Comparaison Subrogation Personnelle Et Cession De Creance

la commercialité n’est retenue que s’il y a caractère spéculatif mais cela nécessite une répétition. En pratique la question se pose surtout pour les ordres d’achat et de vente en bourse ; normalement c’est juste une gestion normale de patrimoine personnel donc c’est civil ; il peut néanmoins y avoir un acte de commerce si la spéculation est établie et cela suppose une fois de plus la répétition. Retenons qu’un acte unique isolé : achat massif en bourse peut être regardé comme ayant un caractère

régir sa situation -> droit d’usage… analyse du droit qui porte sur la chose qui permet de la qualifier - tout ce qui représente une valeur dans un patrimoine, p.ex. : une créance Droit personnel : droit qui porte indirectement sur une chose Droit réel : droit qui porte directement sur la chose visée Le droit personnel c’est p.ex. louer un appartement à un propriétaire. C’est le droit qui passe par le propriétaire. Arrêt de 1900. L’article 1142, c’est l’obligation de faire et de ne pas faire

devait être réparti entre tous les créanciers, et ceci proportionnellement à leur créance. Ces créanciers seront payés « au marc le franc ». Ce caractère collectif qui existait dans la procédure va apparaitre tout particulièrement parce que les créanciers étaient groupés en une masse. La masse qui groupait l’ensemble des créanciers tenait des assemblées, elle avait ses représentants. Et la masse avait des créances et des dettes. A partir du moment où la masse s’est retrouvée dans cette situation

les personnes qui les ont contracté car elles sont susceptible de se transmettre. « Dans le droit actuelle, l’obligation est envisagée moins comme un lien entre 2 personnes que comme un bien »=> l’obligation est une valeur et on peut céder cette créance pour la faire circuler. (conception économique). TITRE 1 L’exécution de l’obligation Une fois que le lien de l’obligation est né, il doit être exécuté. Il s’agit de savoir quand s’exécute (cours de 2ème année) le contrat et comment. Cette

intervenant à l’initiative et pour le compte du donneur d’ordre (2); - un service rendu par le porteur au donneur d’ordre du fait même de la prise de participation du porteur (3); - le dénouement de l’opération par un double engagement d’acquisition et de cession des actions fixé dès le départ (4). Sur la notion de portage, voir : P. SOUMRANI : Le portage d’actions, L.G.D.J. 1996, préf. B. OPPETIT ; D. SCHMIDT : « Les opérations de portage de titres de sociétés », in Les opérations fiduciaires ; Colloque

patrimoine de son vivant et à son décès. Il faudra les hiérarchiser pour construire une stratégie de gestion du patrimoine. 3 Prise en compte des contraintes. -Les contraintes liées à la situation personnelle : âge, situation familiale, situation financière. -Les contraintes liées à des choix personnels : ex : le refus de vendre certains biens ou de transmettre certains biens. 4 Approche spécifique ou globale de la gestion de patrimoine. -Approche spécifique : Répondre à une question particulière :

les héritiers suivant les règles légales. Abandon de créance Acte par lequel un créancier renonce à demander le remboursement de tout ou partie de sa créance. Abattement fiscal Fraction du revenu qui n'est pas soumis à l'impôt. A ne pas confondre avec une réduction d'impôt qui diminue l'impôt dû dans la limite de cet impôt et avec le crédit d'impôt qui peut conduire à la réduction de l'impôt dû, à sa suppression ou à une créance sur le Trésor public si le crédit d'impôt est supérieur

modes d’extinction 47 § 1. L’extinction par le paiement 47 A – Le paiement volontaire 47 B – Le paiement forcé 48 C – Le paiement sans satisfaction directe du créancier 51 PARTIE II/ LA RESPONSABILITE CIVILE 52 CHAPITRE I/ LA RESPONSABILITE DU FAIT PERSONNEL 53 Section 1 : La faute dans le cadre de la responsabilité contractuelle 53 § 1. Les éléments constitutifs de la faute contractuelle 53 A – L’existence d’une obligation contractuelle 53 B – L’inexécution d’une obligation contractuelle 54 C – Une

1. Prêts destinés au financement des entreprises : 1) Affacturage. 2) Crédit-bail. 3) Cautionnement et Mobilisation de créances. 4) Financement sur nantissement de marchandises (warrantage). 5) Crédit d’investissement. 6) Introduction en Bourse. L’allégation selon laquelle les banques demandent plus de garanties qu’il n’en faut pour couvrir leur exposition au risque relève-t-elle d’un préjugé ou de la réalité ? A en croire le discours des entreprises, notamment les petites et moyennes, la politique

ceux-ci soient majoritairement fongibles entraînant la création de mécanisme tels que : o Distinction chose fongible/ non fongible. o L’inexécution d’une obligation de faire octroi des D&I. o Le mécanisme de la subrogation réelle : r/p de chose à chose. o Les éléments du patrimoine peuvent être perdu>prescription extinctive. Section II. Les droits : distinction entre les droits. 1. Les droits réels (droit absolus tels que droit de l’homme