Conclusion Don Juan Héros Condamnable Ou Admirable

FICHE EXPLICATIVE DE DOM JUAN Le XVII, siècle de grandeur et d’ordre, inspiré par Louis XIV, est aussi qualifié Siècle du théâtre, un théâtre réglementé par une influence religieuse très présente. Jean-Baptiste Poquelin, connu sous le nom de Molière, vient s’essuyer un échec peu rassurant pour sa carrière, par l’interdiction de sa pièce « Tartuffe », écrite en 1664, jugée trop outrageuse par sa critique explicite qu’elle fait des dévots (personne pieuse qui est attachée aux pratiques religieuses)

Molière Dom Juan Éd. présentée, annotée et commentée par Laurence Giavarini,... Larousse-Bordas, 1998 Note du transcripteur : les didascalies ont été notées en GRAS et */* Les personnages : DOM JUAN, fils de Dom Louis. SGANARELLE, valet de Dom Juan. ELVIRE, femme de Dom Juan. GUSMAN, écuyer d'Elvire. DOM CARLOS, DOM ALONSE, frères d'Elvire. DOM LOUIS, père de Dom Juan. FRANCISQUE CHARLOTTE, MATHURINE, paysannes. PIERROT, paysan. LA STATUE du Commandeur. LA VIOLETTE, RAGOTIN, laquais

Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76 Le Jeu de l'Amour et du Hasard I, 6 81 Amphitryon I, 2 (extrait) 87 Les Liaisons dangereuses 92 Bel-Ami (incipit) 94 Le Rouge et le Noir Nouveau 97 La Princesse de Clèves Nouveau 101 Jacques le Fataliste Nouveau 105 L'Etranger

d’objets d’étude librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille

Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII • Acte IV – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII – Scène VIII • Acte V – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène dernière • Dom Juan • Personnages • Acte I – Scène I – Scène II – Scène III • Acte II – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V Oeuvres complètes I 13 Oeuvres complètes . 1 • Acte III – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V • Acte IV – Scène

Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII • Acte IV – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène VII – Scène VIII • Acte V – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V – Scène VI – Scène dernière • Dom Juan • Personnages • Acte I – Scène I – Scène II – Scène III • Acte II – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V Oeuvres complètes I 13 Oeuvres complètes . 1 • Acte III – Scène I – Scène II – Scène III – Scène IV – Scène V • Acte IV – Scène

nudité originelle? son identité? la mort? Dans sa bonté simple, il est agi. Ce n’est pas du tout pessimiste. Il meurt, mais il n’a cédé sur rien. Il est simplement inapte à ce monde-là. Sous la farce paysanne, on trouve donc une fable profonde et un héros qui annonçait les grandes figures à venir, de Galy Gay à Schweik. Brecht fait d’ailleurs se rapprocher les deux personnages, même s’ils sont comme des doubles inversés. Dans les deux cas, on voit que le monde ne permet pas d’être un homme bon et qu’il

s’adoucissent, la brutalité guerrière se tempère du souci d’épargner l’adversaire vaincu (voir l’extrait de la Vie de Saint Louis, p. 25-26), l’éthique et les rituels chevaleresques se mêlent d’éléments religieux qui se fondent en eux au point de donner naissance à des ordres religieux et guerriers (Templiers et Hospitaliers). Mais ce sont surtout deux désastres guerriers qui précipitèrent la chute de l’idéal chevaleresque de la vaillance guerrière : la défaite d’Azincourt (où est décimée la fine

”[2]2009-05-23T00:00:00* Gargantua, héros d'une tradition populaire, fut un nom repris par Rabelais, afin de faire profiter son livre de sa réputation. On retrouve ce nom dans un recueil anonyme de contes populaires, à la fois comiques et épiques Les Grandes et inévitables chroniques du géant Gargantua, qui rattachent ce géant aux romans de chevalerie du Moyen-Age, plus précisément au cycle des légendes arthuriennes. Rabelais s’inspira également du prénom dans les Admirables Chroniques, verbe grec qui signifiait

renversement général. » Ce « cancer » touche ainsi « la cour » puis « Paris », « les provinces et les armées » avant de mener « à la ruine et au renversement général » ! Les figures d’analogie Deux figures d’analogie permettent à Jean Giono de donner une dimension extraordinaire à son personnage. C’est le cas, tout d’abord, des comparaisons qui permettent de rapprocher deux réalités différentes au moyen d’un outil de comparaison. La fête dans le château est par exemple représentée « comme