Conclusion Divorce

Musulman n'est pas un 'sacrement' mais plutôt un simple accord légal dans lequel chacun des partenaires peut inclure ses conditions. Les coutumes de mariage peuvent donc varier très largement d'un pays à l'autre. Dans ces conditions, on constate que le divorce n'est pas commun, même s'il n'est pas interdit comme dernier recours. D'après l'Islam, aucun fille Musulmane ne peut être forcée à se marrier contre sa volonté : ses parents doivent simplement lui proposer des hommes qu'ils pensent lui convenir.

existences. » Ceci dit, un mariage dépend surtout de la fusion entre les deux êtres qu’il unit. En effet, un mariage peut autant ne tenir qu’à un anneau, de meilleures fiscalités et des droits, qu’à une relation unique de bonheur. Pourtant, les divorces et séparations se sont accrus... Adultères, disputes, garde des enfants, vente du cocon plus vraiment familial : il est maintenant routinier d’être confronté à ces cas. Les deux, jadis tourtereaux, se déchirent mutuellement. Le mariage, censé durer

juridiquement, il faut tenir compte de l’évolution des faits, pour éviter que ne se creuse un fossé entre les aspirations des citoyens, et le droit. Rapport : « Proposition pour un droit adapté aux réalités et aux aspirations de notre temps ». Le divorce : première grande réforme a eue lieu en 1975. Ces réformes sont le fruit de l’analyse des faits sociaux. 2) Evolution sociale de la famille contemporaine a] La permanence La famille, même sous ses formes renouvelées, apparaît comme un élément

propriétaire (elle a donc le pouvoir car elle peut donner son véto sur l'opération). Viol conjugal interdit par le code civil mais communauté de lit implique que l'arrêt prolongé des relations sexuelles constitue une faute susceptible d'engendrer un divorce (devoir conjugale prévu par la loi). Relire articles 212 à 226 Le régime primaire impératif Article 217 : un époux peut etre autorisé en justice à prendre une décision pour les deux dans des cas particuliers. => plutot qu'une tutelle on s'en sort

femme qui paie une dot à sa belle-famille etc. ; selon que le divorce est possible ou non ; selon que c’est l’homme qui vient habiter dans la famille de sa femme – « matrilocalité » - ou l’inverse – patrilocalité). Dans certains cas, la régulation du mariage a pu représenter un progrès en matière de droits des femmes (cas du contrat de mariage dans le judaïsme médiéval, qui prévoit des garanties financières pour la femme en cas de divorce), ou pour les deux conjoints en matière d’autonomie par rapport

à certains devoirs réciproques : devoir de fidélité, devoir de respect, devoir de secours et devoir d’assistance. Par exemple, le non respect du devoir de fidélité représente au sein du mariage un adultère ce qui peut constituer un motif de divorce, le divorce pour faute. En revanche, des partenaires pacsés ne sont pas tenus à ses devoirs, c'est-à-dire que légalement ils n’enfreignent pas la loi s’ils commettent un adultère, même si ceci peut dans l’absolu provoquer la dissolution du Pacs selon l’appréciation

dorénavant réglementé. Les autres obligations des époux issues du mariage y sont également précisées. Le CHAPITRE VIII concerne la dissolution du mariage. Le CHAPITRE IX traite de la procédure de divorce. En effet, la Loi apporte des innovations quant à la possibilité d’adresser la demande de divorce devant les juridictions du lieu de résidence de l’un ou de l’autre des époux, si auparavant, elle ne pouvait être adressée que devant le Tribunal du mari. Le TITRE II comportant 3 Chapitres concerne

parents doivent nourrir, entretenir leurs enfants) • défendre (en cas de remariage, la femme ne peut contracter un nouveau mariage qu’après 300 jours révolus depuis la dissolution du mariage précédent). • permettre (l’un des époux peut demander le divorce en faisant état d’un ensemble de faits qui rendent intolérable le maintien de la vie commune) sont punis caractère coercitif : dans la mesure où la règle de droit est obligatoire, elle est sanctionnée soit civilement, soit pénalement. Document

les conventions de courtage matrimoniales étaient nuls 1er mai 1865. Ensuite elles ont étaient admises avec la chambre des requêtes 25 décembre 1944. Définition : contrat par lequel un professionnel s’engage moyennant rémunération à favoriser la conclusion d’un mariage. Clause de célibat : demande a Brigitte de ne pas se marier Si on lui demande de ne pas se marier dans un contrat de travail ou dans une clause par une libéralité (testament, donations) ? Dans un contrat de travail : le principe

dans ce sens. Il y a une évolution spectaculaire des mœurs et des mentalités. Ainsi, le divorce est aujourd’hui largement accepté. Sur le nombre de personnes mariées, on compte, en France, environ 45/% de divorces. 7)    Une nouvelle conception du mariage se profile : la famille n’obéit plus à un modèle unique ni même dominant. Moins de la moitié des couples sont légaux (certains sont mariés, d’autres divorcés, d’autres pacsés ou vivant en union libre). 8)    C’est l’amour des parents qui importe