le jour au même moment que ceux sur la démocratie, c’est-à-dire vers 1830-1840. Il est deux hommes que j’admire énormément et qui sont en fait les fondateurs de notre démocratie : Robert Baldwin et Louis La Fontaine. Tous deux étaient fort préoccupés par notre pauvreté et notre manque d’éducation. Robert Baldwin dit un jour, lors d’un des premiers débats sur l’éducation, que « c’est l’homme riche, en particulier, qui va bénéficier de l’éducation du peuple ».

instrumentalisation de la religion par le politique ; la pratique des cultes religieux est une activité sociale, civique, à laquelle le bon citoyen doit participer. Il est intéressant de voir qu’un auteur récent a développé une idée semblable : ROUSSEAU (XVIIIème siècle). Le christianisme considère que la pratique religieuse doit être un acte de foi, un acte libre. Par conséquent les chrétiens ne pourront pas participer à un certain nombre de cultes romains qu’ils considèreront comme contraires

instrumentalisation de la religion par le politique ; la pratique des cultes religieux est une activité sociale, civique, à laquelle le bon citoyen doit participer. Il est intéressant de voir qu’un auteur récent a développé une idée semblable : ROUSSEAU (XVIIIème siècle). Le christianisme considère que la pratique religieuse doit être un acte de foi, un acte libre. Par conséquent les chrétiens ne pourront pas participer à un certain nombre de cultes romains qu’ils considèreront comme contraires

anthroponymique touche là de bien près à celle des ouvrages de généalogie : de ceux-ci nous n'avons cité que fort peu, puisqu'il s'agit d'une discipline distincte3. La connaissance de l'anthroponymie médiévale est liée elle aussi à la publication de corpus - enfin vient de paraître celui que Mlle Morlet a établi pour la Gaule jusqu'au XIIe siècle - et au rassemblement de textes tels que la collection d'obituaires en cours de publication à l'Institut de France ; elle n'est donc encore que fragmentaire

attribué à certains rois de Rome comme  Romulus en ce qui concerne les divorces et qui auraient été votée par les comices centuriates sur proposition du roi. Comme par exemple les lois des XII tables votées en -451, -450 avant JC : il s’agit du premier corpus de lois écrites à Rome, rédigées par un comité que l’on appelle les décemvirs. Ces lois furent votées pour calmer les affrontements entre les patriciens et les plébéiens, afin de fixer des règles communes qui soient connues de tous. Ces loi seront

la cahute d'Elsa jusqu'au tonneau de Diogène. Parmi les penseurs qui ont fait courir ce fil, de la Grèce au Pôle nord, sur deux millénaires, on remarque Karl Marx, La Fontaine, François d'Assise, Marc Aurèle Sénèque, Jésus-Christ. Tant de diversité religieuse (Karl Marx et Jésus-Christ), sociale (Marc Aurèle et La Fontaine) et culturelle (Sénèque et François d'Assise) ajoute du poids à leur mépris commun des biens dits extérieurs. Ces biens ne sont pas nécessairement des choses, ni ne sont

leur modernité respective. Sa disparition reflète une recomposition de leurs rapports et sa pratique a servi de révélateur pour des tensions fondatrices de la culture actuelle. 1.2. Un échec fondateur mais ignoré Malgré ce double intérêt, le corpus de la poésie scientifique du XIXe siècle n’a fait l’objet d’aucune recherche d’ensemble depuis une étude d’Alexandre-Casimir Fusil, en 1917. Il a été ignoré par les recherches sur les relations entre sciences et littérature menées dans les années

VIe siècle par la glose des Institutes de Justinien dite de Turin. Elle en donne une définition| |assez courte : « Lien de droit, c'est dire le droit, parce que le droit est un lien ». On la retrouve chez | |Placentin (+ 1192), Pierre de Fontaines (l'auteur du Conseil à un ami), Philippe de Beaumanoir (vers 1250-1296),| |Jacques de Revigny (+ 1296), dans le Dictionnaire de droit civil et canonique d'Albéric de Rosate (+ 1351), chez| |Balde (+ 1400) et enfin au XVIe siècle chez les Maîtres

son personnage « en situation », sur la foi des oeuvres, des témoignages et des documents, en naviguant parfois, aussi rarement que possible, plus près du vraisemblable que du certain. Mais on ne fait pas un portrait, comme l'espérait le douanier Rousseau, en reportant sur la toile les mesures du visage d'Apollinaire ! L'auteur a fait parler son héros, sans romancier, mais en romancier. On lui rendra, il l'espère, cette justice qu'il ne l'a jamais fait gratuitement, mais toujours « dans le mouvement