Controle Interne Recouvrement Des Créances

d’assurer l’exécution des recettes et de la dépense prévue par la loi des finances. De procurer à l’état les moyens de trésorerie au moyen des dépôts de fond qu’il reçoit pour son compte et qu’il met à la disposition de l’état. Et d’exercer les contrôles qui lui sont dévolus par la réglementation. En usant des pouvoirs dont il dispose et qui sont reconnus à tout comptable public. Le Trésorier générale de royaume exerce ses fonctions avec le concours des comptables du trésor dont il est l’autorité

- Discussion et vote du projet en séance plénière Chapitre III - la réalisation des opérations budgétaires Section – I- La séparation des ordonnateurs et des comptables § 1 Justification du principe 1 – la division du travail 2 – l’exercice du contrôle 3 – Incompatibilité des fonctions d’ordonnateur et de comptable §2 - Les fonctions d’ordonnateurs et de comptable 1- Les ordonnateurs 2 - Les comptables Section II -L’exécution des opérations de dépenses et de recettes publiques §1 – l’exécution

2 98,5 64,5 187,3 Total bilan Fonds propres consolidés Produit net Bancaire Résultat net consolidé (En MMMAD ET En noMBRE) indicateurS d’activité commerciale Dettes envers la clientèle • Clientèle locale • Clientèle MDM Emplois dont : • Créances sur la clientèle • Portefeuille titres Agences bancaires au Maroc Guichets automatiques bancaires Cartes monétiques nombre de clients 170,5 41,2 1.045 1.180 2.607.000 3.797.000 146,1 38,0 948 1.068 2.128.000 3.430.000 133,2 38,3 850 926

La protection du débiteur : 11 A) La protection proprement dite du débiteur : 11 1- Le respect de la vie privé du débiteur : 11 2- Les délais supplémentaires accordés au débiteur : 11 B) L’immunité d’exécution : 12 1- Immunité d’exécution en droit interne 12 2- En droit international : 13 CHAPITRE 2 : LE JUGE DE L’EXECUTION 14 SECTION 1 : L’INSTITUTION DU JUGE DE L’EXECUTION 14 §1 : La désignation du juge de l’exécution : 14 §2 : La compétence du juge de l’exécution : 14 A) Difficultés d’exécution :

électronique 6 III- Les agrégats monétaires et leurs contreparties 7 III-1 Mesure du stock monétaire 7 III-2 Les contreparties de la masse monétaire 9 III-2-1 Contrepartie d’origine externe : les créances nettes sur l’extérieur 9 III-2-2 Contrepartie d’origine interne 10 IV- La liquidité de l’économie 10 2 Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis.  IV-1 mesure de la liquidité de l’économie 10 IV-2 La circulation monétaire 11 Chapitre

électronique 6 III- Les agrégats monétaires et leurs contreparties 7 III-1 Mesure du stock monétaire 7 III-2 Les contreparties de la masse monétaire 9 III-2-1 Contrepartie d’origine externe : les créances nettes sur l’extérieur 9 III-2-2 Contrepartie d’origine interne 10 IV- La liquidité de l’économie 10 2 Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis.  IV-1 mesure de la liquidité de l’économie 10 IV-2 La circulation monétaire 11 Chapitre

CREDIT. PARTIE II : LA GESTION DU RISQUE DE CREDIT Le risque de crédit ce définit traditionnellement comme le risque de pertes consécutives au défaut d'un emprunteur sur un engagement de remboursement de la dette (obligations, prêts bancaires, créances commerciales, ...) qu'il à contracté. Ce type de risque est sans doute le plus important de tous les risques auxquels sont exposées les institutions financières, dans la mesure où il met le plus en cause la survie de l'organisation. Il résulte

OBJECTIFS D ’AUDIT INTERNE • S’assurer : - Que les investissements incorporels figurant dans le compte du bilan existent - Que la DR est propriétaire de toutes les valeurs incorporelles enregistrées - Que tous les frais préliminaires sont enregistrés comme tels et non pas comme charges. - Que toutes les valeurs incorporelles et leurs amortissements sont évaluées et comptabilisées conformément au PCN METHODOLOGIE • Obtenir ou établir un tableau

Manuscrit auteur, publié dans "La place de la dimension européenne dans la Comptabilité Contrôle Audit, Strasbourg : France (2009)" LA GESTION DES RESULTATS DANS LES BANQUES TUNISIENNES : VERS UNE GESTION REELLE Sarra ELLEUCH HAMZA Maître assistant, ISCAE, Laboratoire LIGUE, Campus Universitaire 2010, Manouba, Tunisie, Sarra.ell@iscae.rnu.tn Neila BOULILA TAKTAK Maître assistant, Unité DEFI à l’ESSECT, Université de Tunis, 4 Rue Abou-zakaria Hafsi Montfleury 1089 Tunis, 216 (98) 956 121 neila_boulila@yahoo

pourcentage des commissions, transport sur ventes, éventuellement stockage. - Les coûts indirects qui sont constitués par les frais indirects correspondant aux moyens mis en oeuvre pour réaliser l'objectif commercial. - Les recouvrements du produit des ventes auprès des clients. - Les stocks de produits finis dans de nombreux cas (activités saisonnières, activité purement commerciales notamment). - Les marges commerciales standards enfin. I I. Construction