Conscience De Classe Et Identité Ouvrière

de la classe ouvrière §1 : L'industrialisation à la française, un monde ouvrier éclaté Pour qu'il existe une classe sociale, il faut que les individus partagent des conditions de vie et de travail mais il faut aussi une conscience de classe → subjectif. C'est la différence que Karl Marx faisait entre : – les classes en soi : ensemble d'individus qui partagent des conditions de vie – les classes pour soi : classe qui s'organise pour faire valoir ses intérêts → solidarités de classe. En

les actions individuelles n’ont aucun intérêt sociologique parce que les phénomènes sociaux sont des réalités indépendantes de la conscience et de la volonté de chaque individu. L’individu ne permet pas d’expliquer le phénomène social pour Durkheim. L’explication sociologique de ces réalités sociales ne peut être trouvée que dans les causes extérieures aux consciences individuelles. Il définit le fait social par une double définition la contrainte , l'extériorité .Ces causes sont des manières d’être

gouvernement de gauche avec l’élection de François MITERRAND.) Ii - Résumé de l’ouvrage Thème et problématiques L’auteur s’intéresse au phénomène de la galère des jeunes au sein de différentes banlieues françaises, qu’il va comparer à la jeunesse ouvrière d’une banlieue belge. Il va tenter de définir les composantes de la galère ainsi que ses satellites. La problématique de l’ouvrage pourrait se résumer ainsi : En quoi la galère résulte-t-elle d’une dégradation des institutions et de la fin d’un

collective Un groupe d'individus mobilisés apparaît au premier abord comme un ensemble agissant en fonction d'intérêts communs, à partir de motivations identiques, et pour un objectif partagé par tous. Cet « acteur collectif» se voit ainsi prêter une identité spécifique, qui seule est censée rendre compte de son action1. On comprend aisé­ment que, dans cette perspective, la recherche se soit essentiellement attachée à l'étude des caractéristiques du groupe, négligeant quelque peu la question des motivations

ainsi la mise en place et la permanence de plusieurs revendications, manifestations et grèves qui constituent l’ensemble des conflits du travail sur la période. Le sujet invite donc à réfléchir sur la forme des mouvements populaires au sein de la classe laborieuse, essentiellement constituée de paysans, ouvriers et salariés. Les revendications visent avant tout à réclamer ce qui est considéré comme un droit. Afin d’obtenir gain de cause les masses laborieuses usent essentiellement des procédés que

-Traditionnellement, le personnage est concret : nom, description physique, morale … et intégré dans une classe sociale → l’auteur s’acharne à lui donner toutes les apparences du réel contrairement au Nouveau Roman → personnes moins concrètes, même si elles possèdent une conscience -Roman traditionnel : étudier notre personne sociale / Nouveau Roman : statut ontologique, philosophique. -Le personnage croise toutes les classes sociales, il suit l’évolution historique et sociale de la société, il sert à, il peut

dire qu’il n’y a pas d’inégalités. Même dans les sociétés de fait, les sociologues insistent sur l’acceptation de la domination. Les classes dominantes cherchent à imposer l’idée que leur domination est légitime. Max Weber : « toutes les dominations cherchent à éveiller et à entretenir la croyance en leur légitimité. » Dans les sociétés contemporaines, les classes populaires intériorisent un sentiment d’incompétence et un sentiment d’indignité culturelle. C’est ce que Bourdieu appelle la domination

jardin d’Eden marque la souffrance du travail par rapport à une situation antérieure, c’est à dire un âge d’ or de la nature où l’homme est protégé du travail dans le paradis terrestre. L ‘expulsion du jardin d’Eden marque une rupture et une prise de conscience de la nullité de l’homme devant la nature. Le travail porte alors la marque de la nature humaine déchue. Adam et Eve ont consommé le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal : maintenant ils savent. Ils sont tout à coup arrachés à l’innocence

regarder sous un œil différent. Plus qu’une pièce, elle est une identité. Les chambres ouvrières La chambre ouvrière a, au fil du temps, évolué. Du petit abri creusé aux appartements à plusieurs pièces, il y a eu beaucoup d’évolutions. Passant de la pièce principale à une pièce à part entière, la chambre a vu son mobilier et sa fonction évoluer. Tous ces changements apparaissent grâce à une amélioration des conditions de la vie ouvrière voulue par les différentes républiques .Le désir grandissant

(fondation du welfare state, éducation, construction de logements) et sur le plan international (la décolonisation). Même si cette époque se caractérise aussi par la privation et l’austérité, l’histoire retient surtout la naissance d’une nouvelle conscience morale et sociale.   B-  La culture Les gens recherchent, après la guerre, le divertissement et les loisirs. Dès 1939, le Council for the Encouragement of Music and Arts  - qui devient l’Arts Council en 1946 - présidé par l’économiste John Maynard