Conscience Grandeur Ou Misère De L Homme

religions. Il a une vie aventureuse. Il a été jugé hérétique. Il a été protégé par De Medicis. Il a été prince des Erudits (=sage), qui montre son extrême culture. « Architecte Suprême » : périphrase Dieu est le créateur suprême Elle souligne la grandeur du dieu (avec suprême). Le « Nous »  majesté au pluriel et ensuite il utilise le « je » par respect pour l’homme. « Ô Adam » Apostrophe ; Dieu s’adresse à l’homme avec respect. Signe d’un regard bienveillant pour l’homme. On a le sentiment

l’autosuffisance et la souveraineté et la bonne conscience ou l’heureuse solitude. Levinas dans son projet éthique dressera une critique contre la pensée de Aristote pour qui l’activité intellectuelle devrait être une « activité de la pensée, appropriation par le savoir indépendante, certes, de toute finalité qui lui serait extérieure ; activité désintéressée et suffisant à elle-même dont Aristote affirme l’auto- suffisance et la souveraineté et la bonne conscience ou l’heureuse solitude. Le sage, même

humanité qui progresse sur la voie de la conscience grâce à l’instruction, au livre, qui remplacera la cathédrale comme instrument privilégié de l’éducation du peuple, grâce aussi à la liberté de penser. Dès la Restauration, ce même souci de liberté l’amène à prendre position en faveur des peuples opprimés. C’était alors la Grèce. Ce sera plus tard, l’Irlande, Cuba, le Mexique etc.   Convaincu que l’humanité est irréductiblement présente dans chaque homme, V.Hugo refuse la peine de mort. Cette option

.................................................................. 3 II VANITÉ .............................................................................................................................................................. 4 III. MISÈRE.......................................................................................................................................................... 10 IV. ENNUI...............................................................................

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.................................................................. 3 II VANITÉ .............................................................................................................................................................. 4 III. MISÈRE.......................................................................................................................................................... 10 IV. ENNUI...............................................................................

moderne. L'auteur ne s'en cache aucunement, l'avoue même dès le début de son roman, dans ce petit mot dont il use à titre de préface et qui termine par le fameux euphémisme > Dans le roman, la représentation détaillée et crue de la réalité de la misère sociale contemporaine se combine avec une mise en scène dramatique des paroles et des actions de personnages héroïques. Par sa préface Hugo nous dit qu'il veut dénoncer l'injustice de son époque sous toutes ses formes: sévérité de la police, cruauté

22e division militaire. Si la beauté des paysages tourangeaux semble avoir marqué l’enfance d’Honoré, les premières années de sa vie ne sont pas celles de l’innocence et du bonheur univoque. Sa mère, une jeune femme de vingt-et-un ans mariée à un homme qui en a cinquante-trois, ne donne guère d’affection à son fils aîné. D’ailleurs, elle préférera Henri-François, de huit ans son cadet et probablement conçu hors des liens du mariage. Heureusement, Honoré est très proche de sa petite sœur Laure, future

habituel de cette expression, ne connaît que les besoins matériels de l humanité .il sait que l'homme doit entretenir son corps, il a oublié que son esprit réclame aussi de la nourriture . Même si tous les hommes avaient assez pour vivre, même si la misère et la maladie avaient été supprimées autant qu'il est possible, il resterait encore beaucoup à faire pour construire une société digne de ce noms, et même dans le monde tel qu'il est, les biens de l'esprit sont au moins aussi importants que les biens

Faverolles, dans la Brie, il n’avait pas, dans son enfance, appris à lire. Devenu orphelin, il avait soutenu de son travail sa sœur, qui était restée veuve avec ses sept enfants. Suivant la saison, il se louait comme moissonneur, manœuvre, bouvier, homme de peine, émondeur. Vint, en 1795, un hiver plus rude que les autres où il n’eut plus de travail, ne put plus donner de pain à ses neveux. Au cours de la nuit, repris par ses hantises, il vole «six couverts d’argent». Le lendemain, il est ramené par