Condamner Le Progrès

électorale pour les élections présidentielles, François Mitterrand déclare clairement qu'il est contre la peine de mort. Il est élu Président de la République le 10 mai. • Le 25 mai, François Mitterrand gracie Philippe Maurice, il est le dernier condamné à mort gracié. • Le 26 août, le Conseil des ministres approuve le projet de loi abolissant la peine de mort. • Le 17 septembre, Robert Badinter présente le projet de loi à l'Assemblée nationale[18]. Il est voté le 18 septembre par 369 voix

dans un corps sain ». Rabelais exprime aussi des idées d’ordre politique en liaison avec son temps, ainsi il fait le récit de la guerre livré par le roi Picrocole (colérique, excessif) au roi Grand Gousier (juste, débonnaire) ce qui lui permet de condamner la guerre offensive tout en reconnaissant la nécessité de la guerre défensive. Enfin, l’utopie de L’Abbaye de Thélème s’inscrit dans une société élitiste et raffiné. Sa devise : « Fait ce que voudra » montre l’importance du respect de la liberté

Français en grève, qui défilent dans les rues de Paris). Nombreuses revendications. Point culminant de l'idéologie de gauche.  De la modernité à la postmodernité Modernité:  Foi en la science, croyance au progrès, à l'innovation, foi en l'humain.  On s'achemine toujours vers un plus grand progrès social, vers un monde plus libre, plus juste, plus égalitaire,vers une vie plus facile.  Les deux conflits mondiaux font naître des incertitudes, suscitent des remises en question et un profond sentiment

()L’IDÉE DE PROGRÈS HISTORIQUE EST-ELLE ENCORE PENSABLE OU EST-ELLE LE MYTHE MODERNE PAR EXCELLENCE ? Le progrès est en crise. Qui croit encore à l’avenir radieux, aux lendemains qui chantent, au progrès des sciences et des techniques qui nous rendra « comme maîtres et possesseurs de la nature » ? Le XIXe siècle était enthousiaste. Des romans de Jules Verne aux utopies : l’avenir s’annonçait sous les meilleurs auspices. Les grandes philosophies de l’histoire nées au siècle précédent semblaient

Trismégiste, qui décrit une cosmogonie, une anthropogonie et une eschatologie. La lecture de ces mouvements dissidents, par les Pères de l’Eglise, recherche ce qui peut être compatible avec la foi chrétienne, au moyen d’une logique de confrontation et condamne ce qui ne semble pas conciliable. De la même façon qu’avec la pensée dissidente, les chrétiens vont rapprocher la pensée grecque à leur théorie, et leurs essais de synthèse vont être confrontés à des difficultés identiques à celles rencontrés

« récits de vie «  se multiplie et il en résulte svt l’image d’une sté impitoyable, une période sombre de misères en tt genre. ( à nous de relativiser ces 2 tendances. ( Quel est l’état de la France durant cette période ? I/ Une France entre progrès et stagnation ( Comment la France se modernise-t-elle ? dossier pp80-81 A/ Une grde puissance dynamique Durant cette période la France s’industrialise et sa prod° augmente de plus en plus. Elle entre dans une phase de croissance soutenue

l’explosion de la vérité », apporter la « lumière » (métaphore conventionnelle de la vérité) , traiter l’affaire « au grand jour » (toujours la même métaphore de la lumière).             La thèse défendue par Zola, c’est que le Capitaine Dreyfus a été condamné dans un procès truqué et que la vérité doit maintenant apparaître au grand jour.   2) Première partie du texte : Zola résume ses principales accusations.             Les différentes accusations portées par Zola sont facilement repérables. Il y

relèvent de la volonté générale. Si la société peut brimer le droit social c’est que le droit moral est antérieur. Il trouve sa source non dans la société mais dans la conscience de l’homme. C’est donc le droit moral inné en l’homme qui exigera le progrès et l’amélioration du droit juridique et constitutionnel (droit positif). III. Droit et morale sont liés (Kant) Pour Kant la société n’est pas la perversion de notre nature originelle (Rousseau) ni un mal nécessaire pour éviter le pire (Hobbes)

sociétés l'humanité survit. Mieux vaut l'ordre que la guerre. Ainsi, l'homme a le devoir de se résigner, d'accepter les lois même si elles lui semblent arbitraires. Socrate , certes dans une toute autre perspective, ne disait pas autre chose. Condamné à mort à cause des Sophistes, il accepte de se soumettre alors même qu'il a la possibilité de fuir. Il le fait par fidélité à lui-même, lui qui défendait les lois durant toute sa vie. La légalité vaut mieux que la violence. Le droit est sacré car

que cette évolution de l'homme a altéré, voire corrompu, perverti sa nature ? En quoi, encore une fois, un tel progrès évolutif implique-t-il une dénaturation ? Ne devrions nous pas dire au contraire que l'être humain est l'animal qui se hausse au-dessus de sa propre nature ? Le problème, au fond, n'est-il pas que l'homme étant libéré de l'instinct devient un animal, le seul, condamné à se régler lui même ? Mais alors ne court-il pas aussi le risque de la perversion ? N'est-il pas confronté