Conscient Et Inconscient Conclusion

L’INCONSCIENT   Etymologiquement, le concept d'inconscient désigne ce qui n‘est pas conscient. Dans cet usage général, nous pouvons établir les distinctions suivantes :   - Les faits non-conscients : Les automatismes neurophysiologiques dont la plupart sont innés, tels que la respiration, les battements du cœur, la digestion. Les actes réflexes tels que l'accoutumance visuelle le mouvement des paupières, le réflexe de la tétée chez le nourrisson etc.. Les automatismes sensori-moteurs, innés

est donc risible et illogique. L'homme se condamne, de cette manière, à errer dans la déception et dans l'échec. De plus, Freud explique qu'il existe des désirs inconscients et des désirs conscients. Il est ainsi explicable de désirer l'impossible dans le cas d'un désir inconscient. Mais désirer l'impossible dans le cas d'un désir conscient est le fait de se destiner, consciemment, à l'échec et à la déception. On pourrait alors parler d'une forme de masochisme psychologique, d'où la notion d'absurde

proprioception, que certains appelleraient notre « sixième sens » est en quelque sorte le moyen par lequel le corps se voit lui-même. Une « self-sensibilité ». La définition- même de la proprioception est quelque peu abstraite car, elle est pour nous inconsciente. C’est grâce à cette propriété que nous pouvons bouger, marcher, faire du sport sans être constamment en train de réfléchir à chaque mouvement de notre corps. Car nous n’y faisons jamais attention. Le sens du corps est donné par la vue, par les

Conscience et inconscient ''Suis- je ce que j'ai conscience d'être ? '' ; '' Quel est ce « je » qui dit je ? ''… Notions impliquées : Bonheur , vérité , langage. Introduction : Il semble évident que chacun sait ce qu'il est a conscience de son identité perso = express comm : '' je connais mes limites '' '' tu n'est pas à ma place ''… = présence d'une conscience qui n'est pas physique mais métaphysique. Pourtant au lieu de me comprendre je peux parfois être dans l'ignorance sur moi mme =

hommes se mentent de manière inconsciente. 2- le mensonge sous l’angle de la psychanalyse Freud et la psychanalyse ont mis à jour ces phénomènes qui fait que les hommes confrontés a une réalité trop difficile préfère la nier en refoulant la vérité. Par exemple un enfant ayant vécu un traumatisme va à l’age adulte ne plus se souvenir de son traumatisme parce qu’il l’aura refoulé dans son inconscient. Le mensonge est alors nécessaire et ne peut redevenir conscient que lorsque l’on fait un travail

-référentiel de la  clinique est la psychanalyse : Freud souligne les liens entre  clinique et psychanalyse, il présente cette dernière en la différenciant de la clinique par son intérêt pour la «  des profondeurs » = s’intéresse aux phénomènes inconscients, et notamment à la sexualité infantile  métapsychologie-psychanalytique I. Révolution freudienne et naissance de la psychanalyse 1. Découverte de l’inconscient a) Cheminement de Freud et invention de la psychanalyse -Freud (1856-1939) :

*** Ma conscience se limite-t-elle à une attention accordée à tel ou tel objet, de sorte qu’être conscient voudrait dire seulement veiller-à, surveiller ma tâche ? Ma conscience vigilante enveloppe-t-elle une responsabilité qui fait que, non seulement je suis conscient de ce que je suis en train de faire, mais que je suis aussi conscient de l’importance de ce que je fais. Ne pas être conscient regrouperait alors tout ce qui échappe à ma perception, ce qui existe mais que je ne peux comprendre

ignorons les origines de nos jugements. Ce dont j'ai conscience, dit Spinoza, c'est ce que je veux, désire et fais mais non les causes qui expliquent ce que je veux, désire et fais. Les hommes sont conscients de leurs actions mais ignorants des causes de leurs actions. Par exemple, une pierre consciente roulant le long d'une pente pourrait croire que c'est elle qui décide d'avancer alors qu'en réalité elle est soumise aux lois de la pesanteur. Spinoza a dit : "Les hommes quand ils disent que telle

impossible l’objectivité. le miroir, l’autoportrait : il y a toujours un décalage entre ce que je vois dans le miroir et le visage que je découvre sur la photo comme s’il était impossible de se voir soi-même comme les autres nous voient. Conclusion : il faut distinguer conscience de soi et connaissance de soi qui sont deux choses différentes. Qui peut me connaître mieux que moi-même ? La construction d’identité 1ère étape : le discours des parents, l’environnement... L’identité

substance HYPERLINK "http://www.blogger.com/blogger.g?blogID=4836519124960366347" \l "_ftn1" \o "" [1], une partie du corps. Elle ne relève pas de la dimension biologique. Elle appartient plutôt au mental. « C’est par l’objet (…) que l’homme devient conscient de lui-même» écrivait Ludwig FEUERBACH (1804-1872) dans l’Essence du christianisme. Cette pensée traduit fidèlement la notion d’intentionnalité par laquelle Edmund HUSSERL (1859-1938) définit la conscience. Pour le phénoménologue allemand, «Toute