Commentaire La Jolie Rousse

s'effondre devant la télé, accablée par la responsabilité d'un incendie, de 2 déraillements et du crash d'un Boeing 747. Plus tard, réalisant que le voisin s'est moqué d'elle, Amélie décide de se venger. Commentaires sportifs. - Mais qu'est-ce que... Attention, toi! Reprise des commentaires. ll hurle. ll hurle et pleure de rage. - Et un jour, c'est le drame. Comme chaque année, sa mère l'emmène brûler un cierge pour que le Ciel lui envoie un petit frère. La réponse divine intervient

Je leur offris même de menus cadeaux qui les comblèrent de joie. L’année suivante, je revins à Houlbec pour y passer l’été. Le jour même de mon arrivée, je rencontrais la Norvégienne, en train de faire des commissions. Ce qu’elle était devenue jolie, cette petite Norvégienne ! Avec ses grands yeux verts de mer et ses cheveux d’or pâle, elle semblait une de ces fées blondes des légendes scandinaves. Elle me reconnut et courut à moi. Je l’embrassai : – Bonjour, Norvégienne, comment vas-tu

fonctionnaires. Je leur offris même de menus cadeaux qui les comblèrent de joie. L’année suivante, je revins à Houlbec pour y passer l’été. Le jour même de mon arrivée, je rencontrais la Norvégienne, en train de faire des commissions. Ce qu’elle était devenue jolie, cette petite Norvégienne ! Avec ses grands yeux verts de mer et ses cheveux d’or pâle, elle semblait une de ces fées blondes des légendes scandinaves. Elle me reconnut et courut à moi. Je l’embrassai : – Bonjour, Norvégienne, comment vas-tu ? – Ça

soir, la dame rousse l’appelle et elle lui demande si elle cherchait No. Elle aussi dit que Lou ne doit pas la chercher parce que No est une fille de la rue qui vit dans un autre monde que Lou. Lou retourne à la maison où sa mère l’attend et sourit quand elle la voit. La mère lui demande des choses générales sur sa vie et l’école. Quand le père rentre, il donne à Lou un livre qu’elle souhaitait depuis longtemps. Elle est très heureuse. Quand elle est au lit elle pense à la dame rousse et à ce qu’elle

résolution des tensions ? Peut-on observer un élément qui paraît extérieur à la nouvelle (par exemple : un passage descriptif) ? À quoi cette « pause » sert-elle ? S’agit-il de préparer le lecteur à une nouvelle tension ? À ne pas faire dans le commentaire d’une nouvelle : raconter l’histoire (paraphrase du texte), prendre des exemples peu précis. La poésie lyrique À l’origine, c’est la poésie chantée avec la lyre comme accompagnement. La poésie lyrique aborde généralement des émotions et

GRAND. C’EST UN SAC. IL EST GRAND................................ « C’est » et « Il est »: l’identification et la description............................. 27 C’EST BEAU! C’EST CHER! ..................................... « C’est » + adjectif: le commentaire général.......... EXERCICES RÉCAPITULATIFS ..................................... BILAN N° 3 ...................................................................... 28 UN, DEUX, TROIS... DIX, VINGT, CENT...........................................

cet arbre quelques heures plus tôt : le peuplier avait été désarçonné par le vent. Bizarre, donc, que ce tout début d’année, mais très vite, Auguste n’y pensa plus. Animé d’une maîtrise de soi regagnée, il avait décidé de tenter sa chance avec une jolie brune aux yeux bleus dont l’apparente ébriété semblait réserver bien des promesses. En matière de femmes, Auguste se voulait assez expérimenté. C’est du moins ce que croyaient ses amis. Le sujet était pourtant douloureux pour lui. Auguste Loisel

Oui, la grippe. Vous n’avez jamais remarqué que certaines des pires maladies que compte l’histoire sont empreintes d’un certain lyrisme ? Vous avez par exemple la malaria, la diarrhée, le choléra. Vous croyez que c’est fait exprès ? Que cette jolie manière de dire les choses dissimule en fait la triste réalité, vous vous sentez comme un moins que rien. 11/848 En tout cas, je suis pour ainsi dire certain que c’est ce qui m’arrive. Je suis retranché dans mon appartement depuis sept jours

d’Émile Zola : prototype du roman « noir » urbain. Par Guy Talon (Toutes les citations extraites des Rougon-Macquart renvoient à l’édition du Livre de Poche et, en particulier à L’Assommoir, 534 p. avec une préface de Cavanna, des notes et des commentaires d’Auguste Dezalay.) L’Assommoir, roman du destin annoncé dès sa préface (« J’ai voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière dans le milieu empesté de nos faubourgs »), du destin de Gervaise écrasée de toute façon, préfigure le roman

environ. Le plus remarquable en elle, c’était ses cheveux, une magnifique chevelure d’un brun roux, d’une splendeur flamboyante. Le visage était insignifiant, avec des yeux bleu-vert et des 14/446 cils très clairs, si fréquents chez les rousses. Il observa qu’elle n’était pas maquillée et ce détail l’occupa, tandis que, après avoir salué sa visiteuse, il l’invitait à s’installer confortablement dans le fauteuil le plus proche de son bureau. À cause de cette absence de fard, il inclinait