Conscience Rêve

généralement, lorsque j’en viens au toucher, si c’est un objet que je détiens, il se met à changer d’apparence. * La vue : 360° de champ de vision. Parfois, ma vue est floue. Tout comme le toucher, si je fixe trop intensément un détail de mon rêve, il se met à changer d’apparence ou à disparaître. Avis personnel : Effectivement, nous pouvons tous dire que mes rêves sont la pâle représentation d’un chagrin. Le mien. Ils ne sont pas rose puisque mon subconcient nous prouve que je suis quelqu’un

Non Figuration : expression des impulsions les + spontanées du geste, pulsion de l’inconscient * Onirisme : terme rattaché au merveilleux de rêve. * Mvt surréalisme (inspiration) * Inspiration dadaïste : partage la révolte du déiste, mais ils veulent une action porteuse de sens. * Inspiration Freudienne : Breton fait du rêve et de l’inconscient la pierre d’assise du mvt. * Surréalisme : à définir Analyse du refuse global Mot difficile : * Janséniste :

progression du calme, de l’harmonie , de la concorde à la discorde voire à une forme d’agitation qui n’est pas violence. Le poème procrée donc une évolution qui épouse le traditionnel mouvement d’oscillation entre l’enchantement et le désenchantement, du rêve à la réalité, en quelque sorte, comme le carrosse qui devient citrouille pour poursuivre l’allusion du conte merveilleux De plus, au début, des propositions brèves se succèdent régulièrement, puis s’étirent progressivement jusqu’à ce qu’une

veiller jusqu'à la nuit complète. Je me dirigea vers ma petite chambre, ne contenant qu'un lit et un mince bureau. La chaleur et l'humidité est tel en Nouvelle-Orléans, que je du dormir la fenêtre ouverte. Je fis cette nuit là un rêve singulier, si toute fois, c'était un rêve. En effet, la question me hante toujours. Ce soir là, lorsque je m'installa confortablement dans mes draps pour m'endormir, un léger grincement se fit entendre. Mais, je n'y prêta aucune intention, c'est très courant après l'orage

sont embrassés. Ce poème est typique du symbolisme car il veut montré des images, des symboles,etc… Le " je " de l'auteur s'adresse à un " tu " inconnu qui pourrait aussi bien être lui même (soliloque). Il s'oppose au elle qui introduit le récit du rêve. Verlaine reprend le " je " qui rappelle le mal-être chanté par les romantiques, pour nous suggérer peut-être que seul un être idéal pourrait déchiffrer son cœur, partagé entre les hommes et les femmes. Verlaine accentue sa présence à travers les

nouveau cycle de sommeil | 9) Les rêves * Tout le monde rêve pendant le sommeil paradoxal. Le fait de se souvenir ou non de ses rêves dépend essentiellement du moment auquel on se réveille. * Les personnes qui se réveillent au milieu d’une phase de sommeil rapide se souviennent parfaitement de leurs rêves et peuvent les décrire en détail. * Réveillées dix minutes plus tard, peu d’entre elles se souviennent même d’avoir rêvé. * Voilà pourquoi les rêves dont on se souvient le mieux

s’approcherait le plus de la définition de l’héroïsme. On pourra se pencher tout d’abord sur le cadre : une scène qui a tout du conte de fée, ou plutôt du rêve ; idée renforcée par le flottement onirique omniprésent et le fait que l’action se déroule « au milieu de la nuit », tout en étant hors du temps. Or qu’est-ce qui caractérise mieux le rêve qu’une scène nocturne ? Tout est théâtralisé, c’est une véritable mise en scène, avec des décors et des objets, des déplacements précis, une atmosphère poétique

Les rêves parallèles de Charles et Emma. 10 questions sur le texte Quelle est la différence essentielle d’objet dans ces deux rêves ? Charles rêve à l’avenir lointain de sa fille, avec des étapes précises Emma rêve à son propre avenir, qu’elle imagine très proche et de durée très vague. Quelle est la différence de sujet ? Charles se rêve acteur et spectateur de la réussite de Berthe. Emma se voit toujours au pluriel de son couple avec Rodolphe, actrice sans identité, spectatrice du monde

structure (le mètre) reste stable : on a trois strophes fixes de huit vers avec un refrain (distique) interposé, où alternent les vers de 5 et de 7 syllabes. Ces mètres impairs créent un rythme irrégulier, propre au rêve et à l’évasion. - La vision est structurée par thème récurrent : le rêve et le sommeil. Du « songe » de la strophe 1, on évolue vers « la chambre » puis « dormir ». - De plus, le poème est encadré par « songe » et « s’endort ». - Le refrain incantatoire renforce cette liaison « songe-sommeil »

Introduction : La genèse d’Alice Dans les années 1860, en longeant la Tamise, il est possible d'apercevoir une barque, transportant notamment a son bord un jeune homme et trois enfants. Leur rires portent jusqu'au ciel, tandis que l'homme -Charles Lutwidge Dodgson- raconte histoires et jeux de mots pour amuser ses jeunes amies : Alice, Lorina et Edith Liddell. Ce 4 Juillet 1862, le conteur improvise l'aventure d'une fillette bien curieuse au fond d'un terrier de lapin. Alice Liddell le presse alors