Complicité Entre Le Spectateur Et Les Acteurs

avant les noces, avec la complicité de son ami Pylade et des Grecs. Andromaque implore Hermione de sauver la vie de son fils en faisant fléchir Pyrrhus. Hermione balaye avec mépris la supplique d'Andromaque et sort. Pyrrhus, qui cherchait Hermione, entre et trouve Andromaque. Celle-ci l'implore de sauver son fils. Touché de pitié, Pyrrhus est prêt à changer d’avis si elle accepte de l’épouser ; Andromaque ne sait comment se résoudre. Acte IV : Andromaque est déchirée entre son amour pour Astyanax

nouvel outil, un espace plus large, et des matériaux plus techniques. Les œuvres d’art ne parlent plus du monde antique, de nu, des fleurs, des états d’âmes, mais plutôt du monde contemporain, et de la vie artificielle, qui libère l’imagination du spectateur. La technologie a donné naissances à plusieurs formes artistiques, et notamment une pratique toute récente qui a vu le jour avec l’émergence d’Internet, à savoir le Net art qu’est définit par ces créateurs comme étant une pratique artistique

Barthes travaille, de 1950 à 1952, à la Direction générale des relations culturelles, au ministère des Affaires étrangères, puis de 1952 à 1959 au CNRS comme stagiaire (lexicologie) et attaché de recherches (sociologie). « Nous voguons sans cesse entre l’objet et sa démystification, impuissants à rendre sa totalité : car si nous pénétrons l’objet, nous le libérons mais nous le détruisons ; et si nous lui laissons son poids, nous le respectons, mais nous le restituons encore mystifié ». Diverse

traitez pas les textes l’un après l’autre) ; donnez pour chaque remarque des exemples précis tirés des textes. ©HATIER Les didascalies • Les didascalies sont des indications scéniques qu’un auteur insère dans le texte théâtral pour préciser aux acteurs et au metteur en scène les différents déplacements, gestes, mouvements, mimiques, tons de voix à adopter au cours de la représentation. Elles sont en général écrites en italique. Elles disparaissent donc du texte de la représentation et se transforment

sauvé par la rue de l’hypocrisie de situations embarrassantes avec Elvire, Monsieur Dimanche, Dom Louis. Sganarelle s’indigne du comportement de son maître : (lignes 1, 2) > Les interrogatives + conjonction de coordination > expriment l’opposition entre le cynisme du personnage et sa condition d’aristocrate qui ne respecte pas les valeurs de sa caste : politesse, honnêteté, morale, honneur. Dom Juan répond vivement à ce dernier en soulignant que son cas particulier n’est en rien excentrique, marginal

de démonstrations affectueuses de la part de Flasquemont, et par des avancées significatives dans l’organisation du mariage : la corbeille, la bague, le contrat,… Avant que Folleville ne soit marié contre son gré, le vicomte de Chatenay fait son entrée. Ce dernier est tombé éperdument amoureux de Berthe lors d’une soirée et vient demander sa main. Il ne peut pas concevoir qu’on la lui refuse. * Embrassons-nous, Folleville ! est devenu par extension une expression ironique désignant des démonstrations

dramaturgique : double destination (perso + spect) passage doit permettre spectateur d'entrer dans l'histoire grâce éléments passé et présent.- Tradi (classique 17eme) exposition dialogue entre perso majeur et subalterne- Doit éviter ennui et créer tension dramatique – tragédie classique tension : histoire commence près de catastrophe-. → Scène courte, seule le notaire parler, séparée de quelques minutes de la deuxième sans entrée de perso. → notaire mis en relief par découpage du jeu Fonction informative :

et Claire, de profil. Claire tient le foulard des deux mains en direction de Mme Mélikian. Elle se rapproche un peu et prend l’étole, puis la regarde. La position de Mme Mélikian change un peu ; elles sont maintenant face à face, et de ¾ pour le spectateur. Mme Mélikian pose l’étole sur ses épaules. Une partie de l’étole brodée, à gauche du cadre la main de Mme Mélikian(ce qui permet le raccord. Exemple typique d’un plan de coupe).elle fait bouger le foulard avec ses mains en dessous et examine les

qu’outre le fait de se parler entre eux, il y a le fait qu’ils parlent pour les spectateurs. Les propos tenus ont donc deux destinataires et l’on parle de double énonciation. A l’ouverture du rideau, on entre dans l’action « in medias res » (= de façon abrupte et l’on doit déduire les faits des paroles entendues). Chaque prise de parole s’appelle une réplique. Le texte est découpé en actes (à chaque changement de lieu, donc de décor) et en scènes (à chaque entrée ou sortie d’un personnage). La

comporte beaucoup moins de scènes que les actes II et III qui forment le nœud de l'action et que l'acte V, acte du dénouement. par ailleurs, il se produit un phénomène d'accélération dû aux nombreux mouvements scéniques ( entrée et sortie des personnages) qui justifie, entre autre, le titre de la pièce : "La folle journée"     Par ailleurs, la concentration des personnages sur scène est plus grande dans les actes I et V : le but de l'acte I étant de présenter les différents protagonistes et celui