Conséquence Du Serment Du Jeu De Paume

ordres privilégiés ne rejoignent pas le tiers ; Section 2 : la résistance et l’acceptation du roi : Paragraphe 1 : le serment du jeu de paume (20 juin 1789) : Le 17 juin, le tiers trouve la porte de la salle de séance, fermée, il trouve refuge dans la salle du jeu de paume. Les députés du tiers, a peu près seuls, prêtent un serment : le serment du jeu de paume, sur proposition de Mounier, député du tiers, il jure de ne jamais se séparer, de se rassembler partout où les circonstances l’exigeraient

Ces philosophes grecs ont donné une dimension morale à la loi et aussi une dimension politique. Aristote : réfléchit lui aussi sur le droit, pour lui la loi est un principe d’ordre, la loi est une œuvre humaine. Cela implique différentes conséquences : la loi est imparfaite, elle peut être améliorée, modifiée ou révocable. Ce culte de la loi est important en Grèce, c’est un signe de civilisation. B) La législation informelle des praticiens : Ces praticiens sont ceux qui vont mettre en

celui ou celle qui chasse. Est femme, celui ou celle qui cueille. Divisions des genres, des sexes. Il est interdit de consommer le produit de sa propre activité. Exemple : le chasseur ne peut pas consommer le gibier qu’il a lui-même chassé. Conséquence : un homme/femme chez les gwayatis est un être des plus généreux. Principe important, dans cette société tout circule et tout s’échange sous forme de don. En aucun cas, les richesses ne s’accumulent. Société de circulation des biens, société d’abondance

bientôt déçu : le roi n’entend pas réformer le royaume mais simplement lever un nouvel impôt. Soutenu par certains nobles libéraux, le tiers se proclame « Assemblée nationale » et décide de préparer une Constitution pour le royaume : c’est le serment du Jeu de paume. Dans un premier temps, Louis XVI laisse faire. Les rumeurs vont bon train. Le renvoi de Necker, ministre populaire, et le rassemblement de 30 000 soldats autour de la capitale inquiètent le peuple parisien. Le 12 juillet, certains se procurent

bientôt déçu : le roi n’entend pas réformer le royaume mais simplement lever un nouvel impôt. Soutenu par certains nobles libéraux, le tiers se proclame « Assemblée nationale » et décide de préparer une Constitution pour le royaume : c’est le serment du Jeu de paume. Dans un premier temps, Louis XVI laisse faire. Les rumeurs vont bon train. Le renvoi de Necker, ministre populaire, et le rassemblement de 30 000 soldats autour de la capitale inquiètent le peuple parisien. Le 12 juillet, certains se

peuple, mais ce déplacement n'altère pas sa nature. Elle demeure absolue et la marque principale de cette souveraineté reste celle de légiférer. Rousseau ne fait, sur ce point, qu'appliquer la définition de Bodin développée 2 siècles auparavant. En conséquence, la démocratie ne tolère en théorie aucun fractionnement du pouvoir. Cependant, cette démocratie idéale postule une cité aux dimensions restreintes. Ce cadre étant exceptionnel, Rousseau développe un autre aspect de sa pensée, plus réaliste, et

soldat combattant à terre) ou cavalier, il sera rameur sur les trières. De toute façon, on ne devient soldat qu’après l’âge de 20 ans. Il doit durant 2 ans effectuer un service militaire : l’éphébie. Il apprend le métier des armes et doit prêter serment de fidélité à Athènes, c’est-à-dire la défendre et respecter les rites traditionnels. S’il a des devoirs, le citoyen a des droits : lui seul peut posséder ou acheter une terre ou une maison, exercer des magistratures, participer aux banquets qui

de remise en cause de la monarchie, Anglais et Français, pourquoi les Anglais ont gardé la monarchie et que la France l’a abolie. Il cherche les causes de cette révolution, il explique que en fait la révolution est dans une large mesure est la conséquence de la monter de l’idéologie égalitaire qui précède le siècle de la révolution. Développement de l’idée égalitaire : remise en cause de la fonction social et politique de la noblesse, administration royal remplace les aristocrates = ils vont devenir

législation révolutionnaire et républicaine, puis dans les déclarations de droits internationales, en s’étoffant : Décret du 29 février 1848 : « Considérant que l’égalité est un des trois grands principes de la République française ; qu’il doit en conséquence recevoir une application immédiate, […] Tous les anciens titres de noblesse sont abolis ; les qualifications qui s’y rattachaient sont interdites ; elles ne peuvent être prises publiquement ni figurer dans un acte public quelconque » [17] ; Constitution

législation révolutionnaire et républicaine, puis dans les déclarations de droits internationales, en s’étoffant : Décret du 29 février 1848 : « Considérant que l’égalité est un des trois grands principes de la République française ; qu’il doit en conséquence recevoir une application immédiate, […] Tous les anciens titres de noblesse sont abolis ; les qualifications qui s’y rattachaient sont interdites ; elles ne peuvent être prises publiquement ni figurer dans un acte public quelconque » [17] ; Constitution