Commentaire Colline Giono

pouvoir 1900 Colette Claudine à l'école 1913 Apollinaire Alcools 1913 Proust Du côté de chez Swann 1916 Tristan Tzara Manifeste Dada 1924 Breton Manifeste du surréalisme 1925 Gide Les Faux-Monnayeurs 1927 Mauriac Thérèse Desqueyeroux 1929 Giono Colline 1932 Céline Voyage au bout de la nuit 1933 Malraux La Condition humaine 1938 Sartre La Nausée 1942 Aragon Les Yeux d'Elsa 1942 Camus L'Étranger 1944 Anouilh Antigone 1944 Sartre Huis-Clos 1945 Prévert Paroles 1947 Camus La Peste

Gayraud, Paris, Mille et une nuits, 2003. * Il Principe / Le Prince, suivi de De Regnandi peritia / l'Art de régner d'Agostino Nifo. Nouvelle édition critique du texte par Mario Martelli, introduction et traduction de Paul Larivaille, notes et commentaires de Jean-Jacques Marchand. L'Art de régner : Texte latin établi par Simona Mercuri, introduction, traduction et notes de Paul Larivaille. Paris, Les Belles Lettres, 2008. * Mandragola / La Mandragore. Texte critique établi par Pasquale Stoppelli

Gayraud, Paris, Mille et une nuits, 2003. ◾ Il Principe / Le Prince, suivi de De Regnandi peritia / l'Art de régner d'Agostino Nifo. Nouvelle édition critique du texte par Mario Martelli, introduction et traduction de Paul Larivaille, notes et commentaires de Jean-Jacques Marchand. L'Art de régner : Texte latin établi par Simona Mercuri, introduction, traduction et notes de Paul Larivaille. Paris, Les Belles Lettres, 2008. ◾ Mandragola / La Mandragore. Texte critique établi par Pasquale Stoppelli

Gayraud, Paris, Mille et une nuits, 2003. ◾ Il Principe / Le Prince, suivi de De Regnandi peritia / l'Art de régner d'Agostino Nifo. Nouvelle édition critique du texte par Mario Martelli, introduction et traduction de Paul Larivaille, notes et commentaires de Jean-Jacques Marchand. L'Art de régner : Texte latin établi par Simona Mercuri, introduction, traduction et notes de Paul Larivaille. Paris, Les Belles Lettres, 2008. ◾ Mandragola / La Mandragore. Texte critique établi par Pasquale Stoppelli

Provence, et parfois un nuage blanc du mois de juillet vient s'y reposer un moment. Ce n'est donc pas une montagne, mais ce n'est plus une colline : c'est Garlaban, où les guetteurs de Marius, quand ils virent, au fond de la nuit, briller un feu sur Sainte-Victoire, allumèrent un bûcher de broussailles : cet oiseau rouge, dans la nuit de juin, vola de colline en colline, et se posant enfin sur la roche du Capitole, apprit à Rome que ses légions des Gaules venaient d'égorger, dans la plaine d'Aix, les cent

Litote “Je ne serais point ingrat” → Très reconnaissant· CC but “Pour…” + Chiasme → Le poète donne vit et donne âme au vin· Deuxième strophe = Métaphore du travail poétique· Poète = Artisan (Etymologie poèsie = poyen = fabriquer)· Allusions à l’or “colline en flamme” “soleil cuisant”· Le poète travaille durement pour faire de la poésie et extraire le beau du mal.· “Car” CC de cause · Hyperbole “Joie immense” → Le vin est reconnaissant car il prend plaisir à aller dans l’estomac de son créateur.· Le

mieux ce que ressent le personnage ou ce qui le pousse à agir que le personnage luimême. Ce point de vue, très fréquent (cf. Jules VERNE, BALZAC ou DUMAS, mais aussi MAURIAC ou GIONO), n’étonne cependant pas le lecteur tant il fait partie des conventions du roman. Il n’y avait jamais eu un été semblable dans les collines. D’ailleurs, ce jour-là, cette même chaleur noire commença à déferler en vagues tout de suite très brutales sur le pays du sud : sur les solitudes du Var où les petits chênes se

lui-même. Pagnol emprunta à Jean Giono l'argument de certains de ses scénarios (Jofroi, 1934 ; Angèle, 1934 ; Regain, 1937 ; la Femme du boulanger, 1938) avant d'écrire lui-même, dans une même veine, des scénarios entièrement originaux (la Fille du puisatier, © Orthoflonie janvier 2007 1940). Après la guerre, il filma Manon des Sources (1952), dont il tira en 1964 un roman du même nom qui, avec Jean de Florette (1963), forma un ensemble romanesque, l'Eau des collines. Parallèlement, il publiait

Sujet 1, Sujet national, juin 2013, séries ES, S Corpus : Colette, Steinbeck, Giono › Texte 1 La narratrice, dont la famille habite en province, évoque le souvenir de sa mère, revenant de l’un de ses séjours à Paris. 5 10 15 Elle revenait chez nous lourde de chocolat en barre, de denrées exotiques et d’étoffes en coupons, mais surtout de programmes de spectacles et d’essence à la violette, et elle commençait de nous peindre Paris dont tous les attraits étaient à sa mesure, puisqu’elle

faire intervenir le narrateur. (Si la digression se prolonge et fait connaître les opinions personnels de l’auteur, elle devient une parabase). Elle permet de dilater le récit, de ménager des pauses, de divertir ou d’ironiser, ou d’insérer un commentaire d’auteur pour interroger le lecteur. A une fin explicative ou métadiscursif (réflexion sur le discours lui-même). « Et lors s’ouvrent les préparatifs de la guerre : et par occasion se décrivent les Rois, les Ducs, et Seigneurs qui apportèrent