Copernic Et Les Sauvages

Egypte, il renverse le Directoire par le coup d’Etat du 18 brumaire (9 novembre 1799). Règne de Louis XIV II- L’évolution des Arts & des Idées : 1) Le mouvement des Lumières a été, en grande partie, un prolongement des découvertes de Copernic au XVIe siècle, peu diffusées de son vivant, puis surtout des théories de Galilée (1564-1642). Une quête d’axiomes, de certitudes éprouvées, se poursuivit dans le mouvement du cartésianisme tout au long du XVIIIe siècle. Leibniz (1646-1716) développa

croyances, les pvrs en place ds la société, la structure de la société. Copernic (1473-1543) découvre héliocentrisme dc réfutation irréversible du géocentrisme qui était le model théorique de Ptolémée (antiquité) Critères : la Terre était au centre de l’univers, pensée comme étant immobile, le cosmos est de dimension finie et il est partagé en 2 : monde sublunaire (soumis au changmt dc monde imparfait) et monde supra lunaire. Copernic est passionné de maths, sa théorie a été condamnée en 1616 par l’inquisition

la France et l’Europe (massacre de la Saint –Barthélemy, le 24 août 1572), et auxquelles l’Edit de Nantes (1598) mettra fin. C’est aussi l’époque de grandes découvertes géographiques (Magellan, Vasco de Gama) et scientifiques (les astronomes Copernic, Galilée, le médecin Ambroise Paré) -L’Ecole de la Pléiade : vient du grec « pleias », « constellation de 7 étoiles ». En 1556, c’est le nom donné au groupe de sept grands poètes français de la Renaissance (Baïf, Ronsard, Du Bellay, Peletier

toujours ainsi. Pourtant, en moins d’un siècle, toutes vos certitudes millénaires vont voler en éclat. Une révolution scientifique majeure va se dérouler, qui débute justement en 1543. Cette année-là (2) parait un livre rédigé par un moine polonais, Copernic. Celui-ci sait que les idées qu’il défend sont susceptibles de le faire finir rôti sur un bûcher (3), aussi il prend la «précaution» de faire publier son livre par un de ses élèves (4), à l’étranger, et à la fin de sa vie. Son éditeur, craintif, mentionne

toujours ainsi. Pourtant, en moins d’un siècle, toutes vos certitudes millénaires vont voler en éclat. Une révolution scientifique majeure va se dérouler, qui débute justement en 1543. Cette année-là (2) parait un livre rédigé par un moine polonais, Copernic. Celui-ci sait que les idées qu’il défend sont susceptibles de le faire finir rôti sur un bûcher (3), aussi il prend la «précaution» de faire publier son livre par un de ses élèves (4), à l’étranger, et à la fin de sa vie. Son éditeur, craintif,

supérieurs en ce que leur rapport à la nature pourrait donner des leçons aux Occidentaux, soit à l’inverse on les voit comme inférieurs, comme des sauvages (près des animaux) pouvant être réduit à l’esclavage sans vergogne. - On abandonne la représentation géocentrique du cosmos (système de Ptolémée) pour une construction héliocentrique de l’univers (Copernic) ; la terre n’est plus le centre du monde. Les croyances religieuses prennent une dimension plus personnelle, l’intervention des dogmes religieux

monde par deux hypothèses : -L’hypothèse de l’héliocentrisme - L’hypothèse qui dit que la terre tourne sur elle-même autour du soleil Le système de Copernic ne s’impose pas avant 1633 (procès et abjuration de Galilée). Les écrivains du 16e pensent et rêvent à l’intérieur d’un système géocentrique. La théorie de Copernic n’est pas perçue comme un bouleversement tout de suite : c’est une révolution après coup. Le passage du géocentrisme à l’héliocentrisme met en avant la nécessité de

politiques que sociaux. Il est la conséquence des déchirements militaires et civils de lanoblesse française entre catholiques et protestants, notamment de la vendetta entre le clan des Guise et celui des Châtillon-Montmorency. Il est le résultat d'une sauvage réaction populaire, ultra-catholique et hostile à la politique royale d'apaisement. Il reflète également les tensions internationales entre les royaumes de France et d'Espagne, avivées par l'insurrection aux Pays-Bas. Pendant longtemps, la tradition

notation alg´brique . . . . . . e 3. Les ´quations alg´briques . . . . . e e 4. La g´om´trie analytique e e . . . . . 5. Analyse combinatoire et probabilit´s e 6. Le calcul infinit´simal . . . . . . e 5.2. La r´volution copernicienne . . . . . . e 1. Copernic . . . . . . . . . . . . 2. Tycho Brah´ . . . . . . . . . . e 3. Kepler . . . . . . . . . . . . . 4. Galil´e . . . . . . . . . . . . . e 5.3. La naissance de la m´canique e . . . . . 1. Stevin et la statique . . . . . . . 2. Les travaux de Galil´e

pré-socratiques[réf. nécessaire] quant à la place de la terre dans l'espace. À la suite d'Eudoxe de Cnide, il imagine un système géocentrique et considère que le cosmos est fini. Il sera suivi en cela par ses successeurs en matière d'astronomie, jusqu'à Copernic, à l'exception d'Aristarque, qui proposera un système héliocentrique. Il détermine par ailleurs que le vivant est ordonné selon une chaîne hiérarchisée mais sa théorie est avant tout fixiste. Il pose l'existence des premiers principes indémontrables