Comparaison De Deux Fables

ecrivain on publié des œuvres pendant cette periode avec ce meme objectif. Nous allons travaillé sur un des plus connu pour ça semsibilité pour la nature. Jean Da La Fontaine. Qui a donc écrit Les Fables. Ces fables ont etait inspirée de celles d'Ésope (qui aurait vécu en -6 av J-C ). C'est donc ces fables qu'est tiré le texte : « L'ours et L'amateur des jardins » que nous allons étudier. Ce dernier etant un apologue, nous allons déterminer pourquoi. Tout d'abort, nous allons etudier l'eventuelle

avec J-C. L'apologue n'est pas une narration pleine de fantaisie elle inculque la sagesse et la vertu. Elle remontre à l'Antiquité gréco-latine avec Esope, Phèdre, Pilpay, poète indien auteur de nombreuses fables en sanskrit, qui sera lui aussi l'une des sources d'inspiration de certaines des fables de La Fontaine. L'apologue ne se réduit pas à la fable : le christianisme développera d'autres formes narratives : parabole, conte, nouvelle, image. "Apologos" en grec : "récit détaillé" ; synonyme de fable

idée ne provoquant un effet de surprise dû à une rupture avec les règles grammaticales  Comparaison Image mettant en rapport 2 termes Par un lien grammatical (comme, tel, semblable à…)  L’enfant était Comparé beau comme lien un dieu Comparant Peut se trouver dans un texte démonstratif, pour illustrer une réflexion métaphore Image qui identifie deux termes par une comparaison dont on a supprimé le lien grammatical : -annoncée : seul manque le lien grammatical, il y a un élément

L’image s’adresse à l’imagination : la métaphore crée des correspondances inédites dans la réalité, elle est l’indice d’une vision poétique ; la métaphore directe est souvent à la base du fantastique Nom Définition Exemple Emploi |Comparaison |Image mettant en rapport 2 termes | L’enfant était |Peut se trouver dans un texte | | |Par un lien grammatical |Comparé |démonstratif

Jean de La Fontaine, Fables,  Livre VII, fable 9 Source : L'origine de la fable semble être la nouvelle XIV de Bonaventure des Périers (secrétaire de l’auteur de l’Heptaméron, Marguerite de Navarre, sœur de François 1er ) : « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait une potée de lait au marché ». La comparaison avec les alchimistes n'a pas été reprise par La Fontaine. Fable double avec « Le curé et le mort » qui suit dans le recueil. LA LAITIÈRE ET LE POT AU LAIT Perrette, sur

Afin de montrer le comique de l’histoire, La Fontaine compare le poids des deux personnages. D’une part, il fait ressortir la légèreté de la mouche. Une mouche est minuscule et il insiste sur cette caractéristique: « s’assied sur le timon, le nez du cocher²». La juxtaposition des deux compléments de lieu associe le timon et le nez du cocher, à des sièges pour créer une ellipse afin d’accélérer le récit. La Fontaine a omis certains éléments en principe nécessaires à la compréhension du texte, pour

la ressemblance : La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d’un point commun. Le rapprochement s’effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ...  Ex : Il est beau comme un dieu. Elle avait des yeux pareils à des agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison. Ex : Ce garçon, c’est

III) Malgré ses avantages l’apologue n’est pas nécessairement la forme d’argumentation la plus claire et la plus efficace. -Certaines vérités sont mieux représentées par d’autres formes argumentatives. EX : Molière (Dialogue -> opposition de deux points de vue). -Traité : l’argumentation est plus longue et plus complexe. -> Idée abstraite Erasme : De l’éducation des enfants Rousseau Emile ou de l’éducation. -Essai : Quelque chose de plus personnel. EX : Montaigne réflexion reste ouverte

Les textes courts – articles, poèmes, chansons, chapitres, nouvelles, contes – qui font partie d'un ensemble complet et qui ne constituent pas des publications isolées sont le plus souvent mis entre guillemets : « le Chêne et le Roseau » dans les Fables de La Fontaine. Remarques : ce qu'il faut à tout prix éviter ! – Ne pas mélanger les pratiques : on choisit ou l'italique ou le soulignement. On n'emploie pas les guillemets et l'italique ou le soulignement pour le même titre. On ne met pas plus

Le Chêne et le Roseau « Le Chêne et le Roseau » est la vingt-deuxième fables du premier livre des Fables de Jean de La Fontaine, publié en 1668. Cette fable, alternant octosyllabes et alexandrins met en scène un Chêne orgueilleux et un Roseau relativement modeste. Il est bon de noter avant toute chose que la fable est une des variantes de l’apologue, a une visée didactique et met généralement en scène des animaux qui représentent directement tel ou tel type d’individus. Ce genre existait déjà