Convergence Entre Classiques Et Néoclassique

François-Simiand, EHESS GILLES POSTEL-VINAY Atelier François-Simiand, PSE (INRA), EHESS L es interactions entre histoire et économie sont nombreuses et dans l’ensemble très asymétriques, les historiens (souvent d’ailleurs économistes de formation) empruntant fréquemment les méthodes, voire certaines problématiques de la théorie économique. Cette bonne entente signifie-t-elle convergence intellectuelle ? Oui, dans une large mesure, car l’économie aide l’historien à mieux construire ses concepts

régulatrice qui corrige les excès du marché, en encadrant les acteurs sur les marchés : l'Etat. Chapitre 1 : Les grands courants de la pensée économique Section I : Le courant libéral L'école classique : fin 18ème => début 19ème. Smith (18ème), Ricardo, Say, Stuart Mill L'école néoclassique : fin 19ème => 20ème et jusqu’à aujourd’hui. Walras, Marshall,,Menger,Hayek il y a aussi l'École de Chicago et les monétaristes avec Lucas, Stigler.Friedman Le point commun : confiance fondamentale

Atelier François-Simiand, EHESS GILLES POSTEL-VINAY Atelier François-Simiand, PSE (INRA), EHESS es interactions entre histoire et économie sont nombreuses et dans l’ensemble très asymétriques, les historiens (souvent d’ailleurs économistes de formation) empruntant fréquemment les méthodes, voire certaines problématiques de la théorie économique. Cette bonne entente signifie-t-elle convergence intellectuelle ? Oui, dans une large mesure, car l’économie aide l’historien à mieux construire ses concepts

trouvons, quelques maisons de bois se trouvent en rive gauche de la Senne. Là ou il y a toujours eu des habitants peut-être même avant notre ère. A partir de 1142, une Charte de ville régit la vie en communauté dans la cité et précise les relations entre le Chapitre des chanoines, les autorités civiles et les bourgeois, habitants du bourg. C'est vers 1250 que la collégiale sera dédiée à St-Vincent, patron de la cité. Vers 1365, les bourgades veulent se protéger, c'est ainsi qu'on commence par des

cartésiennes, de critères simples... Mais, par exemple, dans l’organisation, la maximisation du profit est loin d’être le seul objectif poursuivi ! Les concepts économiques, alors, s’élargissent et se renouvellent. Et des ponts peuvent être construits entre les théorisations abstraites et le monde réel des affaires. L’économicité n’est plus « la boite vide du maximum de résultats avec le minimum de coûts, mais la recherche pleine de la satisfaction la plus élevée possible des besoins et des aspirations

Point d départ : sur le terrain. La gestion de la production est inefficace. Ceci tient à deux raisons essentielles : * Des pertes de temps liées à des mouvements inutiles. Remplacement des mouvements lents par des mouvements rapides. Séparation entre la conception et la réalisation. * Des pertes de temps liées à la « flânerie » On distingue la flânerie naturelle et la flânerie systématique « Cette perte de temps résulte de 2 causes : en premier lieu de l’instinct naturel et de la tendance

la firme par les économistes depuis les années 1970 résulte d’une double évolution. D’une part, la théorie néoclassique de la firme a progressivement été remise en cause, au profit d’approches plus réalistes. D’autre part, de nombreuses transformations ont déstabilisé la firme fordiste, modèle de firme dominant pendant la période dite des « trente glorieuses ». Pour la théorie néoclassique, courant associé à la microéconomie traditionnelle, la firme est appréhendée uniquement en termes technologiques

organisationnelles en gestation. Ces théories ont deux grands domaines d’application, externe et interne à l’organisation. Dans le premier domaine, externe, elles se préoccupent de l’analyse du partage des activités sociales (production, échange, répartition) entre les marchés3 et les organisations ainsi qu’entre les différentes formes organisationnelles (entreprises privées sous leurs différentes formes : organisations à but non lucratif, administration et entreprises publiques…). Dans le second domaine, interne

considère deux cas dans ce cours : L’approche néokeynésienne qui privilégie le court-terme, du fait de la rigidité des modèles économiques. Selon Keynes le court-terme est permanent puisque des éléments viennent en permanence s’ajouter. L’approche néoclassique, où l’on observe les équilibres de long-terme, où l’on fait des choix de politiques économiques différents à l’instant t. Chap. 1 : Quels sont les objectifs ? Que faire à la place du ministre de l’économie ? Privilégier des objectifs de court-terme

1 : PANORAMA DES ECHANGES INTERNATIONAUX La mondialisation ou globalisation = intensification des échanges internationaux dans toutes leurs dimensions (économiques, technologiques, humaines, culturelles). Il y a aussi l’idée de l’interdépendance entre les pays, ce qui se produit en un lieu du monde a des effets dans de multiples autre lieux. Elle va questionner la frontière et la Nation. Dans le domaine éco, la mondialisation se traduit par l’intensification des échanges commerciaux (biens et services)