Conclusion D Une Charogne

sensuelle et une enfant, elle apporte le plaisir et le danger. Jeanne Duval est finalement une véritable fleur du mal. Une charogne S'inscrit tout d'abord dans la tradition des poèmes amoureux à la manière de Ronsard. Il procède donc a une sorte de réécriture. En effet, il ne célèbre ni la beauté de la femme, ni celle de la nature mais extrait la beauté de la laideur de la charogne. Tire de cette description bizarre un enseignement à la manière du memento morio ; mais cet enseignement est plus esthétique

s’adresse à son fantôme, parce qu’elle n’est jamais là. Il termine ce vers par une sorte de regret. II. L17-29, le caractère lyrique de cet extrait. Tradition des poètes mal aimés. Baudelaire avait déjà écrit des poèmes à ce sujet : « La charogne, Remords Posthumes ». Mais il transforme, car Yvonne sera toujours belle, même quand elle sera vieille. Il présent ainsi la beauté éternelle de la femme aimée. Il imagine ensuite sa propre mort. Vers 23-24 : le poète a le souvenir de cette femme

strophe * Paysage exotique * Personnifications : « dormir ces vaisseaux », « l’humeur est vagabonde » * « -» du vers 35 = coupure * Hyacinthe et or qui rappellent l’ambre * Chaude lumière, calme, ordre * Deux derniers vers : conclusion du voyage * On passe de l’invitation à l’annonce d’un voyage amoureux Pour l’oral * Mettez en relation le titre et le poème * Montrez que le poème illustre les deux thèmes du titre I. Structure originale du poème (refrain, rythme

rupture : on passe du « vénérable » vieillard à l'homme injurieux et agressif. Le niveau de langue passe donc d'élevé dans le récit à bas dans le discours direct, ce qui est surprenant, voire choquant pour une entité divine comme l'Océan. Les termes « charogne », « ordure », « bâtardes » sont utilisés de manière violente, placés dans le premier hémistiche de chaque vers comme pour relancer le rythme du discours qui pourrait perdre en intensité. Cette utilisation du registre bas est contrastée par la régularité

divertissement. La jeunesse est le groupe social le plus sensible au divertissement, c'est allié idéal de la culture de masse, un allié d'autant plus précieux qui dans la société postmoderne, la jeunesse est sur valorise et la vieillesse dénié. Conclusion: En défendant la culture savante, les deux auteurs appartiennent à la postmodernité critique. Notes sur le texte d'Allan Bloom: Défense de la musique pop par un homme qui au fond ne l'aime pas ( il aime la jeunesse). Il reconnaît à la musique

corbeau qui rôde autour de Madame de Mendoze comme pour s’assurer de sa mort imminente, elle l’enterre, elle et son amour en brûlant les lettres, elle en efface le souvenir comme le montre l’image de cet animal morbide et maudit qui se nourrit des charognes. Hermangarde quant à elle, depuis sa confrontation avec la terrible Vellini en Normandie, est affaiblie physiquement, elle en perdra son bébé, elle lui enlève son innocence. Hermangarde est battue, devenue comme amorphe, elle ne réagit plus

comme l’est l’amour, où la nature où autre thème que traité les poètes classiques à l’époque. On peut donc bien dire que Ponge illustre cette idée de Reverdy en prenant un mot simple et courant pour en faire tout en poème travaillé et dense. En conclusion nous pouvons donc répondre à notre problématique initiale en disant que le poème de Ponge est une illustration du texte de Reverdy car il reprend ses mêmes idées sur la poésie pour en faire un poème. 2. Cette fois-ci, nous avons à faire à trois

les plus fleuries du domaine poétique ». De ce fait nous comprenons bien que la création poétique et artistique plus généralement ne réside pas essentiellement dans son sujet, dans son thème. Nous pouvons penser plus particulièrement au poème « Une charogne » où Baudelaire parvient à créer tout un poème autour de cette vision normalement répugnante, s’exclamant alors : « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ». La laideur peut constituer un objet artistique, et ce dans tous les arts. Un exemple

Mortel, pense quel est dessous la couverture » Jean-Baptiste ChassignetJean-Baptiste Chassignet (1570? - 1635?)Le Mépris de la vie et consolation contre la mort.Mortel pense quel est dessous la couverture D'un charnier mortuaire un corps mangé de vers, Décharné, dénervé, où les os découverts, Dépoulpés, dénoués, délaissent leur jointure : Ici l'une des mains tombe de pourriture, Les yeux d'autre côté détournés à l'envers Se distillent en glaire, et les muscles divers Servent aux vers goulus d'ordinaire

de Ainsi, conclusion son d'agriculteurs se sa propre a sur de le africain', Heusch (Detien- ouvrage 'le sacrifice conceptionla reflexion (1986) souligne anthropologique les sacrifice domesticationles oppositions et et entre le ne,1979, 34-35).Sansendeduire memes pp. consequences, lienentre 6tablit au contraire logiques tout les du sacrifice, chasse et la guerre, la memesi sontimmolds des puisqu'il particulibres sacrifice Detienne adhere unepart conclusions aux de animaux