Commentaire Tocqueville Le Danger Des Sociétés Démocratiques Modernes

condition mortelle des civilisations et des sociétés résulte d'une cause générale et commune Chapitre II. Le fanatisme, le luxe, les mauvaises mœurs et l'irréligion n'amènent pas nécessairement la chute des sociétés Chapitre III. Le mérite relatif des gouvernements n'a pas d'influence sur la longévité des peuples Chapitre IV. De ce qu'on doit entendre par le mot dégénération du mélange des principes ethniques, et comment les sociétés se forment et se défont Chapitre V

époque déjà, cet auteur clamait pour la contingence des pratiques de management en Afrique, au regard du particularisme du contexte économique et industriel : « Une bibliothèque des procédures n’est pas souvent transférable telle quelle d’une société à une autre, et penser que l’on pourra copier des procédures-types aboutit souvent à des échecs […] En pays neuf, un bon manager intègre d’instinct, les valeurs traditionnelles du management classique […] Mais ces techniques n’acquièrent leur efficacité

faire commencer l’humanité avec les premiers cultes des morts. C’est donc l’universalité du phénomène qui s’impose à première vue : on ne connaît guère de société sans religion. Mais l’universalité de la religion est problématique, puisqu’il existe des individus irréligieux, agnostiques ou athées, et même, depuis l’époque moderne, des sociétés laïques. De plus, l’universalité du phénomène religieux dissimule une grande variété des formes concrètes que prend ce phénomène. Commençons donc par voir

interdit de reproduire intégraleTUE LE LIVRE ment ou partiellement le présent ouvrage, sur quelque support que ce soit, sans autorisation de l’Éditeur ou du Centre Français d’Exploitation du Droit de Copie, 20 rue des Grands-Augustins, 75006 Paris. DANGER © Éditions d’Organisation, 2003 ISBN : 2-7081-2883-3 Alain Chauveau Jean-Jacques Rosé L’entreprise responsable s s s Développement durable Responsabilité sociale de l’entreprise Éthique Remerciements Alain Chauveau et Jean-Jacques

l'Esprit, écrit : "La force de l'amitié ne se mesure pas sur l'honnêteté de deux amis, mais sur la force de l'intérêt qui les unit." (Amitié) Amitié et liberté (Amitié) Peut-on choisir ses amis? (Amitié) L'amitié est-elle le fondement de la vie en société ? (Amitié) "Dans l'amitié les âmes ne s'entretiennent pas, mais elles se mêlent et se confondent l'une dans l'autre d'un mélange qui ne retrouve plus la couture qui les a jointes". (Amitié) L'ami est-il une âme dans deux corps ? (Amitié) "Parce que

des actes et des faits ne contenants donc aucune abstraction comparé au Droit moderne. S’il s’agit d’un Droit imprégné de religion c’est parce que par exemple le Droit Mésopotamien se considère comme une révélation : le Code d’Hammourabi, roi de Babylone qui a réunifié la Mésopotamie en 1750 av JC, proclame le respect envers le Dieu Shamash (le soleil et la justice) qui avait lui-même dicté le code au roi. Dans ces sociétés le Droit s’approche plus de la morale et a un but de conservation sociale. L’ordalie

Robin-Olivier 3 • En réalité, la législation comparée est devenue une discipline universitaire à partir du XIXe siècle (Henry Summer Maine) ; en 1831, est créée au Collège de France une chaire de législation comparée. En 1869, création de la Société de législation comparée ; en 1900, organisation du premier congrès international de droit comparé, par les 2 fondateurs du droit comparé en France (Édouard Lambert et Raymond Saleilles1). • L’intérêt premier a été porté au droit naturel : pour dégager

Paris : P.U.F. Que sais je ? n°2801, 1993. BALANDIER (Georges) - Nouvelles images nouveau réel. - Paris : P.U.F., 1987. BALLE (Francis) - EYMERY (Gérard) - Les nouveaux médias. - Paris : P.U.F. Que sais-je ?, n°2142, 1996. BALLE (Francis) - Médias et société. - Paris : Montchrestien, 1986. BATESON (G.) - La Cérémonie du Naven. - Paris : Seuil, 1977. BATESON (G.) - La Nature et la Pensée. - Paris : Seuil, 1984. BATESON, BIRDWHISTELL, HALL, WATZLAWICK et autres - La nouvelle communication. - Paris : Seuil

cette conception d’un monde nouveau : Alexis de Tocqueville («L ‘Ancien Régime et la Révolution »). Sa théorie est qu’il n’y a pas seulement rupture, il y aussi une continuité. La même idée est reprise par François Furet, il a écrit « Penser la Révolution ». Pour lui, la centralisation du pouvoir est une donnée que la monarchie a construite et que la Révolution va conserver et renforcer. De 1800 à 1815 : mise en place des institutions de la France moderne. Hippolyte Taine (« Les origines de la France

nature. La nature a fait les hommes à ce point égaux en ce qui concerne les facultés du corps et celles de l'esprit que... le plus faible en a assez pour tuer le plus fort, soit en usant de ruse, soit en s'alliant à d'autres qui sont menacés du même danger que lui... Il est donc ainsi manifeste que, tant que les hommes vivent sans une puissance commune qui les maintienne tous en crainte, ils sont dans cette condition que l'on appelle guerre, et qui est la guerre de chacun contre chacun... Une autre