Conclusion Divorce

juge étranger pouvait non seulement constater l’existence de faits mais aussi les établir. Cependant La loi Bonald (8 mai 1816( Loi Naquet : 27 juillet 1884) : interdisait le mariage en France et l’ordre public s’opposa à la reconnaissance des divorces étrangers. Mais ce verrou saute très vite grâce à la jurisprudence : notamment deux arrêts importants Bulkley qui affirmait l’autorité de plano des jugements d’état des personnes (de plano= de plein droit, sans qu’il soit besoin d’une exécution

médiation familiale à l'intention du directeur du département X. Introduction : Depuis 1975, le divorce a connu une forte augmentation. « De 74 000 en 1978 pour 355 000 mariages, le nombre de divorces est passé à 122 000 en 2002 pour 286 000 mariages ». Le divorce est devenu un problème social important. C’est une difficulté sociale considérable dans le sens où souvent source de conflits, le divorce se traduit par un acte entrainant la douleur et la pénibilité pour les époux et leur(s) enfant(s)

l’obligation principale dans tous les contrats de vente. L’obligation de faire : c’est l’obligation de fournir une prestation. Au civil, on a aussi l’obligation alimentaire des parents à l’égard des enfants et des enfants à l’égard des parents. En cas de divorce, la pension alimentaire doit être versée jusqu’à la fin des études de l’enfant, même si l‘enfant travaille à côté. L’inverse est valable, si les parents se retrouvent avec des difficultés, les enfants ont l’obligation de faire la même chose. Si on

l’enfant, CEDH Evolution du droit de la famille au XIXème jusque dans les années 50’s : modèle unitaire avec le mariage et filiation légitime. En 2008 on ne compte plus que 273 000 mariages alors que la population augmente en mm tps que le nb de divorce et le nb de remariage. En 2000, moins de 10 000 PACS par an, en 2008 140 000 PACS. Dans le cadre du mariage avant 1985, les droits du mari étaient supérieurs à ceux de la femme mariée, aujourd’hui les deux époux ont exactement les mêmes droits.

concernés les personnes qui vivent ensemble (famille conjugale). La vie commune est un critère une situation de fait dont le droit va tirer des conséquences (le concubinage, possession de l’état (élever un enfant même si ce n’est pas le sien)). Conclusion : Deux sens peuvent être principalement donnés au mot famille. Tout d’abord soit il désigne une famille étendue (la gens romaine, lignage de l’ancienne France, la famille patriarcale (couple, enfant, ascendant, …) soit une famille plus restreinte

la famille dominée par son mari. En effet, cette pensée est établie depuis le code civil napoléonien auquel s’ajoute l'alliance entre l'Église et la Restauration (1815-1830). Certains droits vont ainsi être retirés à la femme notamment le droit du divorce qui est de ce fait abolit en 1816... « La femme est une propriété que l'on acquiert par contrat ; elle est mobilière car la possession vaut titre; enfin la femme n'est à proprement parler qu'une annexe de l'homme... » Écrit Balzac dans la Physiologie

pour se marier il faut obtenir l’autorisation de son seigneur (celui qui est à la tête du fief, du domaine). Lorsqu’on est un homme ou une femme il faut demander l’autorisation à ses parents. La deuxième conséquence canonique est l’interdiction du divorce, le mariage est indissoluble. Deux atténuations : - La séparation de corps est possible, l’église propose ce mécanisme mais celui-ci ne rompt pas le sacrement du mariage. - Dès lors qu’il n’y a pas consommation du mariage. B) Le mariage

l’année de conclusion du PACS et sont tenus solidairement pour l'acquittement de ce paiement. Bien entendu, si les partenaires ont des enfants, celle-ci est due pour leur entretien et leur éducation au profit de celui qui verrait leur résidence fixée avec lui dans le cas d'une séparation... Lors de la rupture du pacs, même si une disparité dans les conditions de vies respectives existe (perte de niveau de vie),il n'y aura pas d'indemnité réparatrice envisageable comme prévue dans le divorce par les

était l’idée de la liberté. Les révolutionnaires adoptaient l’union libre (concubinage), la liberté de divorce (divorce à consentement mutuel), l’accueil des enfants nés hors mariage. Le code civil (1804) avec Napoléon a abandonné cette thèse. La famille est une famille foyer aujourd’hui mais le concubinage est ignoré du code civil, les enfants nés hors mariage ont très peu de droit, et le divorce mal accepté. Les plus gros changements en droit de la famille ont commencé à la moitié du 20ème siècle

les couples (y compris ceux de même sexe), de même que l’adoption, ou les procréations médicalement assistées. Les nouvelles familles. Avant il y avait un modèle familial unique. Aujourd’hui, il y a une multiplication du nombre de divorce et des naissances hors mariage. Il y a les familles monoparentales (1 parent qui élève seul les enfants), elles sont très souvent unilinéaires (= la parenté de l’enfant se réduit à une seule ligne, càd que l’enfant n’a de filiation établi que