Contexte D écriture D Andromaque

France. Le théâtre de l'opprimé, 2ème moitié du XXème siècle. Le théâtre contemporain, 2ème moitié du XXème siècle. La tragédie grecque : Mise en contexte. Au Vème siècle, Athènes prends un essor exceptionnel. Il y a des changements politiques : l'on passe d'un système autoritaire à une démocratie. Cette tragédie est née dans le contexte des fêtes religieuses de Dionysos. La cité entière se retrouvait pour ces grandes Dyonisies qui célébraient le vin. Cette tragédie est l'expression d'un

en abyme apparait. | « L’Illusion Comique » de Corneille (1636) | Env. 1660-1690 | Le Classicisme | Retour à la beauté antique, avec les codes : tels que les règles des cinq actes et les trois unités (unité de lieu, d’intrigue et de jour) | « Andromaque » de Racine (1667)« L’Avare » (1669) ; « Le Bourgeois Gentilhomme » (1670) ; « Les Fourberies de Scapin » (1671) ; « Les Femmes Savantes » (1672) etc. de Molière | Env. 1715- 1789 | Les Lumières | Des renouvellements apparaissent on introduit

beau joueur en tournant en dérision sa mésaventure? → Enfin établissez la trame de votre nouvelle (faites d’abord un plan détaillé au brouillon) : Introduction rapide : Où? Quand? Personnages à présenter? Circonstances particulières à caractériser, contexte à préciser ? Développement : Quelles seront les étapes de votre nouvelle? Quels seront les détails du texte de Maupassant à reprendre? Quels sont les éléments que vous allez inventer pour rendre votre texte plus convaincant? Conclusion rapide : le

retrouve donc bien dans chaque pièce, les différentes fonctions du costume, c’est un repère dans le temps, socialement mais qui permet également au spectateur de saisir les caractères des personnages et l’aspect comique du texte. II. ÉCRITURE : Dissertation : Dans quelle mesure le costume de Théâtre joue-t-il un rôle important dans la représentation d’une pièce et contribue-t-il à l’élaboration de son sens ? Quoi qu’en ai dit certains auteurs, comme Boileau, qui ne s’intéressent

Th. de Viau - Corneille (les comédies), L’Illusion comique - Cyrano de Bergerac, Histoire comique des Etats et empires de la Lune - D’Urfé, L’Astrée - D’Aubigné, Les Tragiques - Sponde, Stances sur la mort - Molière, L’Avare … - Racine, Andromaque … - La Fontaine, Fables - Bossuet, Oraisons funèbres - Corneille, Le Cid - La Bruyère, Les Caractères - Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves - Pascal, Pensées - Voltaire, Lettres philosophiques, Candide, Dictionnaire philosophique

« Cornélien »= opposition entre 2 points de vue . RACINE : 22 décembre 1639 -21 avril 1699 à Paris. Considéré comme le plus grand auteur de tragédies classiques. Il montre que les passions de chacun sont des éléments du destin. Ex :Phedres, Andromaque et Britannicus. JEAN DE LA FONTAINE : 8 juillet 1621-13 avril 1695 à Paris. Pas dans un mouvement littéraire particuliers . Ecrit fables et contes : le corbeau et le renard, le lièvre et la tortue, … LES LUMIERES MONTESQUIEU :Jean-Charles

littérature du xviie siècle, en particulier le théâtre, mais aussi d'autres arts comme la musique, la peinture ou l'architecture (voir l'architecture classique en France). Sommaire [masquer] 1 Origine et définition de la notion 2 Littérature 2.1 Contextes 2.2 Caractéristiques 2.3 Théâtre 2.3.1 Les règles du théâtre classique 2.3.2 Tragédie 2.3.3 Comédie 2.4 Roman 2.5 La poésie en général 2.6 Autres genres 3 Musique 4 Peinture 5 Sculpture 6 Architecture 7 Arts décoratifs 8 Notes et références

différences dans les textes de certaines époques. Genre La notion de genre littéraire n’existe pas au Moyen Âge, mais elle s’est formée à peu près à cette époque. C’est une division liée à la façon d’écrire de l’auteur, à l’aspect formel de son écriture. Ainsi, le genre littéraire correspond en gros à la forme du texte, aux règles ou aux prescriptions qui régissent sa rédaction. On dit aujourd’hui, par exemple, que la poésie, même si elle ne rime pas, présente une forme différente du roman (lignes

de la séance doit connaître par cœur sa réplique. La deuxième partie de la séance revient sur l’ensemble des répliques. Les élèves, crayon en main, sont invités à formuler des hypothèses de sens et sont amenés à remarquer : · le travail poétique : écriture en vers, alexandrins, les images. On explique le recours à la périphrase « mon superbe ennemi », à l’euphémisme « Soleil, je te viens voir pour la dernière fois »… · les thèmes, le sujet de la pièce : à partir des champs lexicaux, on repère qu’il

tout va. Ex : Pline l’Ancien, Histoire Naturelle, livre 33 : évocation d’Homère. -Le plus grand fan de l’Iliade : Alexandre le Grand. En effet, l’œuvre d’Homère représente à ses yeux une très grande source d’inspiration. -Chirico, Hector et Andromaque -Dali, Cheval de Troie -Picasso, Jugement de Pâris → L’Iliade a toujours inspiré les artistes. BIBLIOGRAPHIE : -J. AGHION, C. BARBILLON, F. LISSARAGUE, Héros et dieux de l’Antiquité, éd. Flammarion 1993 (1ère édition) -P. GRIMAL, Dictionnaire