Comparaison Descartes Nietzsche

notre nature sociale, développe en nous une sensibilité superficielle, égoïste et destructrice, une sensibilité pervertie...Pour ces raisons, le travail social nous coupe de nous-même etc. (policer les mœurs et désindividualiser les individus, Nietzsche)...Transition : La fonction de l'art en général, et de la littérature en particulier est d'éveiller et de révéler, mais de manière plus profonde, n'est-elle pas d'embellir ou de transfigurer une sensibilité qui est toujours informe,

parce qu’ils résultent d’une corruption de ce qu’il y a de plus naturel en nous : la recherche du plaisir. Tout désir est naturel : les désirs non naturels sont en fait des désirs corrompus par l’imagination et son cortège de terreurs. Comme le dit Descartes, celui qui cède à des désirs absurdes pèche non pas tant par manque de volonté, que par défaut d’entendement : il revient à la raison d’examiner dans chaque cas ce qui nous semble désirable, afin de déterminer s’il s’agit effectivement de quelque chose

d’obligations et d’interdictions (la prohibition de l’inceste), les relations de parenté assurent entre les groupes la circulation et l’échange des femmes. Ainsi Lévi-Strauss dessine tout un programme de recherche anthropologique: « (…) ce n’est pas la comparaison qui fonde la généralisation, mais le contraire. Si, comme nous le croyons, l’activité inconsciente de l’esprit consiste à imposer des formes à un contenu, et si ces formes sont fondamentalement les mêmes pour tous les esprits, anciens et modernes

une substance comme l’analyse Descartes ou bien est-elle un acte, une intentionnalité comme la décrivent les phénoménologues ? (Husserl, Merleau-Ponty) Comment penser l’expérience humaine du corps ? Faut-il dire que j’ai un corps ou que je suis mon corps, que le corps est un corps sujet ou un corps objet ? Est-il possible de sortir de l’ambiguïté qui fait que je suis mon corps tout en l’ayant ? La conscience est-elle transparente à elle-même comme l’analyse Descartes ou bien faut-il avec Freud soupçonner

phénomène, il faut reconnaître en tout cas que l’homme dispose bien de cette liberté, dont les animaux semblent privés. 10 C. La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) Pour Descartes, liberté de penser et liberté de vouloir vont de pair. L’idée essentielle de Descartes est que cette liberté intérieure est une évidence (du même type que le cogito) car nous l’éprouvons immédiatement. Et si on conçoit la liberté comme absence d’entraves, force est de reconnaître

phénoménologique admettait des bornes et elle s’inscrivait de droit dans les limites du Je pensant et dans la finitude de l’horizon sensible (le temps chez Kant), catégoriale (être, le bien, le beau, le vrai...chez Husserl, l’idée de l’infini chez Descartes). « Il se trouve que le principe de l’intuition donatrice n’autorise pas l’apparition absolument inconditionnée, donc la liberté du phénomène se donnant à partir de lui-même ». Dans ce sens, la phénoménologie ne peut s’envisager sans se réduire au

évidemment dans Les Euménides : |9 |Eschyle |Pascal |Steinbeck | | |Les Erynnies divinités de la Nature, | |Comparaison entre la justice naturelle (le fait) et la justice | | |filles de la Nuit, garantes de l’ordre | |artificielle (le droit) 79-80. | | |biologique =  punissent les crimes

classicisme (en fait, coupé collé de ts les anciens selon son plan propre) : souci extrême de déf et de comparaison. On cherche à expliquer les sentiments produits => on définit dc des moyens pr obtenir les mm effets : déf de recettes. Première tentative de déf des figure de rhétorique : elles expriment rapports de la parole et de la pensée, introduisent nuances qui relèvent de la psychologie. But comparaisons précises : substituer modèles latins aux grecs (démonte Homère en règle face à Virgile) => phénomène

physique de la décollation, ce qui réduit finalement la mort à peu de choses. Il faut par une sorte de gymnastique intellectuelle et physique fréquente s’habituer au mal, et le réduire à ce qu’il est effectivement, c’est-à-dire peu de choses. ● Descartes (1596-1650) s’inscrit à bien des égards dans cette continuité du stoïcisme pour ce qui est de sa compréhension du mal. Il cherche en effet à en démontrer la relative inconsistance. En effet, il faut comprendre qu’il n’y a pas de mal dans la nature

Autrement dit, il faut que l’on rendre compte de la difficulté du choix. Pour ce faire on partira d’une situation que l’on analysera à l’aide de trois auteurs, ayant chacun leur réponse à la question ‘qu’est-ce-que la liberté ?’ : -          Descartes : ce qui permet de choisir, c’est une capacité à se déterminer : le libre-arbitre. -          Spinoza : le choix est une illusion dans la mesure où nos rasions d’agir sont elles-mêmes déterminées. La liberté est donc en sens [sens non-politique]