Comparaison Racine Et Moliere

-Emploi fréquent d'images (comparaisons, métaphores,...) -Registre lyrique | XVII ème siècle LE BAROQUE Corneille, L'illusion comique | -Privilégier une création originale contre l'imitation des anciens -Mettre en valeur le désordre -Utilisation de masques et de miroirs | -Accumulations, antithèses -L'exagération, les hyperboles, la mise en abyme -La quantité (parallélismes,...) | XVII ème siècle LE CLASSICISME Corneille Racine Molière | -Chercher à plaire aux

milieu social Procédés - Utiliser des formules courtes - La référence aux textes anciens - Questionner le lecteur (le faire réfléchir, développer chez lui un esprit critique) - Utilisation de formes fixes (sonnet) - Emploi fréquent d'images (comparaisons, métaphores ..) - Registre lyrique - Accumulations, antithèses - L'exagération, hyperboles, mise en abyme - la quantité ( parallélismes, ..) - Utilisation de règles - Langage soutenu en tragédie - Emploi de l'art des formes d'éloquence - Littérature

comme révélateur de l’identité sociale ; la place de la réflexion sociale dans la comédie (la condition féminine ; les rapports de force). Documents complémentaires : • L’aveu amoureux dans sa dimension tragique : Racine, Phèdre, I,3. • Le couple maître-valet au théâtre : - Molière, Dom Juan (I,1). - Beaumarchais, Le Mariage de Figaro (III,5). - Genet, Les Bonnes (extrait). - Beckett, En attendant Godot (acte I, extrait). • Lecture d'une de ces cinq pièces en intégralité (lecture cursive). Etude

représentations théâtrales La société française du XVIIe et du XVIIIe siècle manifeste un vif enthousiasme pour le théâtre. Les comédiens s’installent dans des salles permanentes, notamment à Paris, au théâtre du Marais et au théâtre du Palais-Royal où joue Molière. Les troupes les plus renommées bénéficient de la protection de riches seigneurs et du roi. Louis XIV fait du théâtre un divertissement de la noblesse et de la Cour et fonde, en 1680, la troupe de la Comédie-Française. L’architecture théâtrale

Fondent comme des nèfles fendues qui laissent couler leurs pépins. » (CLAUDEL, Tête d’or.) On note ici une double allitération en [f ] et [d]. ■ L’allitération peut s’apparenter à une harmonie imitative. Ainsi, dans ces vers célèbres d’Andromaque (RACINE) où Oreste, en proie à des hallucinations, se croit entouré de serpents : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » L’allitération en [s] fait entendre (imite) le sifflement des serpents. ■ antithèse L’antithèse est une

L’auteur - Prénom : Jean-Baptiste - Nom : Poquelin - Dates : 15 Janvier 1622 - 17 février 1673 - Lieu de naissance et de mort : Paris - Milieu social : bourgeoisie - Famille : Molière est le fils aîné de Jean Poquelin riche marchand et " tapissier ordinaire" du roi et de Marie Cressé. Il a un frère cadet Jean et 5 demi-frères et sœurs issus du second mariage de son père. Ses deux grands-pères ont quant à eux un rôle important car il lui donneront le goût du théâtre. - Formation intellectuelle

grande famille et reçoit une éducation brillante (littéraire et mondaine) elle devient une sorte de femme savante qui sera très liée avec Madame de sévigné. Elle appartient à l’époque littéraire la plus brillante du 17ème siècle (La Fontaine, Racine, Molière) Elle publie un premier roman en 1670 qui s’appelle la princesse de Montpensier et 8 ans plus tard elle publie la princesse de Clèves de manière anonyme. Elle craint le scandale de cette histoire, c’est une femme de la cour. On ne sera jamais

Ce texte est extrait des Contemplations, recueil de poésie de Victor Hugo, poète, dramaturge et prosateur français, chef de file du mouvement romantique.  Ecrit en 1854, à une époque où Hugo, exilé, se tourne vers les idées républicaines, le recueil est publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres.  Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée."Réponse à un acte d'accusation" se situe dans la première partie du recueil, intitulée "Autrefois (1830-1843) - Aurore"

coule trop lentement (Racine) anaphore n.f. RHET Répétition d’un mot ou d’un groupe de mots au début de plusieurs phrase successives, pour insister sur une idée, produire un effet de symétrie. Effet d'insistance ou de mise en relief. Marcher à jeun, marcher vaincu, marcher malade (Hugo) anastrophe n.f. GRAM Renversement de l’ordre habituel des mots dans une phrase. Effet de surprise et donc de mise en valeur. D’amour mourir me font, belle marquise, vos beaux yeux (Molière) anticipation n

de décidé du temps qu’il lira à ce moment-là. Le lecteur, pour vraiment comprendre une pièce doit passer du temps, car le langage à évolué. Les mots comme « feux », « ennui », « déplaisirs » n’ont plus la même signification que dans Andromaque de Racine ou Horace de Corneille. Il en est de même pour le registre, le contexte historique et religieux ou encore le style comme l’écriture en vers dans les pièces de théâtre classiques. Le lecteur est donc invité à revenir sur des passages nécessaires quand