Controle Sociale Supprimer La Déviance

endogènes) et à certains ligands synthétiques, mais pas au THC. La distribution des CB1 dans le cerveau humain correspond aux structures anatomiques impliquées dans les effets principaux du cannabis sur la mémoire, les perceptions sensorielles et les contrôles moteurs, soit l’hippocampe, le cortex associatif, le cervelet et les ganglions de la base. L’absence de CB1 dans le thalamus et le tronc cérébral par exemple, expliquerait que l’abus de cannabis ne s’accompagne pas de risques vis-à-vis des fonctions

efficacité ; considérée également comme un démembrement des sciences criminelles elle étudie le régime juridique et administratif des sanctions pénales, les règles de leur exécution et les méthodes utilisées dans leur application. Le droit pénal social qui traite des infractions et des sanctions en rapport avec la règlementation du travail (voir les articles 47 pour l’infraction de harcèlement sexuel, 387 pour les contraventions de simples polices, 388 à 394 pour les délits du code du travail).

MERTON (un des plus célèbres sociologues de la seconde moitié du XXème siècle et une grand théoricien de la pensée structuro-fonctionnaliste : 1er sociologue des sciences , Intérêts à l’art de la déviance, aux comportements non conformes aux normes sociales. Importance aux illusions et aux indicateurs de qualité : · Indiscutable, neutre, objectif· Pris dans des réseaux de gens, acteurs de discours, internationalisation et désir de se mesurer les uns aux autres · Renforcés par

suppose : un gout d’aventure, de conquete, d’acquisition de trésor Il pourrait y avoir aussi des raisons démographiques, mais on sait qu’il ne sont pas surpeuplés. Des raisons politique mais on connaît mal. Il y a pu avoir des bouleversements sociaux. Une responsabilité de Charlemagne qui a bouleversé l’equilibre de la baltique avec sa guerre en Saxe.  La Francie Occidentale va etre confronté par des invasions essentiellement menées par des Danois. Ces envahisseurs sont quelques centaines

société fait de lui .................................................................... 3. Les normes sociales ............................................................................................................... La Marginalité .................................................................................................................... La déviance et progrès sociale ........................................................................................... La folie .

« structurant » d’analogies entre les figures de l’anormal (le fou, le sauvage, l’enfant, la femme, l’animal); et l’on s’efforce de montrer que ces théories promeuvent une logique dans laquelle les infractions aux différents types de normes (biologiques, sociales, morales, juridiques, psychologiques, économiques) sont susceptibles de faire systématiquement référence les unes aux autres, de se traduire les unes dans les autres. Puis l’on caractérise les transformations que ce nouveau paradigme impose aux principes

politiques criminelles. Les politiques criminelles sont l’ensemble des moyens que le gouvernement peut mettre en œuvre pour faire face à certains comportements qui peuvent être définis comme des infractions (ex : prévention, intervention médico-psycho-sociale, intervention pénale, etc. contre l’usage de stupéfiants).  Dans le système pénal, il ne faut pas oublier qu’il existe des pratiques informelles mises en œuvre par ses acteurs et dont on sait très peu. Il ne faut donc pas penser aux fonctions institutionnelles

politiques criminelles. Les politiques criminelles sont l’ensemble des moyens que le gouvernement peut mettre en œuvre pour faire face à certains comportements qui peuvent être définis comme des infractions (ex : prévention, intervention médico-psycho-sociale, intervention pénale, etc. contre l’usage de stupéfiants). Dans le système pénale, il ne faut pas oublier qu’il existe des pratiques informelles mises en œuvre par ses acteurs et dont on sait très peu. Il ne faut donc pas penser aux fonctions institutionnelles

de nature à troubler l’ordre social. C’est la société prise au sens large qui se donne le droit de réagir contre les faits graves qui menacent son fonctionnement. Ces faits graves sont sanctionnés par une peine qui va prendre le caractère d’un véritable châtiment. La société a parfois recours à ce que l’on appelle la mesure de sûreté pour empêcher des individus de nuire. Le droit pénal étudie ce phénomène de réaction sociale vis-à-vis de ce trouble à l’ordre social et à ces délinquants. Ce droit

nous a, là, violemment rattrapés. Et chacun de comprendre, le temps de l’émotion du moins, qu’en démocratie, le seul souci de la sécurité ne suffisait pas à fonder une politique. On croit lutter contre le crime, on entasse des lois répressives, on supprime des garanties, on rogne des libertés et c’est la démocratie qu’on tue à petit feu. A Rome les hommes libres se croyaient à l’abri lorsque la torture s’est appliquée au monde lointain des esclaves mais cette procédure a fini par gangrener tout le