Convergence Entre Classiques Et Néoclassique

parlera de « doux commerce ». Selon eux la richesse vient des métaux précieux (or, argent). Pour les mercantilistes l’état doit contrôler le commerce, via les droits de douanes, les règlementations, et la fiscalité. Mais il peut y avoir une opposition entre l’état et la liberté de commerce. Les physiocrates (physiocratie : gouvernement de la nature), « laissez faire, laissez passer » de De Gournay. (voir page 13). Ils restent dans l’ambiguïté, pour eux il faut que l’état ait moins de pouvoir, et considèrent

émergents en chemin vers cet état final. Nous faisons ici référence au concept de la beta convergence absolue, selon cette théorie tous les pays convergeraient vers un même point (l’état stationnaire), les pays étant le plus loin de cet état seraient ceux qui auraient le taux de croissance le plus élevé. Les auteurs économiques contemporains ont préféré la théorie de la convergence conditionnelle à celle de la convergence absolue, celle-ci précise que chaque pays évolue vers un état stationnaire sachant

ralentissement économique pouvant même se transformer en récession économique. La science économique s’est donc efforcée de trouver des modèles permettant d’expliquer et donc d’agir sur la variation du taux de croissance. Au moment où les classiques et les néoclassiques considèrent la croissance économique comme étant un phénomène exogène, d’autres économistes ont tenté de prouver que la croissance est endogène, prônant ainsi le rôle des politiques économiques volontaristes dans l’amélioration de cette

quantité échangée « optimale » ou « d’équilibre ». Le prix d’équilibre est celui qui satisfait simultanément le maximum d’acheteurs et de vendeurs. Aucun agent n’a le pouvoir de déterminer ou d’influencer ce prix. Selon l’approche libérale (classique et néoclassique), cette situation de marché est souhaitable. Les conditions de La concurrence pure et parfaite : • l’atomicité de l’offre et de la demande (la multitude des offreurs et demandeurs) • l’absence de restriction à l’entrée, que ce soit du

théorie économique complique le rapport entre l'histoire et la discipline et d'autre part l’état actuel des connaissances. Elle s'appuie sur 2 notions : La notion de paradigme La notion de réfutation Section – Paradigme et révolutions scientifiques 1/ Kuhn et la structure des révolutions scientifiques Ouvrage de sociologie des sciences. Il observe le fonctionnement des communautés scientifiques notamment les physiciens. On retrouve une forte cohésion entre les membres de cette communauté du

destinations. Ces flux migratoires se diversifient et se mondialisent au détriment des relations classiques de pays à pays. Les relations privilégiées qu’entretenait la France avec ses anciennes colonies par le biais de la coopération se sont estompées et modifient le rapport d’offre et de demande dans l’espace international et/ou mondial de l’enseignement supérieur. Ainsi la relation autrefois exclusive entre le Maroc et la France est-elle en train de s'effacer au profit de relations multiples avec différents

ménages, les entreprises et le gouvernement. Remarques : Il s’agit donc d’une représentation très agrégée de l’économie. Equilibre macro : synthèse 11 1.1.1 La demande globale Les ménages : consommation Consommation repose sur arbitrage entre consommation présente et consommation future (épargne) C = C Y − T, i + − — Hausse du revenu disponible (Y − T ), hausse de la consommation — Hausse du taux d’intérêt i, hausse de la rémunération de l’épargne, hausse de l’épargne, baisse de

politiques il peut y avoir deux visions. • La première est une vision libérale liée aux classiques, qui repose sur la garantie et le respect du fonctionnement des mécanismes de marché. • La deuxième est une vision d’inspiration keynésienne, qui met en œuvre des actions volontaristes propres à corriger les imperfections du marché, de façon à résorber les déséquilibres corrélatifs. Cependant cette distinction entre les deux types de vision de la politique économique est tout à fait insuffisante car

Larbi M’HIN • Filière : Economie et gestion • Semestre 3 – 2013 : Groupe A&D Cours de : Théorie des Organisations Professeur : M. Larbi M’HIN 1 Théorie des organisations • La théorie des organisations est une discipline située à la limite entre la sociologie et la gestion. • Elle s'intéresse à l'organisation, aussi bien marchande que non-marchande (entreprise, hôpital, syndicat, association, administration...). • Elle a pour but d'analyser et de proposer des solutions pour le fonctionnement

faut pas très intelligent pour y accéder) * Sans frontière, mondialisés (ex : Facebook…) Puis les terminaux sont de plus en plus petits, légers, individuels (ex : Smartphones) et de plus en plus performant. Les nouvelles technologies Convergence des différents supports technologiques et industrie qui sont à l’origine des nouvelles technologies UNE SEULE INDUSTRIE (ex : IPhone : musique, audio télécom, Image, vidéo…) MULTIMEDIA Ambiguë : les nouveaux médias, car les choses changent