Controversés Norbert Elias

compte de ce processus d’individualisation et pour en apprécier les conséquences. 1-la modernité en péril ? individualisme et crise du lien social Si l’idée d’un individu comme produit de la société est largement admise, de nombreuses controverses se sont déroulées quant au jugement que l’on pouvait porter sur cette transformation sociale et sur le devenir de cette dynamique. Il y eu d’abord les penseurs conservateurs critiquant la Révolution Française, l’Eglise catholique condamnant le

(armée, police,…) et la fiscalité. Ce qui compte, c’est la manière dont l’Etat a exproprié tous les groupements sociaux de ces deux formes de monopole. C’est ce qu’à démontré Norbert Elias, dans l’ouvrage La Dynamique de l’Occident (1939). Elias fréquentait le cercle intellectuel du frère de Max Weber. Toutefois, Elias était juif et a été contraint de quitter l’Allemagne au début des années 30. Il a cherché à tirer toutes les implications historiques de la définition sociologique de l’Etat. Il

sauvagerie ancestrale, selon un clich que de nombreux philosophes et sociologues ont contribu vhiculer. Les violences totalitaires impliquent le monopole tatique de la violence, un monopole que, dans le sillage de Thomas Hobbes, le sociologue Norbert Elias avait interprt de faon unilatrale comme un vecteur de pacification de la socit et donc du processus de civilisation. Elles rvlent lmergence dune barbarie moderne, alimente par des idologies se rclamant de la science et mise en oeuvre grce aux moyens

rencontres professionnelles étaient organisées dans les villes et métropoles minières et industrielles sous une forme commerciale, alors que le sport amateur, notamment le football «américain» faisait son apparition sur les campus universitaires. Norbert Elias dans Sport et civilisation : une violence maitrisée souligne la puissance mondiale hégémonique que représentait la Grande-Bretagne en cette fin de XIXème siècle. De ce fait, il apparaît logique que ses sports (football, cricket, athlétisme) se

d’Europe, et ce d’une façon assez nette pour qu’il soit utile de réfléchir à ses modes d’existence et aux orientations de l’action publique à cet égard. 1.2. LE PARADIGME REPERES GENERAUX DE L’ETHNICITE, DE WEBER A FREDRIK BARTH ET NORBERT ELIAS : Le paradigme de l'ethnicité, tel que fondé par Weber, a pour énigme centrale la question de la production sociale d’une certaine forme d’identité communautaire au cœur des sociétés modernes, l’identité d’individus qui croient qu’ils partagent

guerres, des concurrences, comme si cette intégration était le fruit de combats mais aussi de réseaux d’interdépendances. Norbert Elias, la dynamique de l’occident, cherche à comprendre comment et pourquoi les sociétés médiévales sont passées d’un mode de domination patrimoniale à un pouvoir fort et centralisé. A) Le processus de rassemblement des terres Ce qui intéresse Elias se sont les différentes séquences de ce processus de rassemblement des terres : - Au point de départ, la souveraineté

sauvagerie ancestrale, selon un cliché que de nombreux philosophes et sociologues ont contribué à véhiculer. Les violences totalitaires impliquent le monopole étatique de la violence, un monopole que, dans le sillage de Thomas Hobbes, le sociologue Norbert Elias avait interprété de façon unilatérale comme un vecteur de pacification de la société et donc du processus de civilisation. Elles révèlent l’émergence d’une barbarie moderne, alimentée par des idéologies se réclamant de la science et mise en oeuvre

et militaires vont se multiplier et créer une instabilité de l’édifice politique de la féodalité. - Il y a un déficit majeur d’institutionnalisation du pouvoir Section 2 : La dynamique de l’Occident Dans la dynamique de l’Occident, Elias fait le lien entre la féodalité et ma genèse de l’Etat moderne en établissant une rupture à la fin du XIIe qui s’explique du fait que l’Etat connait un moment de changement climatique qui aura 2 conséquences : - Il y a une augmentation de la

savoir comment des idées sont construites et savoir comment on peut déconstruire des idées reçu ou des préjugés sur certains faits sociaux. Utilisation de méthodes rigoureuses (statistiques, entretiens, archives, observations principalement) Des controverses et des désaccords entre les chercheurs (façon de penser la société, division du travail = bonne chose ?) 3) Quelques citations des « pères fondateurs » « La société ne se compose pas d'individus » (Karl Marx, 1859) « Il n'y a rien dans les institutions

Histoire Passé Archives** * D. Lepoutre (Cœur de banlieue) qui étudie la violence et comment se constitue une culture de jeunes qui passe par des joutes, des rites, des vannes… Il étudie comme un ethnologue dans une société lointaine. ** Cf. Norbert Elias, sociologue allemand qui a fui le IIIème Reich. Thèse sur la société de cour (autour du roi on a tout concentré), Sur le processus de civilisation : la civilisation des mœurs et la Dynamique de l’Occident : livre socio-historique = dit qu’on