Conflit d'intérêts

de notation de prendre de plus en plus d'importance, les investisseurs se référant constamment à la notation de ces agences pour accorder un prêt, et plus particulièrement pour fixer le taux d'intérêt du remboursement. Le marché s'organise alors autour de ces agences, ou plus une augmentation des taux d'intérêt est prévu pour les Etats mal notés. Cela pourrait devenir le cas pour la France si elle perd son triple A et devra donc emprunter à 4 ou 5% au lieu de 3%. Un changement est bien entendu

réglementation 35 3. Autres recommandations concernant la régulation 38 Conclusion Introduction C es dernières années, les crédits aux ménages ont été multipliés profitant des taux d'intérêts qui étaient plutôt bas. Une partie de ces crédits ont été accordés à des ménages peu solvables, quand les taux d'intérêts ont augmenté, des milliers de familles n'ont pu faire face aux échéances. Ceci à provoquer des pertes considérables et à mener des sociétés de financement à la faillite aux Etats Unis

pas normalement eu accès à un prêt hypothécaire classique. Les conditions d'octroi font peser un risque de solvabilité sur ces personnes : les mensualités de remboursement sont abaissées les premières années, les prêts sont consentis à des taux d'intérêt variables et de niveau élevé. En 2006, les crédits « subprime » ont représenté 24% des nouveaux crédits immobiliers octroyés aux Etats-Unis. En fin d'année, leur encours atteignait près de 13% du total des crédits hypothécaires aux Etats-Unis (10

économiques du moment. L’indépendance de la BC et l’inexistence de droit de regard des gouvernements sur la politique monétaire peut d’une part conduire à la mise en place d’un rapport de force négatif entre ces deux autorités, illustré notamment par le conflit qui oppose en 1980 le Président Reagan au directeur de la FED, Paul Volcker. [...] [...] De nombreuses revendications d’un contrepoids politique aux instances de direction des BC ont vu le jour, dans le but d’harmoniser, de coordonner actions

position d’arbitre : tant qu’elles jugent leurs revenus suffisant pour rembourser leurs dettes, les entreprises ou Etats peuvent continuer à lever de l’argent à des taux d’intérêt relativement bas. Mais si l’une des agences baissent leur note, voilà que les investisseurs s’éloignent d’eux et ainsi font monter les taux d’intérêt. Voilà pour la théorie. Mais la réalité est plus complexe et mérite que l’on s’intérroge sur son rôle dans l’économie. De la crise de 1929, à celle des Subprimes en passant

Correction de la dissertation « Des faibles taux d’intérêt sont ils une condition de la croissance économique ? » En mars 2003, d’après le document 2, la BCE a baissé son principal taux directeur d’un quart de point. A cette époque les risques de conflit en Irak pesaient sur le climat économique. Cette baisse du taux d’intérêt avait pour but de « doper » l’activité économique. La BCE a cherché à jouer sur la psychologie des agents économiques, en particulier à améliorer leurs anticipations dont

aggravation de l’inégalité dans la richesse nationale. Les plus pauvres pouvaient acheter par une manière artificielle : le crédit. La politique américaine est laxiste (taux d’intérêt faible) => envolée du prix des maisons. 3 lectures avance : * La crise n’est pas nait d’une sphère financière mais réelle. C’est un conflit de répartition. * Elle est liée au dérèglement financier * Liée à la politique de Greenspan, trop laxiste. Les EU consomment plus qu’ils ne produisent. La

LES CYCLES LONGS DE KONDRATIEV The long waves in Economic Life (1926) Travail de statistiques sur des séries de prix, taux d’intérêt, salaires nominaux, P sur la GB, France, E-U, Allemagne. => Mise en évidence de cycles de ~ 50 ans à phases A +B. 1) 1789-1813 et 1814-1848 2) 1849-1873 et 1874-1898 3) 1899-1923 et [1924-1948] -> par hypothèse Lois empiriques : 1) au tout début des phases A : - transformations importantes des conditions d’accumulation du K (invention, innovation)

établissements financiers, compagnies d’assurances, fonds de pension, etc.), des banques centrales, des grandes entreprises et des Etats (Trésors Publics). A l’origine, l’on a eu recours à l’ALM pour gérer les risques financiers des IFNM (risques de taux d’intérêt, de taux de change et de liquidité), risques auxquels elles sont quotidiennement confrontées dans leurs bilans. Les banques centrales n’ont pas tardé à leur emboîter le pas surtout pour la gestion des réserves de change (en or et devises). Certaines

elle estime et note financièrement spécialement les organisations qui empruntent de la dette. - La notation financière désigne généralement la capacité de remboursement des emprunteurs. - La notation financière exerce une influence sur le taux d'intérêt que les emprunteurs paient pour les bonds (compris les obligations) - L’abaissement de notation financière cause des dépenses en immobilisations des organisations (compris les gouvernements) deviennent plus chers. L’agence de notation financière