Connaissances Scientifiques 18ème Siècle

combinaisons de facteurs de production. En ce sens, l’entrepreneur incarne l’innovation et peu importe si le capitalisme de ce début de 21ème siècle est un capitalisme managérial, non plus le capitalisme concurrentiel du début du 20ème siècle où les entrepreneurs héroïques jouaient encore un rôle fondamental. A l’heure de l’économie fondée sur la connaissance (cf. Sommet européen de Lisbonne en 2000), l’entrepreneur est toujours porteur d’innovations, à la fois sur le plan technique et organisationnel

psychologique et social : elle rythmait et structurait l’existence humaine, lui donnait un sens (orientation/signification), apportait une cohésion sociale, résolvait le problème de la mort et apportait un certain confort psychologique. . Le 19ème siècle (siècle positiviste) a peut être cru trop facilement s’en débarrasser, l’attitude religieuse ressurgit peut être de façon dégradée au travers de formes nouvelles : sectes, scientismes, « religions sociales » ==< voir ici Nietzsche dans la partie critique

 du 18éme sicèle on voit  progressivement reculé et puis disparaître tel qu’on les avait pensé à la renaissance au profit  de collection modernes, ce qui seront les musées d’histoires naturelles. il y a une disparition  au profit d’une nouvelle organisation des collections. Les nouvelles conquêtes et l'émergence  des nouveaux savoirs, les sciences nouvelles nécessites de nouveaux types et dispositifs  d’organisation des collections. disparition il y a un oubli. Puis au milieu du 19éme siècle il y a 

contemporaine se base sur les sciences. La technoscience moderne s’appuie sur des connaissances scientifiques, alors que la technique traditionnelle n’était qu’un ensemble de pratiques. Les Hommes ont commencés à exploiter les lois de la nature pour pouvoir ainsi mieux la comprendre. On peut marquer le début des sciences, comme la Physique au 17eme siècle par Galilée, la chimie au 18eme siècle par Lavoisier, et la Biologie au 19eme siècle par Pasteur ou Darwin. Comme le pensait Bacon, « pour vaincre la nature

les valeurs qu’elle privilégie. Elle dépend des époques et des lieux (campagnes ≠ cités). UC 2 Courants pédagogiques PAGE 2 page 2. Situation éducative Jean Houssaye Animateur Personnes : apprenant, animateur, intervenant (passé, connaissances des uns et des autres, motivation, regards extérieurs des autres…). Contenu : quelque chose à acquérir. Méthode employée par l’adulte pour transmettre son contenu : passive, active ? Autorité ?, organisation ?, initiative des enfants ? Contenu

« science » a longtemps été auréolé d’un prestige sans égal. Pourquoi ? Parce que la science a été associée à une idée très valorisée, celle d’un progrès continu de la connaissance qui s’opérerait par l’accumulation de vérités définitives et incontestables. Cette conception traditionnelle nous a été léguée par le 18ème siècle (le siècle des Lumières) où était porté le projet de porter les lumières contre l’obscurantisme (dogmes religieux et préjugés). Il faut rechercher des idées pour lutter contre

Présentation de l’histoire de la sociologie de la culture. Cours Sorbonne La sociologie de l’art est apparue tardivement dans l’histoire, au 19ème et début du XXème siècle, Jean Marie Guillot développe une théorie déterministe du rapport entre l’art et la scté, auteur qui a un intérêt dans la philosophie de l’art avec Hyppolite Taine, pseudo théorie marxiste de l’art. Dans la sociologie française, vous avez peu de textes qui traitent des arts et de la culture avant les années 60, il existe certes

vérité. Le problème n’est donc pas celui de trouver la vérité, mais bien celui de la dire/de ne pas la dire. (Distinction entre plusieurs mensonges : atténuation, omission, négation, altération…) L’approche épistémologique (épistêmê = science) est scientifique/descriptive : On procède à l’identification/la construction de la vérité par les sciences. On se situe dans le registre du vrai ou du faux (non plus dans celui du Bien ou du Mal) La question qui va apparaître est celle des critères, preuves (lèvent

d’une vaste tradition juridique marquée par le pluralisme du droit : droit coutumier et droit savant (droit romain médiévale, canonique et droit médiévale). Cette tendance diversifié des sources du droit se trouve cependant atténué à compté du 16e siècle où le droit royale tend à développer une technique législative unitaire. Dans ce sens, mais avec une intention résolument rationaliste, la révolution française marque une rupture plus nette encore en imposant un nouveau système juridique fondé principalement

l’amabilité, va caractériser l’aristocratie, alors que la culture va définir la bourgeoisie et être associée à toutes formes de connaissances scientifiques et philosophiques. En France, la civilisation va regrouper forme de politesse, et acquisition des connaissances politique, économique, et sociale. La bourgeoisie, en intervenant à la cour pour lui enseigner la connaissance, et l’aristocratie vont ainsi s’imiter l’un l’autre pour être toutes deux civilisées. Dans un second temps, il décrit la façon