Commentaire La Condition Humaine Hannah Arendt

estimant que vous auriez rapidement arrêté d’appuyer sur les boutons, C’est d’ailleurs la réaction qu’ont eue de nombreux Américains à qui l’expérience a été présentée. Ces expériences ont effectivement existé (dans les années 60), mais dans des conditions très particulières, L’élève était en fait un comédien professionnel qui simulait la douleur ; le stimulateur de chocs, les sangles et les électrodes n’étaient que des artifices destinés à tromper le maître qui, lui, était le véritable sujet de l’expérience

culturel et direction de projet » Mémoire présenté par Fernanda Leite Sous la direction de Michel Rautenberg - Septembre 2003 1 Pense-bête, ne pas oublier de… Remercier Anne Pénicaud pour sa relecture attentive de l’ensemble des textes, ses commentaires critiques, son encouragement, ses interrogations et ses corrections …ne serait pas suffisant. Faut-il inventer autre chose ? Elle existe déjà, c’est l’amitié Remercier Chantal Passelande et Hadda Djaber de leur patience pour lire et trouver

des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 5 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7

considérer qu'on ne peut pardonner que l'impardonnable. La figure pure du pardon qu'illustre la position abrahamique est celle d'un pardon inconditionnel. Dans le cadre d'une discussion serrée de textes de penseurs comme Vladimir Jankelevitch ou Hannah Arendt, Derrida fait valoir que le pardon doit excéder tout calcul pour mériter pleinement le nom de pardon. Sinon, il reste pris dans une « économie restreinte », celle de l'examen juridique ou celle de la morale du talion1. Un premier problème qui

de l’art (Gombrich) 2 La suppression des temps morts (Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût

(Castoriadis 1986). Pour cette présentation, je me bornerai à deux sources principales : La Politique d’Aristote et l’oraison funèbre de Périclès que nous livre Thucydide dans La Guerre du Péloponnèse. J’entrecroiserai librement citations et brefs commentaires. La Politique d’Aristote est particulièrement précieuse pour notre propos. S’il est un témoin de la démocratie athénienne à son déclin – il est contemporain de la conquête de la Grèce par Philippe de Macédoine et donc de la fin de la démocratie

conflit des regards (chacun peut transformer l'autre en objet), chez Levinas, le visage me convoque, me rappelle à la responsabilité. Par conséquent, le moi ne se voit pas réduit par l'autre à l'état d'objet mais le choc de sa rencontre m'élève à la condition de sujet et, loin de heurter ma liberté, l'investit. Le visage est en l'homme ce qu'il y a de plus vulnérable mais c'est dans cette fragilité que s'inscrit l'impératif éthique. Sa première injonction est « tu ne commettras pas de meurtre ». L'Autre

cela. Se fondant sur des propositions déclarées « évidentes » (« we hold these truths to be self evident », lisait-on déjà dans la Déclaration américaine de juillet 1776), ils se présentent comme un nouveau Décalogue. Nouveau fondement de l'ordre humain, ils auraient un caractère sacré. Les droits de l'homme ont ainsi pu être définis comme la « religion de l'humanité » (Nadine Gordimer), comme une « religion séculière mondiale » (Elie Wiesel). Ils sont, écrit Régis Debray, « la dernière en date de

Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 1 La question du progrès (Hegel) 1 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 1 I. Comment définir l’art ? 1 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 1 1. Une production humaine 1 2. La question de l’utilité 1 3. Un statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume)

découverte, dévoilement, théoria= ce sont des essences, des propriétés essentielles qui sont immuables, éternelles. Ces trois dimensions sont complètement liées. Toute l’histoire de la pensée philosophique, scientifique, ne sera qu’une forme de commentaire à la marge de la découverte platonicien ou du noyau platonicien de la théorie. Deux trois points de repères : ce qui vient après l’Antiquité c’est l’apparition des religions monothéistes. Renaissance de la philosophie avec Descartes le cogito