Comportements Déviants

socialisation manquée des jeunes délinquants § 2 – Le crime des jeunes exprime un comportement social différentiel A – Le crime, comportement social B – La personnalité criminopathique des jeunes délinquants Chapitre 5 – La prévention du phénomène criminel Section 1 – Généralités sur la prévention § 1 – Les contours de la prévention § 2 – Les modalités de la prévention Section 2 – La prévention précoce des comportements criminels § 1 – Les programmes de prévention précoce § 2 – L’avenir de la

l’anti-résilience Une perte d’estime de soi entraine souvent des mécanismes de défenses qui se manifestent : - Chez les filles par une régression et une immaturité - Chez les garçons par une agressivité. Il résulte de ces mécanismes, un comportement des adultes manifestant une irritation contre l’agressivité et une condescendance contre l’immaturité qui va creuser cette blessure de l’estime de soi. On parlera d’une spirale anti-résiliente. 3. La spirale interactionnelle Dans notre

dégage enfin les pistes thérapeutiques à disposition tant pour le somaticien (généraliste ou pédiatre) que pour le thérapeute d’enfants (psychologue ou pédopsychiatre). INTRODUCTION Le présent article expose le cas d’un garçon qui adopte des comportements typiquement féminins. Des filles peuvent également présenter cette problématique de façon inversée, sujet qui nécessiterait à lui seul tout un article. Nous avons donc pris le parti de traiter principalement du cas du garçon « féminin ». proche

1966 p° 39-45 pose des questions qui me ramènent à cette situation : « Ma sécurité interne est elle assez forte pour permettre à l’autre d’être indépendant ?  Suis-je capable d’agir avec assez de sensibilité dans ma relation d’aide pour que mon comportement ne soit pas perçu comme une menace ? Suis-je capable de voir cet autre individu comme une personne qui est en devenir ou vais-je être ligoté par son passé et le mien ? La deuxième situation s’est passée en Institut-Médico-Educatif où j’effectuai

I. Style de comportement des groupes minoritaires (Moscovici, 1973) II. Le conflit Partie 2 – Attitude et comportement Chapitre 1 – la consistance I. la théorie de la consistance A. théorie de l’équilibre - Heider B. La notion d’attitudes – Allport et modèle tripartite d’Hovland et Rosenberg C. 1993 : Eagly et Chaiken II. La notion d’attitudes A. Définition d’Allport et dérivés B. La relation attitude/comportement C. Eagly

des observations liées à sa pratique que, dans certains contextes, ses patients agissaient comme le faisait l'un de leurs parents, sans avoir toujours conscience de l'origine de ces comportements, ainsi que des émotions et manières de penser qui y étaient associées. À d'autres moments, des résurgences des comportements issus de l'enfance de ses patients se reproduisaient, également avec les affects et les états d'esprits d'alors. Il décrit un de ses patients, M. Segundo, un avocat, dont le rapport

proposée dans ces différents modèles, l’objectif de cette note est de montrer l’intérêt qu’il y aurait à rapprocher les concepts de valeurs et de traits de personnalité. Cette citation est extraite de l’ouvrage dirigé par Miguel Siguan (1987), « Comportement, cognition, conscience », écrit par M.V Abreu, p. 258. 2 Cette remarque fait référence à une note récente du LIRHE (2006) traitant des déterminants psychologiques de la performance au travail, coécrite par Charles Pauvers, Commeiras, Peyrat-Guillard

orientées ds un certain sens (malgré des fluctuations) La modification dépasse en durée la phase d’apprentissage Référence à un changement : acquisition ou modification 2 conceptions différentes : Comportements directement observables (Reuchlin) L’apprentissage suppose une modification du comportement Changements internes à l’individu (Doré et Mercier) L’apprentissage suppose une modification des connaissances Distinction entre apprentissage et performance Georges (1991) : L’apprentissage

régularité du comportement et de jugement. Il faut repérer cette norme descriptive et repérer quand elle n’est plus. soit comme norme injonctive : Comportement et jugement doté de valeurs sociales (imposées par le milieu, dépendantes de la culture) et dont on nous fait comprendre qu’il vaut mieux les avoir. Exemple : Les Africains donnent des tapotements au bébé pendant le bain, pour qu’il dorme bien, ce qui, chez nous, ressemble à de la maltraitance. Moralité : aucun comportement n'est déviant en soi,

et Ivancevich, 1980, Arvey, Davis et Nelson, 1984, Baron et Greenberg, 1989), la discipline doit s'entendre au sens de “ décision disciplinaire ”. On prend une telle décision dans un double but. Pour dissuader. On assortit la manifestation d'un comportement non conforme d'une mesure coercitive, pour empêcher qu'il ne se reproduise. Dans une perspective béhavioriste de la motivation (Skinner, 1962), on appelle cette mesure un “ renforcement négatif ”. Il pourra agir non seulement sur le salarié incriminé