Conclusions Les Fées Perrault

: J’ai particulièrement apprécié le vent de fraicheur que cette pièce a apporté sur les contes. En effet Pommerat mélange classique et modernité dans des anachronisme hilarants, a cassé les codes de Perrault, et est sorti des sentiers battus en proposant une histoire connue de tous sous un nouveau jour, un conte qui a brisé les clichés en suivant la société dans son évolution. Les contes ne sont pas mon genre de cœur, cependant, l’écriture de Pommerat

propre à notre monde, à l'homme en tant qu'être naturel). Le surnaturel est omniprésent sous différentes formes. a) Le fantastique emprunte au passé légendes, créatures mythiques, et superstitions • l' évocation de créatures variées (dragons, vampires, fées...) plonge le lecteur dans un univers angoissant, mais qu'il connait. En effet, la profusion de légendes évoquant ces créatures les rend familières au public; cela n'est pas novateur en soi. • ex 1 : le vampire. Un thème récurrent qui est en pleine

et à l'émotionnel, afin de le persuader. Sommaire: Introduction I) Argumentation directe A. Éléments positifs B. Éléments négatifs ou limites II) Argumentation indirecte A. Éléments positifs B. Éléments négatifs ou limites Conclusion I) Argumentation directe - Le message est exprimé directement, il n'est pas nécessaire de l'interpréter. Exemple : Contr'un, La Boétie - L'auteur parle à la première personne, le lecteur se sent donc plus concerné. Exemple : De l'éducation

découvertes archéologiques : les sanctuaires………….………..p.V IILe culte des éléments naturels en Gaule à l’époque romaine ..p.VII Fusion des religions celte et romaine…………………….………..…….p.VII Le culte des sources………………………………………….……………….p. VIII Conclusion……………………………………………………………………………p. X BIBLIOGRAPHIE………………………………………………………………….p.XI Introduction : La Gaule est un territoire entouré par la mer du Nord, l’océan Atlantique, au sud-ouest par les Pyrénées et à l’est par les Alpes et le Rhin

Chapitre 1 > La variété des genres narratifs A B ........................................................... 31 Problèmes de définitions Narrations littéraires et non littéraires Le conte : une étude du Petit Chaperon rouge de Charles Perrault ............................................................................................................................................ C > Fiche Méthode 1 D 40 Histoire littéraire : le conte Exercice bilan sur le conte Chapitre

sinon tu rencontreras le loup et il te | | | | |mangera ! Cette morale s'appuie sur deux versions qui, seules, ont fait fortune. La première –- celle qui finit mal – est| | | | |celle écrite à la fin du XVIIe siècle par C. Perrault. Elle s'achève, on s'en souvient, sur la phrase terrible et | | | | |lapidaire, "Et en disant ces mots le loup se jeta sur le Petit Chaperon rouge et la mangea", qu'accompagne le geste des | | | | |parents conteurs :

Chapitre 1 > La variété des genres narratifs A B ........................................................... 39 Problèmes de définitions Narrations littéraires et non littéraires Le conte : une étude du Petit Chaperon rouge de Charles Perrault ............................................................................................................................................ C > Fiche Méthode 1 D 48 Histoire littéraire : le conte Exercice bilan sur le conte Chapitre

son extraordinaire développement et sa très grande présence dans la littérature racontée et lue à l’école primaire. L’importance de la présence du conte s’explique par son universalité. De plus, Bruno Bettelheim, dans La Psychanalyse des contes de fées, reprend et développe les analyses de Freud qui rapprochent le conte du rêve. En effet, les processus d’identification aux personnages et de projection en eux au fur et à mesure du récit constituent la singularité d’un genre. Par ailleurs, le conte

régulièrement pour s’instruire (idée plus précise). - Le syllogisme : raisonnement déductif, formé de deux propositions (appelées prémisses majeure et mineur) conduisant à une conclusion. Ex : « Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) ; or je suis un homme (prémisse mineure), donc je suis mortel ». (Conclusion)  - Le paradoxe : du grec para (contre)-doxa(opinion) ; pensée contraire à l’opinion communément partagée. - La concession : faire une concession à son adversaire consiste à donner

régulièrement pour s’instruire (idée plus précise). Le syllogisme : raisonnement déductif, formé de deux propositions (appelées prémisses majeure et mineur) conduisant à une conclusion. Ex : « Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) ; or je suis un homme (prémisse mineure), donc je suis mortel ». (Conclusion) Le paradoxe : du grec para (contre)-doxa(opinion) ; pensée contraire à l’opinion communément partagée. La concession : faire une concession à son adversaire consiste à donner