Conjonction de coordination

ou des propositions juxtaposées. Ex : Elle monte, elle descend, elle n’arrête pas de bouger ! *Pour séparer des propositions coordonnées par les conjonctions de coordination sont répétées plus de deux fois. Ex : Il ne craint ni le vent, ni le froid, ni la neige. Remarque : _La virgule peut aussi servir à remplacer les conjonctions .La conjonction n’apparaissant alors qu’avec le dernier mot. Ex : Vous avez le choix entre un café, un thé, une tisane ou un chocolat chaud.

qui renvoie à une idée de rationalité car se fondant par définition sur des faits réels au vers et qui est le verbe « pruesve ». Son discours est riche de connecteurs logiques : elle use des conjonction de coordination de conséquence telles que « Dont » et « Por ce », mais aussi d’une conjonction de coordination de cause « Que ». Laudine semble donc dans la démonstration et donc l’objectivité et cette volonté d’être dans l’objectivité est mise en relief par le fait que le passage soit clos entre des

la modalisation (l’expression d’une opinion, d’un sentiment) : bien sûr, volontiers, hélas… ● Les conjonctions de coordination Elles relient deux mots ou deux propositions : mais, ou, et, donc, or, ni, car. ● Les conjonctions de subordination Elles introduisent des propositions subordonnées : que, quand, lorsque, depuis que, parce que, si, comme, tellement, … que… Attention : la plupart des conjonctions de subordination comportent le mot que, mais pas toutes ! ● Les interjections Elles expriment une

», « toucha », « embrassa ». On note une succession d’actions délimitées dans le temps, caractéristique du récit - Utilisation du présentatif « voici » a la première phrase : annonce d’un récit. La conjonction de coordination « alors » a la même valeur. - Utilisation des conjonctions de coordination « et », « alors », fréquente montre une succession d’actions, on raconte ce qui s’est passe. b) Hypotypose traditionnelle - Respect des règles de la bienséance : la mort est décrite, on ne représente

générale ‘que tout le monde veut avoir de l’argent’, il continu par le premier argument (au premier abord) et on arrive à une première conclusion « cela signifie qu’ » Dans le deuxième paragraphe vient un contra-argument marqué par la conjonction de coordination mais qu’introduit un proverbe, (la preuve – une pensée dès anciens) et renverse la modalité de penser de l’homme. L’argument d’autorité représenté ici par le proverbe « l’argent n’apporte pas le bonheur » s’impose comme une garantie

Ex :Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre. (Baudelaire, prosopopée de la beauté) Autres figures de style Asyndète = absence de conjonctions de coordination. Ex : La pluie, le vent, le trèfle, les feuilles sont devenus des éléments de ma vie. (Haubert) Polysyndète = répétition d'une conjonction de coordination. Ex : On est pauvre et misérable et aveugle et nu. (Kérouac) Une hypallage = on paraît attribuer à certains mots d'une phrase ce qui

manière péjorative avec l’emploi de l’ironie aux v. 21 à 27 : « Mais à tous ceux qui sont restés / Les pieds au chaud sous leur bureau […] A tous les gras tous les cocus / Qui ventripotent dans la vie / Et comptent comptent leurs écus ». La conjonction de coordination « Mais » marque une opposition entre les enfants et les autres décrits ici par des périphrases très dépréciatives. La réitération de certains mots tels que « tous » ou « comptent » scande le poème et font accélérer son rythme.           

ou entre les phrases d’un texte. • Ils jouent un rôle clef dans l’organisation du texte : ils en soulignent les articulations. • Ils marquent les relations établies entre les idées par celui qui parle. JE VEUX Conjonctions de coordination Conjonctions de subordination Adverbes et locutions Prépositions + GN premièrement, deuxièmement, d'abord, puis, ensuite, enfin... indiquer l’ordre des arguments dans le discours introduire une idée ou une information nouvelle

jusqu’au sonnet 36 où le poète languit sa terre natale. Deuxième mouvement : de « Mais j’ai si grand désir de me voir de retour » (vers 5) à «Ne m’accourcit les jours, ni le Cancre des nuits » (Vers 11) Le deuxième quatrain débute par la conjonction de coordination « Mais » pour marquer une rupture or ici elle est suivie de l’emploi de l’adverbe d’intensité « si » pour désigner le désir omniprésent de retrouver la Terre natale. De plus, l’on apprécie l’allitération en « r » (désir, retour,…) qui est

jardin : il pleut. La proposition subordonnée (1), le groupe préposition + nom (2), la juxtaposition (3) sont quelques-uns des moyens d’exprimer la cause. Les mots subordonnants Les propositions qui expriment la cause sont introduites par une des conjonctions ou locutions conjonctives suivantes : PARCE QUE Répond à la question « pourquoi ? ». * Pourquoi es-tu en retard ? * Parce que mon réveil n’a pas sonné ? * Je fais mes courses aujourd’hui parce que demain il y aura trop de monde dans