Comparaison Platon Descartes

Cependant ne pourrait-on pas faire l’hypothèse d’une langue qui dépasserait les codes établis par les conventions sociales des cultures ? I. Première Partie 1) Langage et pensée Le langage, signe et instrument de la pensée selon Descartes, est avant tout une faculté psychique : les sourds, qui ne peuvent parler, usent pourtant d'une langue "signée" faite de gestes codifiés en même façon que nous de la voix. Cependant, la pensée suppose elle-même le langage car peut-on vraiment penser

de la vie est considérée aussi utile et formatrice que la culture livresque. Ainsi s’établissent des allers et retours incessants entre observation et interprétation, entre culture traditionnelle et appropriations nouvelles. Montaigne s’inspire de Platon pour concevoir un enseignement dialogué où des exemples divers et des cas concrets permettent de faire surgir progressivement un concept ou la résolution d’un problème. N’appelle-t-il pas d’ailleurs le dernier chapitre des Essais « De l’expérience

dialectique négative de Zénon – Souci éducatif de l’argumentation : recherche de la Vérité (« essence » des choses) définir, expliquer – Introduit le raisonnement inductif : va-et-vient entre particulier et général, entre concret et abstrait. • Platon : la dialectique2 platonicienne – Montée vers l’essence des choses et des êtres, vers le Vrai, le Bien, le Beau – Clivage entre convaincre et persuader • Convaincre est l’œuvre du philosophe, en quête du Vrai, de l’Être et de l’Idée • Persuader

telle ou telle explication d’un événement historique donné, par exemple, soit la bonne. Les sciences de l’homme seraient toujours soumises au conflit des interprétations. On ne peut pas davantage affirmer qu’Aristote ait eu raison contre Platon, Spinoza contre Descartes, Rousseau contre Hobbes ou Voltaire contre Rousseau, dans les solutions que chacun d’eux ont pu apporter à certains problèmes philosophiques précis.De plus, le terme de « progrès », appliqué aux sciences expérimentales implique que les

plus capables d'en imposer sur les objets des sciences et de tourner les esprits à leur culture. Il semble, aux précautions qu'on prend, qu'on ait trop de laboureurs et qu'on craigne de manquer de philosophes. Je ne veux point hasarder ici une comparaison de l'agriculture et de la philosophie on ne la supporterait pas. je demanderai seulement qu'est-ce que la philosophie ? Que contiennent les écrits des philosophes les plus connus ? Quelles sont les leçons de ces amis de la sagesse ? A les entendre

professeur de Platon. Il tire vers l'idéalisme. Ainsi, le monde est divisée en deux : le monde sensible et intelligible : - Intelligible, c'est le monde des formes, des idées, avec trois idées principales : le bien, le beau et le vrai. -Le monde sensible, c'est le monde de la sensibilité, des sens, c'est un monde variable et changeant, et donc corrompu, parce que les choses naissent et meurent, elles dégénèrent, rien est éternelle. → Il valorisation donc le monde des idées. _ Comment Platon arrive à penser

tout simplement impossible d’avoir la certitude absolue des finalités de chaque action. L’homme se retrouve donc obligé de faire des choix, sans une entière connaissance de cause, de réaliser au mieux ce qu’il est capable de faire, de connaître (Descartes). Le doute permet ainsi de mesurer la valeur de nos opinions. Ceci témoigne du sens très ambigu que l’on peut attribuer au Mal Métaphysique, l’arrangement des choses, des évènements imparfaits permettent de marquer les limites de l’homme. C’est

Péloponnèse », il défend la démocratie mais que si les citoyens sont vertueux et ont un gout profond pour l’utilité publique. Platon pense le contraire, la démocratie est pour lui la cause de la décadence. Le peuple a-t-il la capacité à accéder au bien et est-il donc capable au pouvoir ? 1) Les sophistes : des techniciens du pouvoir Thucydide comme Socrate ou Platon accuseront une certaine catégorie d’intellectuel qui sont les sophistes d’être responsables du dévoiement de la démocratie. Les

cette lettre. En effet, la raison de ce principe est que « les dieux existent, attendu que la connaissance qu'on en a est évidente ». On pourrait donc croire, ici, que le critère de l’évidence chez Epicure est analogue à celui que met en place Descartes dans les Méditations métaphysiques2. Mais ce serait négliger que cette remarque s’inscrit dans le contexte d’une physique particulière, qui est celui de l’atomisme épicurien. Car pour Epicure, le monde (ou l’ensemble de ce qui existe) est composé

l’explication orale d’un extrait de celle-ci .................................................................................................................................... 477 > Étude des deux premières Méditations métaphysiques de Descartes ............................................................................................................................................................... 483 > Étude du livre I du Contrat social de Rousseau ......................