Conférence de Durban

Africaine et le règlement des conflits en Afrique PLAN DU DEVOIR I- INTRODUCTION II- AVENEMENT DE L’UNION AFRICAINE 1. Naissance de l’union africaine 2. Les pays membres de l’union africaine III- LES ORGANES DE L’UNION AFRICAINE 1. La conférence 2. Le conseil exécutif 3. La commission 4. Le comité de représentants permanents 5. Autres institutions de l’union africaine IV- LE RÔLE DE L’UNION AFRICAINE 1. Les objectifs de l’union 2. Les grandes ambitions de l’union africaine a)

développement. La Conférence de Cancún Un ensemble de mesures ; - la protection des forêts dont la dégradation représente 20% des émissions mondiales de dioxyde de carbone, -La création d’un fonds pour le financement à long terme de la lutte contre les changements climatiques en appui aux pays en développement. -Un renforcement de la coopération technologique et de la capacité des populations les plus vulnérables de s’adapter aux changements climatiques, Cette conférence a par ailleurs révélé

non renouvelables) et la participation de tous les acteurs de la société civile (ONG, Etat, entreprises, citoyen et syndicat). Des actions au niveau international ont donc été mis en place (Protocole de Kyoto, Carthagène, conférence de Copenhague, Cancun, Nagoya, sommet de Durban, Johannesburg…).Ces actions, à l’initiative du marché représentent un double enjeu pour les entreprises, par leur contribution aux enjeux de la société et par leur survie à long terme au niveau économique. Les réglementations

à surmonter Conclusion Bibliographie Annexe Introduction Héritière de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), l’Union africaine (UA) a vu le jour à l’occasion du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement le 9 juillet 2002 à Durban (Afrique du Sud). La nouvelle organisation panafricaine, tirant des leçons du bilan très critiqué de l’OUA (1963-2002), affiche dans son Traité constitutif (adopté le 11 juillet 2000) de grandes ambitions en matière de promotion de l’intégration politique

1991 et à la déclaration de Syrte l’OUA devient l’Union Africaine (UA) à Durban en Afrique de sud en 2002. Cet avènement de l’Union africaine (UA) peut être considéré comme un événement majeur dans l’évolution institutionnelle du continent. Ce sont en fait quatre (4) Sommets qui se sont tenus et ont abouti au lancement officiel de l’Union africaine :  la session extraordinaire de la Conférence, tenue à Syrte en 1999, a décidé de créer l’Union africaine.  le

membres mais de coordonner, d'harmon travers celui de l'unité africaine. B. Naissance de l'UA Quatre sommets ont abouti au lancement officiel de l'UA : - Conférence des Chefs d'Etats, tenue à Syrte (1999) : décision de créer l'UA - Sommet de Lomé (2001) : Acte Constitutif de l'Union adopté - Sommet de Lusaka (2002) : programme - Sommet de Durban (2002) : session inaugurale et lancement officiel de l'UA C. Symboles L'emblème : L'emblème est composé de deux feuilles de palmier se dressant de chaque

avec des spécificités qui lui sont propres. Même si l’environnement est déjà une préoccupation lors de la Conférence des Nations – Unies sur l’Environnement tenue à Stockholm en Juin 1972 : le droit international de l’environnement n’est alors mis en œuvre que dans des organisations internationales déjà existantes ; comme le dispose le Principe 25 de la Déclaration adoptée par cette Conférence : « Les Etats doivent veiller à ce que les organisations internationales   1   jouent un rôle coordonné

qui possèdent un diplôme, mais manquent souvent d'entregent." Cette pratique porte ses fruits, puisque le taux d'insertion, varie en moyenne autour de 50% en fin d'action. e) La Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance, du 31 août au 8 septembre 2001, organisée à Durban en Afrique du Sud. 170 états étaient réunis pour pointer du doigt ces nouvelles formes de racisme qui touchent aujourd’hui des travailleurs migrants, des demandeurs d'asile, des

possèdent un diplôme, mais manquent souvent d'entregent." Cette pratique porte ses fruits, puisque le taux d'insertion, varie en moyenne autour de 50% en fin d'action. e) La Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance, du 31 août au 8 septembre 2001, organisée à Durban en Afrique du Sud. 170 états étaient réunis pour pointer du doigt ces nouvelles formes de racisme qui touchent aujourd’hui des travailleurs migrants, des demandeurs d'asile

un diplôme, mais manquent souvent d'entregent." Cette pratique porte ses fruits, puisque le taux d'insertion, varie en moyenne autour de 50% en fin d'action. e) La Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance, du 31 août au 8 septembre 2001, organisée à Durban en Afrique du Sud. 170 états étaient réunis pour pointer du doigt ces nouvelles formes de racisme qui touchent aujourd’hui des travailleurs migrants, des demandeurs d'asile